samedi 17 novembre 2012

Projet Céline – phrase 32

La sentía gritar, llorar, sollozar, clamar, pidiendo más, más, más, como si estuviera sola, como si estuviera abandonada y sola en el mundo, solo con su llanto, solo con sus trenzas que él recogía para alzarla hasta sus brazos, es decir hasta su boca y también marcarla y sosegarla pero, ahora ella estaba llorando, hacía mucho tiempo que ella estaba llorando y si no sollozando y si no inmóvil, como muerta, en la semiluz, vestida y estirada en la cama.

Traduction temporaire :
Il l’entendait crier, pleurer, sangloter,  implorer, en demandant plus, plus, plus, comme si elle était seule, comme si elle était abandonnée et seule au monde, seulement avec ses larmes, seulement avec ses tresses que lui saisissait pour la ramener jusque dans ses bras, c’est-à-dire jusqu’à sa bouche, pour la marquer à son tour et la rassurer ; mais maintenant, elle pleurait, cela faisait longtemps qu’elle pleurait, et non pas prise de sanglots, non pas immobile, mais comme morte, dans la pénombre, habillée et étendue sur le lit.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Il l’entendait crier, pleurer, sangloter, implorer, en en demandant plus, plus, plus, comme si elle était seule, comme si elle était abandonnée et seule au monde, seulement avec ses larmes, seulement avec ses tresses que lui, il saisissait pour la soulever jusque dans ses bras, c’est-à-dire jusqu’à sa bouche, pour la marquer à son tour et la rassurer ; mais maintenant, elle était en train de pleurer, cela faisait longtemps qu’elle était en train de pleurer, et non pas en sanglotant, non pas immobile, mais comme morte, dans la pénombre, habillée et étendue sur le lit.

Tradabordo a dit…

Il l’entendait crier, pleurer, sangloter, implorer, en en [tu peux supprimer un « en »] demandant plus, plus, plus, comme si elle était seule, comme si elle était abandonnée et seule au monde, seulement avec ses larmes, seulement avec ses tresses que lui, il [pas besoin de « il »] saisissait pour la soulever [ou « ramener » ?] jusque dans ses bras, c’est-à-dire jusqu’à sa bouche, pour la marquer à son tour [pas sûre que ce soit ce que recouvre le « también » ; réfléchis bien et dis-moi] et la rassurer ; mais maintenant, elle était en train de pleurer [« pleurait » suffit, à mon avis], cela faisait longtemps qu’elle était en train de pleurer [idem], et non pas en sanglotant [mal dit], non pas immobile, mais comme morte, dans la pénombre, habillée et étendue sur le lit.

Unknown a dit…

Il l’entendait crier, pleurer, sangloter, implorer, en demandant plus, plus, plus, comme si elle était seule, comme si elle était abandonnée et seule au monde, seulement avec ses larmes, seulement avec ses tresses que lui saisissait pour la ramener jusque dans ses bras, c’est-à-dire jusqu’à sa bouche, pour la marquer à son tour et la rassurer ; mais maintenant, elle pleurait, cela faisait longtemps qu’elle pleurait, et non pas prise de sanglots, non pas immobile, mais comme morte, dans la pénombre, habillée et étendue sur le lit.

Pour « y también marcarla », je pense que cela fait écho à quand il dit dans la phrase précédente : « las uñas de ella que lo iban clavando, recorriendo, atándolo, amarrándolo, marcándolo con sus quejas ».

Tradabordo a dit…

Il l’entendait crier, pleurer, sangloter, implorer, en demandant plus, plus, plus, comme si elle était seule, comme si elle était abandonnée et seule au monde, seulement avec ses larmes, seulement avec ses tresses que lui saisissait pour la ramener jusque dans ses bras, c’est-à-dire jusqu’à sa bouche, pour la marquer à son tour et la rassurer ; mais maintenant, elle pleurait, cela faisait longtemps qu’elle pleurait, et non pas prise de sanglots, non pas immobile, mais comme morte, dans la pénombre, habillée et étendue sur le lit.

OK.