jeudi 27 novembre 2014

Projet Nancy 4 – phrases 25-29

Y yo le digo que está bien, que sí es una exageración lo suyo y que el problema está en si se vuelve un dependiente de la lectura. Por qué no prueba dejarlo, le digo como si fuera una idea nunca antes pensada. ¡Porque están en todas partes doctor! En los puestos de periódico, en los supermercados, en las salas de espera, en los cafés, en las peluquerías, ¡en las bibliotecas! Ahora hasta regalan pasquines a la salida de los teatros y los cines, me dice con resignación.

Traduction temporaire :

Je lui assure que ce n'est rien, qu'il exagère, et qu'il y aurait un problème seulement s'il devenait dépendant à la lecture. Pourquoi ne pas essayer d'arrêter, lui lancé-je comme s'il n'y avait jamais pensé. Parce qu'il y en a partout, docteur ! Chez les marchants de journaux, dans les supermarchés, dans les salles d'attente, dans les cafés, dans les salons de coiffure, dans les bibliothèques ! Maintenant, on nous distribue même des tracts à la sortie des théâtres et des cinémas ! s'exclame-t-il avec résignation.

8 commentaires:

Nancy a dit…

Je lui assure que ce n'est rien, qu'il exagère, et que le problème se trouve dans une éventuelle dépendance à la lecture. Pourquoi ne pas essayer d'arrêter, lui lancé-je comme s'il n'y avait jamais pensé. Parce qu'il y en a partout, docteur ! Chez les marchants de journaux, dans les supermarchés, dans les salles d'attente, dans les cafés, dans les salons de coiffure, dans les bibliothèques ! Maintenant, on nous offre même des tracts à la sortie des théâtres et des cinémas ! s'exclame-t-il avec résignation.

Tradabordo a dit…

Je lui assure que ce n'est rien, qu'il exagère, et que le problème se trouve dans une éventuelle dépendance à la lecture [pour la fin, je ne suis pas certaine qu'en le disant comme ça le lecteur aura le même sens que la V.O.]. Pourquoi ne pas essayer d'arrêter, lui lancé-je comme s'il n'y avait jamais pensé. Parce qu'il y en a partout, docteur ! Chez les marchants de journaux, dans les supermarchés, dans les salles d'attente, dans les cafés, dans les salons de coiffure, dans les bibliothèques ! Maintenant, on nous offre [adapté ?] même des tracts à la sortie des théâtres et des cinémas ! s'exclame-t-il avec résignation.

Nancy a dit…

Je lui assure que ce n'est rien, qu'il exagère, et que le problème est qu'il devienne dépendant à la lecture. Pourquoi ne pas essayer d'arrêter, lui lancé-je comme s'il n'y avait jamais pensé. Parce qu'il y en a partout, docteur ! Chez les marchants de journaux, dans les supermarchés, dans les salles d'attente, dans les cafés, dans les salons de coiffure, dans les bibliothèques ! Maintenant, on nous distribue même des tracts à la sortie des théâtres et des cinémas ! s'exclame-t-il avec résignation.

Tradabordo a dit…

Je lui assure que ce n'est rien, qu'il exagère, et que le problème est qu'il devienne dépendant à la lecture [« qu'il y aurait un problème s'il devenait… » ?]. Pourquoi ne pas essayer d'arrêter, lui lancé-je comme s'il n'y avait jamais pensé. Parce qu'il y en a partout, docteur ! Chez les marchants de journaux, dans les supermarchés, dans les salles d'attente, dans les cafés, dans les salons de coiffure, dans les bibliothèques ! Maintenant, on nous distribue même des tracts à la sortie des théâtres et des cinémas ! s'exclame-t-il avec résignation.

Nancy a dit…

Je lui assure que ce n'est rien, qu'il exagère, et qu'il y aurait un problème s'il devenait dépendant à la lecture [ouf, merci]. Pourquoi ne pas essayer d'arrêter, lui lancé-je comme s'il n'y avait jamais pensé. Parce qu'il y en a partout, docteur ! Chez les marchants de journaux, dans les supermarchés, dans les salles d'attente, dans les cafés, dans les salons de coiffure, dans les bibliothèques ! Maintenant, on nous distribue même des tracts à la sortie des théâtres et des cinémas ! s'exclame-t-il avec résignation.

Tradabordo a dit…

Je lui assure que ce n'est rien, qu'il exagère, et qu'il y aurait un problème [cheville : « seulement » ou inutile ?] s'il devenait dépendant à la lecture. Pourquoi ne pas essayer d'arrêter, lui lancé-je comme s'il n'y avait jamais pensé. Parce qu'il y en a partout, docteur ! Chez les marchants de journaux, dans les supermarchés, dans les salles d'attente, dans les cafés, dans les salons de coiffure, dans les bibliothèques ! Maintenant, on nous distribue même des tracts à la sortie des théâtres et des cinémas ! s'exclame-t-il avec résignation.

Nancy a dit…

Je lui assure que ce n'est rien, qu'il exagère, et qu'il y aurait un problème seulement s'il devenait dépendant à la lecture. Pourquoi ne pas essayer d'arrêter, lui lancé-je comme s'il n'y avait jamais pensé. Parce qu'il y en a partout, docteur ! Chez les marchants de journaux, dans les supermarchés, dans les salles d'attente, dans les cafés, dans les salons de coiffure, dans les bibliothèques ! Maintenant, on nous distribue même des tracts à la sortie des théâtres et des cinémas ! s'exclame-t-il avec résignation.

Tradabordo a dit…

Je lui assure que ce n'est rien, qu'il exagère, et qu'il y aurait un problème seulement s'il devenait dépendant à la lecture. Pourquoi ne pas essayer d'arrêter, lui lancé-je comme s'il n'y avait jamais pensé. Parce qu'il y en a partout, docteur ! Chez les marchants de journaux, dans les supermarchés, dans les salles d'attente, dans les cafés, dans les salons de coiffure, dans les bibliothèques ! Maintenant, on nous distribue même des tracts à la sortie des théâtres et des cinémas ! s'exclame-t-il avec résignation.

OK.