samedi 16 mars 2013

Projet Delphine 2 – phrase 2

A lo largo de su larga vida nunca se había sentido así, con 85 años nunca hubiera podido imaginar que acabaría recluido en su casa por temor al extraño que cada día a las cinco desde hacía poco más de un mes intentaba sin éxito entrar en su casa.

Traduction temporaire :
Au court de sa longue vie, jamais il ne s'était senti ainsi ; à 85 ans, jamais il n'aurait pu imaginer finir reclus dans sa propre maison, à cause de sa peur de l'étranger qui, chaque jour à cinq heures, et ce depuis un peu plus d'un mois, tentait, en vain, de pénétrer chez lui.

11 commentaires:

Unknown a dit…

Il ne s'était jamais senti ainsi de toute sa vie ; à 85 ans, jamais il n'aurait pu imaginer finir reclus dans sa maison, par peur de l'étranger qui, chaque jour à cinq heures, depuis un peu plus d'un mois, tentait en vain d'entrer chez lui.

Tradabordo a dit…

Il ne s'était jamais senti ainsi de toute sa vie [tu t'éloignes de la V.O. ; là, c'est de la réécriture plus que de la trad. Rejoins le littéral ; on verra ensuite si effectivement, il y a des changements à apporter] ; à 85 ans, jamais il n'aurait pu imaginer finir reclus dans sa maison, par [ou sans la virgule et avec « à cause de sa » ? Essaie et vois ce qui est mieux] peur de l'étranger qui, chaque jour à cinq heures, [cheville : « et ce » ? Comme tu veux] depuis un peu plus d'un mois, tentait [virgule ?] en vain [virgule ?] d'entrer [ou « pénétrer » ?] chez lui.

As-tu reçu mon mail concernant la publication de ta nouvelle précédente ?

Unknown a dit…

Au court de sa vie, jamais il ne s'était senti ainsi ; à 85 ans, jamais il n'aurait pu imaginer finir reclus dans sa maison, à cause de sa peur de l'étranger qui, chaque jour à cinq heures, et ce depuis un peu plus d'un mois, tentait, en vain, de pénétrer [oui parfait, j'ai hésité et ai pensé que le sens aurait été trop fort] chez lui.

En effet, je viens de reconnecter avec mes boites mail. J'ai bien reçu votre message concernant la publication. Super. J'ai d'ailleurs lu les deux autres nouvelles de l'auteur...univers inquiétant.
Et motivée à continuer sur cette lancée, c'est vraiment une belle expérience! ;-)

Unknown a dit…

Je viens de m'apercevoir de l'oubli de "LARGA vida"...

Au cours de sa longue vie, jamais il ne s'était senti ainsi.

Tradabordo a dit…

Aaaaah… Contente que cela te plaise :D

Du coup, remets-moi l'ensemble de ta phrase avec ta dernière modif.

Unknown a dit…

Au court de longue sa vie, jamais il ne s'était senti ainsi ; à 85 ans, jamais il n'aurait pu imaginer finir reclus dans sa maison, à cause de sa peur de l'étranger qui, chaque jour à cinq heures, et ce depuis un peu plus d'un mois, tentait, en vain, de pénétrer [oui parfait, j'ai hésité et ai pensé que le sens aurait été trop fort] chez lui.

Tradabordo a dit…

Au court de longue sa vie, jamais il ne s'était senti ainsi ; à 85 ans, jamais [crois-tu nécessaire la répétition de « jamais » ? J'hésite… Vois s'il faut la laisser ou si l'on peut supprimer] il n'aurait pu imaginer finir reclus dans sa [cheville : « propre » ou inutile ? Comme tu veux] maison, à cause de sa peur de l'étranger qui, chaque jour à cinq heures, et ce depuis un peu plus d'un mois, tentait, en vain, de pénétrer chez lui.

Unknown a dit…

Au court de sa longue vie, jamais il ne s'était senti ainsi ; à 85 ans, jamais [je trouvais en effet la répétition un peu lourde mais elle est présente dans la V.O. où "nunc" a la même valeur que "jamais" donc... je le laisserais]] il n'aurait pu imaginer finir reclus dans sa propre [ne modifie-t-il pas un peu le sens?] maison, à cause de sa peur de l'étranger qui, chaque jour à cinq heures, et ce depuis un peu plus d'un mois, tentait, en vain, de pénétrer chez lui.

Tradabordo a dit…

Au court de sa longue vie, jamais il ne s'était senti ainsi ; à 85 ans, jamais il n'aurait pu imaginer finir reclus dans sa propre [ne modifie-t-il pas un peu le sens? JE NE CROIS PAS… MAIS ON FAIT VRAIMENT COMME TU VEUX] maison, à cause de sa peur de l'étranger qui, chaque jour à cinq heures, et ce depuis un peu plus d'un mois, tentait, en vain, de pénétrer chez lui.

Unknown a dit…

Au court de sa longue vie, jamais il ne s'était senti ainsi ; à 85 ans, jamais il n'aurait pu imaginer finir reclus dans sa propre maison, à cause de sa peur de l'étranger qui, chaque jour à cinq heures, et ce depuis un peu plus d'un mois, tentait, en vain, de pénétrer chez lui.

Tradabordo a dit…

Au court de sa longue vie, jamais il ne s'était senti ainsi ; à 85 ans, jamais il n'aurait pu imaginer finir reclus dans sa propre maison, à cause de sa peur de l'étranger qui, chaque jour à cinq heures, et ce depuis un peu plus d'un mois, tentait, en vain, de pénétrer chez lui.

OK.