jeudi 10 novembre 2016

Projet Hélène / Audrey – phrase 104

Decir que disfrutaba su compañía es poco; en verdad la quería de un modo profundo, pero mi miedo era tan fuerte, que no me atrevía a hablarle en el colegio, ni mucho menos a levantar la voz contra el escarnio del que era víctima (sabía muy bien que ponerme de su parte significaría convertirme, lo mismo que mi amiga, en una especie de piñata que las demás niñas del salón golpearían sin misericordia).

Traduction temporaire :
C'est peu dire que j'appréciais sa compagnie ; en vérité, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler à école, encore moins m'élever contre les moqueries dont elle était victime (je savais pertinemment que prendre son parti reviendrait à devenir comme mon amie, une espèce de piñata dans laquelle les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

15 commentaires:

Audrey a dit…

C'était bien peu de dire que j'appréciais sa compagnie ; en vérité, je l'aimais profondément, mais ma peur était si grande que je n'osais pas lui parler au collège, et encore moins élever la voix contre la raillerie dont elle était victime (je savais très bien que me ranger de son côté signifierait devenir, tout comme mon amie, une espèce de piñata que les autres filles de la classe asséneraient de coups sans miséricorde.

Hélène a dit…

Dire que j’appréciais sa compagnie est un euphémisme; en fait, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler au collège, encore moins lever la voix contre les moqueries dont elle était victime (je savais parfaitement que prendre son parti signifierait devenir, comme mon amie, une espèce de piñata que les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

Tradabordo a dit…

Je prends la trad d'Hélène parce qu'elle éviter le « c'est » du début – attention à ce tic de traduction et globalement d'écriture.

Dire que j’appréciais sa compagnie est un euphémisme[là, tu changes le registre][espace]; en fait [texte ?], je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler au collège [c'était pas « école » ?], encore moins lever [« élever » ? Vérifie] la voix contre les moqueries dont elle était victime (je savais parfaitement [« pertinemment » ? Comme tu préfères] que prendre son parti signifierait devenir, comme mon amie, une [une syntaxe plus fluide ? Vois si tu peux] espèce de piñata que [ou : « dans laquelle » ?] les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

Hélène a dit…

Dire que j’appréciais sa compagnie n'est rien ; en vérité, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler à école, encore moins élever la voix contre les moqueries dont elle était victime (je savais pertinemment que prendre son parti reviendrait à devenir comme mon amie, une espèce de piñata dans laquelle les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

Tradabordo a dit…

Dire que j’appréciais sa compagnie n'est rien [pas très clair…] ; en vérité, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler à école, encore moins élever la voix [ou simplement : « m'élever » ?] contre les moqueries dont elle était victime (je savais pertinemment que prendre son parti reviendrait à devenir comme mon amie, une espèce de piñata dans laquelle les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

Hélène a dit…

Dire que j’appréciais sa compagnie n'est que peu de chose ; en vérité, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler à école, encore moins m'élever contre les moqueries dont elle était victime (je savais pertinemment que prendre son parti reviendrait à devenir comme mon amie, une espèce de piñata dans laquelle les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

Tradabordo a dit…

Dire que j’appréciais sa compagnie n'est que peu de chose [décidément, ça ne va pas…] ; en vérité, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler à école, encore moins m'élever contre les moqueries dont elle était victime (je savais pertinemment que prendre son parti reviendrait à devenir comme mon amie, une espèce de piñata dans laquelle les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

Hélène a dit…

C'est peu dire que j'appréciais sa compagnie ; en vérité, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler à école, encore moins m'élever contre les moqueries dont elle était victime (je savais pertinemment que prendre son parti reviendrait à devenir comme mon amie, une espèce de piñata dans laquelle les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

Du coup, essayons quelque chose à partir de la proposition d'Audrey, même si on débute la phrase par "c'est".

Tradabordo a dit…

C'est peu dire que j'appréciais sa compagnie ; en vérité, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler à école, encore moins m'élever contre les moqueries dont elle était victime (je savais pertinemment que prendre son parti reviendrait à devenir comme mon amie, une espèce de piñata dans laquelle les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

OK.

Audrey ?

Tradabordo a dit…

Il faudra refermer la parenthèse.

Hélène a dit…

C'est peu dire que j'appréciais sa compagnie ; en vérité, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler à école, encore moins m'élever contre les moqueries dont elle était victime (je savais pertinemment que prendre son parti reviendrait à devenir comme mon amie, une espèce de piñata dans laquelle les autres filles de la cour taperaient sans pitié).

Avec la parenthèse !

Audrey ?

Audrey a dit…

C'est peu dire que j'appréciais sa compagnie ; en vérité, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler à école, encore moins m'élever contre les moqueries dont elle était victime (je savais pertinemment que prendre son parti reviendrait à devenir, [cette virgule me semble nécessaire] comme mon amie, une espèce de piñata dans laquelle les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

Tradabordo a dit…

Pour la virgule… Oui et non, en fait, parce que tu dis qu'elle devient comme elle, puis, après la virgule, tu explicites : à savoir une espèce de piñata…

Audrey a dit…

C'est peu dire que j'appréciais sa compagnie ; en vérité, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler à école, encore moins m'élever contre les moqueries dont elle était victime (je savais pertinemment que prendre son parti reviendrait à devenir comme mon amie, une espèce de piñata dans laquelle les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

[Ok, avec la virgule à valeur de deux points ]

Tradabordo a dit…

C'est peu dire que j'appréciais sa compagnie ; en vérité, je l’aimais profondément, mais ma peur était si forte que je n’osais pas lui parler à école, encore moins m'élever contre les moqueries dont elle était victime (je savais pertinemment que prendre son parti reviendrait à devenir comme mon amie, une espèce de piñata dans laquelle les autres filles de la cour taperaient sans pitié.

OK.