Este es el clima, el capítulo, el largo capítulo no termina, continúa abierto y en estos momentos pienso que esta novelita –de unas doscientas páginas– podría llamarse Capítulo siguiente– Viernes 15 de junio de 1979, Wabern.
Traduction temporaire :
Voilà donc le climat ; le chapitre, le long chapitre n’en finit pas, il reste ouvert et, dans ces moments-là, je me dis que ce petit roman – d’environ deux cents pages – pourrait s’intituler Chapitre suivant – Vendredi 15 juin 1979, Wabern.
Voilà donc le climat ; le chapitre, le long chapitre n’en finit pas, il reste ouvert et, dans ces moments-là, je me dis que ce petit roman – d’environ deux cents pages – pourrait s’intituler Chapitre suivant – Vendredi 15 juin 1979, Wabern.
4 commentaires:
Voilà donc le climat ; le chapitre, le long chapitre n’en finit pas, il reste ouvert, et dans ces moments-là, je me dis que ce petit roman – d’environ deux cents pages – pourrait s’intituler Chapitre suivant – Vendredi 15 juin 1979, Wabern.
J'hésite: voici/voilà...
(et j'espère que tu as trouvé un/des trains...)
Voilà donc le climat ; le chapitre, le long chapitre n’en finit pas, il reste ouvert, et [ici la virgule ?] dans ces moments-là, je me dis que ce petit roman – d’environ deux cents pages – pourrait s’intituler Chapitre suivant – Vendredi 15 juin 1979, Wabern.
Voilà donc le climat ; le chapitre, le long chapitre n’en finit pas, il reste ouvert et, dans ces moments-là, je me dis que ce petit roman – d’environ deux cents pages – pourrait s’intituler Chapitre suivant – Vendredi 15 juin 1979, Wabern.
Voilà donc le climat ; le chapitre, le long chapitre n’en finit pas, il reste ouvert et, dans ces moments-là, je me dis que ce petit roman – d’environ deux cents pages – pourrait s’intituler Chapitre suivant – Vendredi 15 juin 1979, Wabern.
OK.
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