jeudi 21 mars 2013

Projet Élise 2 – phrase 56

¿Y nadie se pregunta qué habría sido de mí, en un castillo donde había una pieza llena de mujeres degolladas y colgadas de ganchos en las paredes, conviviendo con el hombre que había sido el esposo de dichas mujeres y las había matado seguramente de propia mano?

Traduction temporaire :
Et dans un château où il y avait une pièce pleine de femmes égorgées, pendues à des crochets sur les murs, personne ne se demande ce qu’il me serait arrivé, à moi, partageant la vie du mari qui les avait sûrement tuées de ses propres mains ?

7 commentaires:

Unknown a dit…

Et personne ne se demande ce qu’il me serait arrivée, dans un château avec une pièce remplie de femmes égorgées, pendues à des crochets sur les murs, habitant avec l’homme qui avait été le mari de ces femmes et qui les avait sûrement tuées de ses propres mains ?

Tradabordo a dit…

Et personne ne se demande ce qu’il me serait arrivée [grammaire], dans un château avec [tu devrais rester près de la V.O.] une pièce remplie [ou « pleine » ?] de femmes égorgées, pendues à des crochets sur les murs, habitant [ou « partageant la vie » ?] avec l’homme qui avait été le mari de ces femmes [ou « leur mari », pour éviter la répétition ? Comme tu veux] et qui les avait sûrement tuées de ses propres mains ?

Unknown a dit…

Et personne ne se demande ce qu’il me serait arrivé, dans un château où se trouvait une pièce pleine de femmes égorgées, pendues à des crochets sur les murs, partageant la vie de leur mari qui les avait sûrement tuées de ses propres mains ?

Tradabordo a dit…

Et personne ne se demande ce qu’il me serait arrivé, dans un château où se trouvait [« il y avait » ?] une pièce pleine de femmes égorgées, pendues à des crochets sur les murs, partageant la vie [c'est ennuyant parce qu'on a un doute sur qui partage… Une autre syntaxe ? Fais des essais] de leur mari qui les avait sûrement tuées de ses propres mains ?

Unknown a dit…

Et dans un château où il y avait une pièce pleine de femmes égorgées, pendues à des crochets sur les murs, personne ne se demande ce qu’il me serait arrivé, à moi, partageant la vie de leur mari qui les avait sûrement tuées de ses propres mains ?

Tradabordo a dit…

Et dans un château où il y avait une pièce pleine de femmes égorgées, pendues à des crochets sur les murs, personne ne se demande ce qu’il me serait arrivé, à moi, partageant la vie de leur mari qui les avait sûrement tuées de ses propres mains ?

Alors du coup :

Et dans un château où il y avait une pièce pleine de femmes égorgées, pendues à des crochets sur les murs, personne ne se demande ce qu’il me serait arrivé, à moi, partageant la vie du mari qui les avait sûrement tuées de ses propres mains ?

OK ?

Unknown a dit…

OK !