samedi 16 mars 2013

Projet Elena 2 – phrase 153

Pero ahora no era el mismo olor, el de los obreros que habían transpirado el día y volvían a casa cansados y doloridos: este olor era de miseria.

Traduction temporaire :
À cette différence que maintenant, ce n'était pas la même odeur, celle des ouvriers qui avaient transpiré pendant leur journée et qui rentraient chez eux fatigués et moulus : non, maintenant, c'était l'odeur de la misère.

6 commentaires:

Elena a dit…

Mais maintenant, ce n'était pas la même odeur, celle des ouvriers qui avaient transpiré pendant leur journée et qui rentraient chez eux fatigués et accablés : maintenant, c'était l'odeur de la misère.

Pour "doloridos", j'hésite : "ayant mal par tout" ?

Tradabordo a dit…

Mais [ou « À cette différence que »] maintenant, ce n'était pas la même odeur, celle des ouvriers qui avaient transpiré pendant leur journée et qui rentraient chez eux fatigués et accablés [FS] : [cheville : « non, »] maintenant, c'était l'odeur de la misère.

Elena a dit…

À cette différence que maintenant, ce n'était pas la même odeur, celle des ouvriers qui avaient transpiré pendant leur journée et qui rentraient chez eux fatigués et endoloris : non, maintenant, c'était l'odeur de la misère.

Tradabordo a dit…

À cette différence que maintenant, ce n'était pas la même odeur, celle des ouvriers qui avaient transpiré pendant leur journée et qui rentraient chez eux fatigués et endoloris [« moulus »] : non, maintenant, c'était l'odeur de la misère.

Elena a dit…

À cette différence que maintenant, ce n'était pas la même odeur, celle des ouvriers qui avaient transpiré pendant leur journée et qui rentraient chez eux fatigués et moulus : non, maintenant, c'était l'odeur de la misère.

Tradabordo a dit…

À cette différence que maintenant, ce n'était pas la même odeur, celle des ouvriers qui avaient transpiré pendant leur journée et qui rentraient chez eux fatigués et moulus : non, maintenant, c'était l'odeur de la misère.

OK.