mardi 12 février 2013

Projet Kévin – phrase 23

No es ésta la primera o última ocasión en que, en el curso de estas páginas, deberemos remitirnos a la pesquisa policial del ser humano acosado como individuo en sí,  por lo tanto odioso y peligroso, por lo tanto expuesto a requisición, a examen, a la desconfiada burocracia de la aduana del fascismo, sino también, y muy especial y expresivamente, en los remanentes del ser humano a su paso por la tierra,  sus admirables emanaciones que se llaman libro, teoría, sinfonía, pintura, pero el libro, fundamentalmente el libro, esa bomba de tiempo que es, para las mentes de las tinieblas,  para los espíritus del caos, esta amable pequeña cosa material y muda que sólo despierta cuando la cogen tus manos, cuando la abren tus ojos, es decir tú mismo, tu alma, tus interrogaciones, esa interrogación abierta que eres tú cuando creces joven y generoso.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière portant sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la bureaucratie méfiante de la douane du fascisme, mais aussi, de façon spéciale et expressive, portant sur les résidus de l'être humain après son passage sur terre, ses admirables émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture. Mais le livre, fondamentalement le livre, cette bombe de temps qui est,  pour les esprits des ténèbres, pour les esprits du chaos, cette aimable petite chose matérielle et muette qui se réveille uniquement quand tes mains la prennent,  quand tes yeux l'ouvrent, c'est-à-dire toi-même, ton âme, tes interrogations, cette interrogation ouverte que tu es quand tu grandis,  jeune et généreux.

21 commentaires:

Unknown a dit…

Ce n'est pas la première ou la dernière occasion lors de laquelle, au cours de ces pages, nous devrons nous rapporter à l'enquête policière de l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la méfiante douane du fascisme, mais aussi [ une enquête policière], de façon spéciale et expressive, dans les résidus de l'être humain dans son passage sur terre, ses admirable émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture.

Je pense couper ici pour l'instant.

Tradabordo a dit…

No es ésta la primera o última ocasión en que, en el curso de estas páginas, deberemos remitirnos a la pesquisa policial del ser humano acosado como individuo en sí,
Ce n'est pas [cheville : « là » ? À toi de voir] la première ou la dernière occasion lors de laquelle [simplifie], au cours de ces pages [ou avec « au fil » ?], nous devrons nous rapporter [FS] à l'enquête policière de [ou « sur » ? Comment le comprends-tu ? En fait, ça dépend aussi de la suite… Tu es plus dans ton texte que moi] l'être humain traqué en tant qu'individu en soi,

Unknown a dit…

Là n'est pas la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la méfiante douane du fascisme, mais aussi [ une enquête policière], de façon spéciale et expressive, dans les résidus de l'être humain dans son passage sur terre, ses admirable émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture.

Tradabordo a dit…

Là n'est pas la première ou la dernière occasion [non, ça n'est pas ce que je t'ai demandé de faire ; je te mets généralement « cheville » là, où je pense qu'elle serait bien… Montre-moi ce que ça donnerait comme indiqué et on verra ensemble s'il faut chercher un autre système] où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi,

Unknown a dit…

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion [non, ça n'est pas ce que je t'ai demandé de faire ; je te mets généralement « cheville » là, où je pense qu'elle serait bien… Montre-moi ce que ça donnerait comme indiqué et on verra ensemble s'il faut chercher un autre système] où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi,

Tradabordo a dit…

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre [ou « recourir » ? Tu trancheras] à l'enquête policière sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi,

por lo tanto odioso y peligroso, por lo tanto expuesto a requisición, a examen, a la desconfiada burocracia de la aduana del fascismo,
par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la méfiante [ou après « douane » ? Essaie et vois ce qui est mieux] douane du fascisme,

sino también, y muy especial y expresivamente, en los remanentes del ser humano a su paso por la tierra, sus admirables emanaciones que se llaman libro, teoría, sinfonía, pintura,
mais aussi, de façon spéciale et expressive, dans [« aux » ??????] les résidus de l'être humain dans son passage sur terre [pas exactement ainsi que c'est formulé ; pourquoi tu changes ?], ses admirable [corrige et relis-toi] émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture.

Unknown a dit…

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la bureaucratie méfiante de la douane du fascisme, mais aussi, de façon spéciale et expressive, dans [Je comprend cette partie comme liée à l'enquête policière : "une enquête dans"] les résidus de l'être humain sur son passage sur terre, ses admirables émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture.

Tradabordo a dit…

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la bureaucratie méfiante de la douane du fascisme, mais aussi, de façon spéciale et expressive, dans [j'ai bien compris mais « dans » ne va pas] les résidus de l'être humain sur son passage sur terre, ses admirables émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture.

Unknown a dit…

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la bureaucratie méfiante de la douane du fascisme, mais aussi, de façon spéciale et expressive, concernant les résidus de l'être humain sur son passage sur terre, ses admirables émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture.

Tradabordo a dit…

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la bureaucratie méfiante de la douane du fascisme, mais aussi, de façon spéciale et expressive, concernant [une enquête policière concernant ; cela te semble-t-il naturel ?] les résidus de l'être humain sur son passage sur terre, ses admirables émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture.

Unknown a dit…

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la bureaucratie méfiante de la douane du fascisme, mais aussi, de façon spéciale et expressive, sur [C'est le mot que je voulais mettre, mais du coup, ça fait trois "sur" en très peu de temps. Mais je n'ai rien trouvé d'autre. "Aux" ne convient qu'avec des lieux] les résidus de l'être humain sur son passage sur terre, ses admirables émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture.

