Podría decirse que su estado de ánimo era un fiel reflejo de las oscuras nubes que avanzaban en ese momento por el lugar, amenazantes, entorpeciendo el paso de los rayos de luz hacia la superficie.
Traduction temporaire :
On pourrait dire que son état d'esprit était un reflet fidèle des nuages noirs qui progressaient alors, menaçants, sur ces lieux, entravant le passage des rayons de lumière vers le sol.
On pourrait dire que son état d'esprit était un reflet fidèle des nuages noirs qui progressaient alors, menaçants, sur ces lieux, entravant le passage des rayons de lumière vers le sol.
8 commentaires:
On pourrait dire que son état d'esprit était un reflet fidèle des nuages sombres qui progressaient en ce moment sur les lieux, menaçants, entravant le passage des rayons de lumière vers le sol.
On pourrait dire que son état d'esprit était un reflet fidèle des nuages sombres [est-ce qu'on ne dirait pas « noirs » dans ce cas précis ?] qui progressaient en ce moment [ou « à ce moment-là » ? Comme vous voulez] sur les lieux [« en ces lieux » ?], menaçants, entravant le passage des rayons de lumière vers le sol.
On pourrait dire que son état d'esprit était un reflet fidèle des nuages noirs qui progressaient à ce moment-là sur les lieux, menaçants, entravant le passage des rayons de lumière vers le sol.
Je trouve l'articulation un peu bizarre en mettant "à ce moment-là en ces lieux" ; si "sur les lieux" n'est pas bancal, je préfère cette solution, plus facile à lire.
On pourrait dire que son état d'esprit était un reflet fidèle des nuages noirs qui progressaient à ce moment-là sur les lieux, menaçants [nous avons un pb ; ainsi formulé, « menaçants » portent sur « lieux » / le plus simple est de trouver un mot singulier à la place], entravant le passage des rayons de lumière vers le sol.
Ne serait-ce pas plus simple de le tourner ainsi :
On pourrait dire que son état d'esprit était un reflet fidèle des nuages noirs qui progressaient à ce moment-là, menaçants, sur les lieux, entravant le passage des rayons de lumière vers le sol.
On pourrait dire que son état d'esprit était un reflet fidèle des nuages noirs qui progressaient à ce moment-là [« alors » ?], menaçants, sur les [« ces » ?] lieux, entravant le passage des rayons de lumière vers le sol.
On pourrait dire que son état d'esprit était un reflet fidèle des nuages noirs qui progressaient alors, menaçants, sur ces lieux, entravant le passage des rayons de lumière vers le sol.
On pourrait dire que son état d'esprit était un reflet fidèle des nuages noirs qui progressaient alors, menaçants, sur ces lieux, entravant le passage des rayons de lumière vers le sol.
OK.
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