mardi 1 novembre 2016

Projet Lariane / Nasserra – phrases 15-18

Deambulaban con desparpajo y las patas siempre enfangadas a causa de la tierra pantanosa de la zona. Quizá sea un modo tonto de expresarlo, pero eran para mí como hombrecitos paseándose al sol. Su curiosidad y su holgazanería me acompañaban. Eran unos siete (a veces, venían menos) y yo velaba por ellos.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

7 commentaires:

Lauriane D a dit…

Ils déambulaient avec désinvolture, les pattes toujours pleines de boue à cause des marais de ce secteur. Peut-être est-ce une façon bête de l'exprimer, mais ils étaient pour moi comme de petits hommes qui se promenaient au soleil. Leur curiosité et leur paresse m'accompagnaient. Ils étaient environ sept (parfois, ils venaient moins nombreux) et moi je veillais sur eux.

Lauriane D a dit…

Ils déambulaient avec désinvolture, les pattes toujours pleines de boue à cause des marais de ce secteur. Peut-être est-ce une façon bête de l'exprimer, mais ils étaient pour moi comme de petits hommes qui se promenaient au soleil. Leur curiosité et leur paresse m'accompagnaient. Ils étaient à peu près sept (parfois, ils venaient moins nombreux) et moi je veillais sur eux.

Tradabordo a dit…

Ils déambulaient avec désinvolture [« nonchalamment » ?], les pattes toujours pleines de boue à cause des marais de [texte] ce secteur. Peut-être est-ce une façon bête de l'exprimer [naturel ?], mais ils étaient pour moi [placé un peu avant ?] comme de petits hommes qui se promenaient au soleil. Leur curiosité et leur paresse m'accompagnaient. Ils étaient à peu près sept (parfois, ils venaient [nécessaire ?] moins nombreux) et moi [virgule entre « moi » et « je » / dit en cours] je veillais sur eux.

Nasserra a dit…

Ils déambulaient nonchalamment, les pattes toujours pleines de boue à cause des terres marécageuses de cette zone. Peut-être est-ce une façon idiote de l'exprimer , mais, pour moi, ils étaient comme de petits hommes qui se promenaient au soleil. Leur curiosité et leur paresse m'accompagnaient. Ils étaient à peu près sept (parfois, moins nombreux) et moi, je veillais sur eux.

Tradabordo a dit…

Ils déambulaient nonchalamment, les pattes toujours pleines de boue à cause des terres marécageuses de cette zone. Peut-être est-ce une façon idiote de l'exprimer [pas d'espace avant la virgule], mais, pour moi, ils étaient comme de petits hommes qui se promenaient [ou « se promenant » ? Je vous laisse voir ce qui est mieux] au soleil. Leur curiosité et leur paresse m'accompagnaient. Ils étaient à peu près sept (parfois, moins nombreux [nécessaire ?]) et moi, je veillais sur eux.

Lauriane D a dit…

Ils déambulaient nonchalamment, les pattes toujours pleines de boue à cause des terres marécageuses de cette zone. Peut-être est-ce une façon idiote de l'exprimer, mais, pour moi, ils étaient comme de petits hommes se promenant au soleil. Leur curiosité et leur paresse m'accompagnaient. Ils étaient à peu près sept (parfois, moins) et moi, je veillais sur eux.

Tradabordo a dit…

Ils déambulaient nonchalamment, les pattes toujours pleines de boue à cause des terres marécageuses de cette zone. Peut-être est-ce une façon idiote de l'exprimer, mais, pour moi, ils étaient comme de petits hommes se promenant au soleil. Leur curiosité et leur paresse m'accompagnaient. Ils étaient à peu près sept (parfois, moins) et moi, je veillais sur eux.

OK.

Nasserra ?