Tradabordo a dit…

Écoute, vu la longueur et la complexité de la phrase, tant pis pour les répétitions, surtout de « sur »… sinon, ton texte sera incompréhensible. Le cas échéant, on verra ça au moment de la relecture.
Remets avec « sur »…

Unknown a dit…

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la bureaucratie méfiante de la douane du fascisme, mais aussi, de façon spéciale et expressive, sur les résidus de l'être humain sur son passage sur terre, ses admirables émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture. Mais le livre, fondamentalement le livre, cette bombe de temps qui est, pour les esprits des ténèbres, pour les esprits du chaos, cette aimable petite chose matérielle et muette qui se réveille uniquement quand tes mains la prennent, quand tes yeux l'ouvrent, c'est-à-dire toi-même, tes interrogations, cette interrogation ouverte que tu es quand tu grandis, jeune et généreux.

Tradabordo a dit…

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière [pour plus de clarté, je te propose d'ajouter « portant » et idem plus bas… – comme ça, ça assurera bien le lien] sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la bureaucratie méfiante de la douane du fascisme, mais aussi, de façon spéciale et expressive, sur les résidus de l'être humain sur [ou « après ?»] son passage sur terre, ses admirables émanations qui se nomment [ou « nommées » ?] livre, théorie, symphonie et peinture.


Mais le livre, fondamentalement le livre, cette bombe de temps qui est, pour les esprits des ténèbres, pour les esprits du chaos, cette aimable petite chose matérielle et muette qui se réveille uniquement quand tes mains la prennent, quand tes yeux l'ouvrent, c'est-à-dire toi-même, tes interrogations, cette interrogation ouverte que tu es quand tu grandis, jeune et généreux.

Unknown a dit…

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière [pour plus de clarté, je te propose d'ajouter « portant » et idem plus bas… – comme ça, ça assurera bien le lien] sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la bureaucratie méfiante de la douane du fascisme, mais aussi, de façon spéciale et expressive, sur les résidus de l'être humain après son passage sur terre, ses admirables émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture.


Mais le livre, fondamentalement le livre, cette bombe de temps qui est, pour les esprits des ténèbres, pour les esprits du chaos, cette aimable petite chose matérielle et muette qui se réveille uniquement quand tes mains la prennent, quand tes yeux l'ouvrent, c'est-à-dire toi-même, tes interrogations, cette interrogation ouverte que tu es quand tu grandis, jeune et généreux.

Tradabordo a dit…

Tu n'as pas tenu compte de mon commentaire précédent ? Si tu décides de faire autrement, signale-le…

Unknown a dit…

Désolé, ça m'a échappé.


Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière portant sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la bureaucratie méfiante de la douane du fascisme, mais aussi, de façon spéciale et expressive, portant sur les résidus de l'être humain après son passage sur terre, ses admirables émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture.


Mais le livre, fondamentalement le livre, cette bombe de temps qui est, pour les esprits des ténèbres, pour les esprits du chaos, cette aimable petite chose matérielle et muette qui se réveille uniquement quand tes mains la prennent, quand tes yeux l'ouvrent, c'est-à-dire toi-même, tes interrogations, cette interrogation ouverte que tu es quand tu grandis, jeune et généreux.

Tradabordo a dit…

Ce n'est pas là la première ou la dernière occasion où, au fil de ces pages, nous devrons nous en remettre à l'enquête policière portant sur l'être humain traqué en tant qu'individu en soi, par conséquent odieux et dangereux, par conséquent exposé à une réquisition, à un examen, à la bureaucratie méfiante de la douane du fascisme, mais aussi, de façon spéciale et expressive, portant sur les résidus de l'être humain après son passage sur terre, ses admirables émanations qui se nomment livre, théorie, symphonie et peinture.

OK.

Je colle ce morceau… Ainsi, nous n'aurons plus à nous en occuper.

Tradabordo a dit…

pero el libro, fundamentalmente el libro, esa bomba de tiempo que es, para las mentes de las tinieblas, para los espíritus del caos, esta amable pequeña cosa material y muda que sólo despierta cuando la cogen tus manos, cuando la abren tus ojos, es decir tú mismo, tu alma, tus interrogaciones, esa interrogación abierta que eres tú cuando creces joven y generoso.

Mais le livre, fondamentalement le livre, cette bombe de temps qui est, pour les esprits des ténèbres, pour les esprits du chaos, cette aimable petite chose matérielle et muette qui se réveille uniquement quand tes mains la prennent, quand tes yeux l'ouvrent, c'est-à-dire toi-même, [il manque un petit bout] tes interrogations, cette interrogation ouverte que tu es quand tu grandis, jeune et généreux.

Unknown a dit…

Mais le livre, fondamentalement le livre, cette bombe de temps qui est, pour les esprits des ténèbres, pour les esprits du chaos, cette aimable petite chose matérielle et muette qui se réveille uniquement quand tes mains la prennent, quand tes yeux l'ouvrent, c'est-à-dire toi-même, ton âme, tes interrogations, cette interrogation ouverte que tu es quand tu grandis, jeune et généreux.

Tradabordo a dit…

Mais le livre, fondamentalement le livre, cette bombe de temps qui est, pour les esprits des ténèbres, pour les esprits du chaos, cette aimable petite chose matérielle et muette qui se réveille uniquement quand tes mains la prennent, quand tes yeux l'ouvrent, c'est-à-dire toi-même, ton âme, tes interrogations, cette interrogation ouverte que tu es quand tu grandis, jeune et généreux.

OK.