lundi 24 novembre 2014

Projet Justine / Joana – phrases 274-277

Ella se pasaba las madrugadas leyendo, escribiendo, fumando y tomando café. Me causaba cierta ternura su preocupación por ser una escritora. Había mentido también: tenía veintiuno, y con el ánimo de publicar y abrir realmente una editorial, acababa de dejar San Marcos. Parecía esperar el momento exacto después de que yo me durmiera o pretendiera hacerlo, para sentir en las madrugadas una imagen de sacrificio de la que hablar después, cuando siendo una narradora famosa, contara esa etapa de su vida.

Traduction temporaire :
Elle passait ses matinées à lire, fumer et boire du café. J'éprouvais une certaine tendresse pour son obsession de devenir écrivaine. Elle avait menti aussi : elle avait 21 ans, l'intention de publier et d'ouvrir réellement une maison d'édition. Elle venait de laisser tomber l'université de San Marcos. Elle semblait attendre le moment précis où je m'endormais – ou du moins, je faisais semblant – pour percevoir, au point du jour, une image sacrificielle dont parler plus tard, quand, devenue une auteure célèbre, elle raconterait cette période de sa vie.

8 commentaires:

Justine a dit…

Elle passait ses débuts de matinées à lire, fumer et boire du café. j'éprouvais une certaine tendresse face à son obstination à devenir écrivaine. Elle avait menti aussi : elle avait 21 ans et l'intention de publier et d'ouvrir une vraie maison d'édition, elle venait d’abandonner San Marcos. Elle semblait attendre le moment précis où je dormais ou où je faisais semblant pour concevoir une image sacrificielle dont parler plus tard, lorsque, auteure célèbre, elle racontera cette période de sa vie.

Tradabordo a dit…

Elle passait ses débuts de matinées [naturel ?] à lire, fumer et boire du café. j[majuscule]'éprouvais une certaine tendresse face à [mal dit] son obstination [j'hésite sur l'interprétation] à devenir écrivaine. Elle avait menti aussi : elle avait 21 ans et [virgule] l'intention de publier et d'ouvrir une vraie [tu changes] maison d'édition, elle venait d’abandonner [?] San Marcos.

Fais déjà ça…

Elle semblait attendre le moment précis où je dormais ou où je faisais semblant pour concevoir une image sacrificielle dont parler plus tard, lorsque, auteure célèbre, elle racontera cette période de sa vie.

Justine a dit…

Au petit matin, elle passait son temps à lire, fumer et boire du café. J'éprouvais une certaine tendresse devant son obsession de devenir écrivaine. Elle avait menti aussi : elle avait 21 ans et, la ferme intention de publier et d'ouvrir une maison d'édition. Elle venait de laisser tomber San Marcos. Elle semblait attendre le moment précis où je m'endormais – ou du moins, je faisais semblant –, pour visualiser au point du jour, une image sacrificielle dont parler plus tard, quand devenue une auteure célèbre, elle raconterait cette période de sa vie.

Tradabordo a dit…

Au petit matin [ou simplement « matinées » ?], elle passait son temps à lire, fumer et boire du café. J'éprouvais une certaine tendresse devant [« pour » ? Fais les vérifications qui s'imposent] son obsession de devenir écrivaine. Elle avait menti aussi : elle avait 21 ans et, [la virgule ou le « et » ? Attention de rester concentrée… Je sens les coquilles revenir] la ferme intention [pour le « realmente » ? Si oui, gros changement inutile] de publier et d'ouvrir une maison d'édition. Elle venait de laisser tomber [? de quoi s'agit-il ?] San Marcos. Elle semblait attendre le moment précis où je m'endormais – ou du moins, je faisais semblant –, pour visualiser [texte ?] [ponctuation] au point du jour, une image sacrificielle dont parler plus tard, quand [virgule] devenue une auteure célèbre, elle raconterait cette période de sa vie.

Justine a dit…

San Marcos, c'est l'université qu'elle a abandonnée avant d'avoir fini ses études.

Elle passait ses matinées à lire, fumer et boire du café. J'éprouvais une certaine tendresse pour son obsession de devenir écrivaine. Elle avait menti aussi : elle avait 21 ans, l'intention de publier et de réellement ouvrir une maison d'édition. Elle venait de laisser tomber San Marcos. Elle semblait attendre le moment précis où je m'endormais – ou du moins, je faisais semblant –, pour percevoir, au point du jour, une image sacrificielle dont parler plus tard, quand, devenue une auteure célèbre, elle raconterait cette période de sa vie.

Tradabordo a dit…

Elle passait ses matinées à lire, fumer et boire du café. J'éprouvais une certaine tendresse pour son obsession de [« de » ; « à » ; « pour » ? Vérifie la fréquence d'usage] devenir écrivaine. Elle avait menti aussi : elle avait 21 ans, l'intention de publier et de réellement [juste après] ouvrir une maison d'édition. Elle venait de laisser tomber San Marcos [avec une cheville ?]. Elle semblait attendre le moment précis où je m'endormais – ou du moins, je faisais semblant –, pour percevoir, au point du jour, une image sacrificielle dont parler plus tard, quand, devenue une auteure célèbre, elle raconterait cette période de sa vie.

Justine a dit…

Elle passait ses matinées à lire, fumer et boire du café. J'éprouvais une certaine tendresse pour son obsession de devenir écrivaine. Elle avait menti aussi : elle avait 21 ans, l'intention de publier et d'ouvrir réellement une maison d'édition. Elle venait de laisser tomber l'université de San Marcos. Elle semblait attendre le moment précis où je m'endormais – ou du moins, je faisais semblant – pour percevoir, au point du jour, une image sacrificielle dont parler plus tard, quand, devenue une auteure célèbre, elle raconterait cette période de sa vie.

Tradabordo a dit…

Elle passait ses matinées à lire, fumer et boire du café. J'éprouvais une certaine tendresse pour son obsession de devenir écrivaine. Elle avait menti aussi : elle avait 21 ans, l'intention de publier et d'ouvrir réellement une maison d'édition. Elle venait de laisser tomber l'université de San Marcos. Elle semblait attendre le moment précis où je m'endormais – ou du moins, je faisais semblant – pour percevoir, au point du jour, une image sacrificielle dont parler plus tard, quand, devenue une auteure célèbre, elle raconterait cette période de sa vie.

OK.