Una sirvienta puneña lo había traído para mi madre por Navidad y ella lo confinó en un rincón discreto y poco favorecido por la luz, pero a mí me llamaba la atención la cantidad de saquitos y bultos que llevaba encima, como un lastre inmisericorde y caótico: eran pequeñas ofrendas de maíz y habas, de sal y azúcar y trocitos de galleta y mil cosas más, un muestrario apabullante que el Ekeko soportaba con una sonrisa vengativa y sutil.
Traduction temporaire :
Une employée de maison originaire de Puno l’avait apportée pour Noël à ma mère, qui l’avait reléguée dans un coin discret et sombre ; mais moi, j’étais fasciné par la quantité de petits sacs et de paquets qu’elle portait, sorte de fardeau impitoyable et chaotique : des minuscules offrandes de maïs et de fèves, de sel et de sucre, de morceaux de biscuit et mille autres aliments, un échantillonnage stupéfiant que l’Ekeko supportait avec un subtil sourire vindicatif.
Une employée de maison originaire de Puno l’avait apportée pour Noël à ma mère, qui l’avait reléguée dans un coin discret et sombre ; mais moi, j’étais fasciné par la quantité de petits sacs et de paquets qu’elle portait, sorte de fardeau impitoyable et chaotique : des minuscules offrandes de maïs et de fèves, de sel et de sucre, de morceaux de biscuit et mille autres aliments, un échantillonnage stupéfiant que l’Ekeko supportait avec un subtil sourire vindicatif.
6 commentaires:
Une domestique originaire de Puno l’avait apportée à ma mère pour Noël, et celle-ci l’avait reléguée dans un coin discret et peu avantagé par la lumière ; mais moi, mon attention était attirée par la quantité de petits sacs et de paquets qu’elle portait sur elle, comme un fardeau impitoyable et chaotique : il s’agissait de minces offrandes de maïs et de fèves, de sel et de sucre, de morceaux de biscuit et mille autres choses, un échantillonnage déconcertant que l’Ekeko supportait avec un léger sourire vindicatif.
Une domestique [adapté ?] originaire de Puno l’avait apportée [c'est l'ekeko, non ?] à ma mère pour Noël, et celle-ci [simplement « qui » ?] l’avait reléguée dans un coin discret et peu avantagé par la lumière [ou alors on ne retient que l'idée… car là, est-ce que tu ne crois pas que l'effet produit est un peu bizarre ? J'hésite] ; mais moi, mon attention était attirée [simplifie] par la quantité de petits sacs et de paquets qu’elle portait sur elle [« il » ou « elle », donc + est-ce qu'on peut supprimer « sur elle » ?], comme un [ou « sorte de » ?] fardeau impitoyable et chaotique : il s’agissait de [supprime] minces [bof] offrandes de maïs et de fèves, de sel et de sucre, de morceaux de biscuit et mille autres choses [« encore » ?], un échantillonnage déconcertant [je me demande si l'adjectif de la V.O. n'est pas plus fort] que l’Ekeko supportait [pas sûre que ce soit dans ce sens-là] avec un léger [reviens à la V.O.] sourire vindicatif.
Une employée de maison originaire de Puno l’avait apportée à ma mère pour Noël, qui l’avait reléguée dans un coin discret et sombre ; mais moi, j’étais interpellé par la quantité de petits sacs et de paquets qu’elle portait, sorte de fardeau impitoyable et chaotique : des minuscules offrandes de maïs et de fèves, de sel et de sucre, de morceaux de biscuit et mille autres aliments, un échantillonnage écrasant que l’Ekeko tolérait avec un subtil sourire vindicatif.
Le sujet dans les phrases précédentes est « la petite poupée ».
Une employée de maison originaire de Puno l’avait apportée à ma mère pour Noël [tu devrais inverser ; ce sera mieux pour la virgule et le « qui » qui suit], qui l’avait reléguée dans un coin discret et sombre ; mais moi, j’étais interpellé [« fasciné » ?] par la quantité de petits sacs et de paquets qu’elle portait, sorte de fardeau impitoyable et chaotique : des minuscules offrandes de maïs et de fèves, de sel et de sucre, de morceaux de biscuit et mille autres aliments, un échantillonnage écrasant [FS] que l’Ekeko tolérait [ou dans le sens de « porter » ? Je ne sais pas…] avec un subtil sourire vindicatif.
Une employée de maison originaire de Puno l’avait apportée pour Noël à ma mère, qui l’avait reléguée dans un coin discret et sombre ; mais moi, j’étais fasciné par la quantité de petits sacs et de paquets qu’elle portait, sorte de fardeau impitoyable et chaotique : des minuscules offrandes de maïs et de fèves, de sel et de sucre, de morceaux de biscuit et mille autres aliments, un échantillonnage stupéfiant que l’Ekeko supportait avec un subtil sourire vindicatif.
Vu que j’ai aussi un doute pour « soportar », autant laisser « supporter », comme ça on a les deux sens de « porter », et « endurer ».
Une employée de maison originaire de Puno l’avait apportée pour Noël à ma mère, qui l’avait reléguée dans un coin discret et sombre ; mais moi, j’étais fasciné par la quantité de petits sacs et de paquets qu’elle portait, sorte de fardeau impitoyable et chaotique : des minuscules offrandes de maïs et de fèves, de sel et de sucre, de morceaux de biscuit et mille autres aliments, un échantillonnage stupéfiant que l’Ekeko supportait avec un subtil sourire vindicatif.
OK.
Enregistrer un commentaire