mardi 12 avril 2016

Projet Hélène 5 – phrases 214-222

Los dos prisioneros estaban de nuevo amordazados y esperaban su suerte como resignados, inmóviles. Se dijo que tal vez debía ayudarlos, pero calló.
Clyde insistió:
¡Este hermano latino nos ha hecho un gran regalo hoy! ¡Quiero que lo traten como corresponde a un aliado nuestro!
Un rumor de aprobación lo rodeó y le hizo sentir algo que no sentía desde que se fue del Perú. Que servía para algo, que podía ser útil, que no era diferente en esa sociedad obtusa, que había ayudado a gente que estaba aún más al margen que él. Tal vez, todo eso estaba escrito en alguna parte y por una razón determinada él debía estar esa noche allí, asistiendo a esa ceremonia difícil de entender y de describir. Su mirada buscó por instinto a los caídos y vio que seguían quietos en la tensa espera de su suerte.

Traduction temporaire :
Les deux prisonniers étaient encore bâillonnés et attendaient leur sort, résignés, immobiles. Il se dit qu’il devait peut-être les aider, mais se tut.
Clyde revint à la charge :
— Notre frère latino nous a fait un beau cadeau, aujourd’hui ! Je veux qu’on le traite comme l’un des nôtres !
Une rumeur d’approbation l’entoura et lui insuffla un sentiment qu’il n’avait pas éprouvé depuis qu’il était parti du Pérou : il servait à quelque chose, il pouvait être utile, il n’était pas différent dans cette société obtuse, il avait secouru des gens qui se trouvaient encore plus à la marge que lui. Sans doute cette histoire était-elle écrite quelque part, et, pour une raison précise, devait-il être à cet endroit, cette nuit-là, pour assister à cette cérémonie difficile à comprendre et à décrire. Son regard rechercha instinctivement les hommes à terre ; il vit qu’ils restaient calmes, attendant anxieusement de savoir ce qu'on leur réservait.

4 commentaires:

Hélène a dit…

Les deux prisonniers étaient encore bâillonnés et attendaient leur sort comme résignés, immobiles. Il se dit qu’il devait peut-être les aider, mais il se tut.
Clyde insista :
— Notre frère latino nous a fait un beau cadeau aujourd’hui ! Je veux qu’on le traite comme l’un des nôtres !
Une rumeur d’approbation l’entoura et lui insuffla un sentiment qu’il n’avait pas éprouvé depuis qu’il était parti du Pérou : il servait à quelque chose, il pouvait être utile, il n’était pas différent dans cette société obtuse, il avait épaulé des gens qui se trouvaient encore plus à la marge que lui. Sans doute cette histoire était-elle écrite quelque part, et, pour une raison précise, il devait être à cet endroit cette nuit-là, pour assister à cette cérémonie difficile à comprendre et à décrire. Son regard rechercha instinctivement les hommes à terre ; il vit qu’ils restaient calmes, attendant anxieusement leur sort.


Tradabordo a dit…

Les deux prisonniers étaient encore bâillonnés et attendaient leur sort comme [nécessaire… d'autant que tu en as un après…] [virgule] ? résignés, immobiles. Il se dit qu’il devait peut-être les aider, mais il [nécessaire ?] se tut.
Clyde insista [ou avec « revenir à la charge » ? Comme tu veux…] :
— Notre frère latino nous a fait un beau cadeau [virgule ou « aujourd'hui » placé avant ?] aujourd’hui ! Je veux qu’on le traite comme l’un des nôtres !
Une rumeur d’approbation l’entoura et lui insuffla un sentiment qu’il n’avait pas éprouvé depuis qu’il était parti du Pérou : il servait à quelque chose, il pouvait être utile, il n’était pas différent dans cette société obtuse, il avait épaulé [naturel ici ?] des gens qui se trouvaient encore plus à la marge que lui. Sans doute cette histoire était-elle écrite quelque part, et, pour une raison précise, il devait [« devait-il » ?] être à cet endroit [virgule ?] cette nuit-là, pour assister à cette cérémonie difficile à comprendre et à décrire. Son regard rechercha instinctivement les hommes à terre ; il vit qu’ils restaient calmes, attendant anxieusement leur sort [« de savoir ce qu'on leur réservait », pour ne pas répéter].

Hélène a dit…

Les deux prisonniers étaient encore bâillonnés et attendaient leur sort, résignés, immobiles. Il se dit qu’il devait peut-être les aider, mais se tut.
Clyde revint à la charge :
— Notre frère latino nous a fait un beau cadeau, aujourd’hui ! Je veux qu’on le traite comme l’un des nôtres !
Une rumeur d’approbation l’entoura et lui insuffla un sentiment qu’il n’avait pas éprouvé depuis qu’il était parti du Pérou : il servait à quelque chose, il pouvait être utile, il n’était pas différent dans cette société obtuse, il avait secouru des gens qui se trouvaient encore plus à la marge que lui. Sans doute cette histoire était-elle écrite quelque part, et, pour une raison précise, devait-il être à cet endroit, cette nuit-là, pour assister à cette cérémonie difficile à comprendre et à décrire. Son regard rechercha instinctivement les hommes à terre ; il vit qu’ils restaient calmes, attendant anxieusement de savoir ce qu'on leur réservait.

Tradabordo a dit…

Les deux prisonniers étaient encore bâillonnés et attendaient leur sort, résignés, immobiles. Il se dit qu’il devait peut-être les aider, mais se tut.
Clyde revint à la charge :
— Notre frère latino nous a fait un beau cadeau, aujourd’hui ! Je veux qu’on le traite comme l’un des nôtres !
Une rumeur d’approbation l’entoura et lui insuffla un sentiment qu’il n’avait pas éprouvé depuis qu’il était parti du Pérou : il servait à quelque chose, il pouvait être utile, il n’était pas différent dans cette société obtuse, il avait secouru des gens qui se trouvaient encore plus à la marge que lui. Sans doute cette histoire était-elle écrite quelque part, et, pour une raison précise, devait-il être à cet endroit, cette nuit-là, pour assister à cette cérémonie difficile à comprendre et à décrire. Son regard rechercha instinctivement les hommes à terre ; il vit qu’ils restaient calmes, attendant anxieusement de savoir ce qu'on leur réservait.

OK.