Le digo que sí con un gesto, pero él y yo sabemos que es un acuerdo: Vive y deja Vivir. Después de todo, el tipo es un habanerito sobreviviendo a su servicio militar en la PNR y luchando como tú.
Por ahí viene un Pepe.
Traduction temporaire :
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais qui se débrouille comme il peut pour survivre au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais qui se débrouille comme il peut pour survivre au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
17 commentaires:
J’acquiesce d’un geste, mais lui et moi, nous savons que c’est un marché : vis et laisse vivre. Après tout, le type est un pauvre Havanais qui survit au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui lutte comme toi.
Un étranger passe par là.
’acquiesce d’un geste [« signe » ?], mais lui et moi, nous savons que c’est [« qu'il s'agit » ? Attention au tic de « c'est » en général et là, tu en as déjà un dans la phrase d'avant] un marché : vis et laisse vivre [et les majuscules ?]. Après tout, le [ou « ce » ?] type est un pauvre Havanais qui survit [avec un adjectif, comme en V.O. ?] au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui lutte [« se bat » ?] [virgule ?] comme toi.
Un étranger [tu as vérifié ?] passe par là.
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type est un pauvre Havanais qui survit au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un dandy passe par là.
1) pourquoi un adjectif après "survit" ? Sauf erreur de ma part, il n'y a pas d'adjectif dans la VO.
2) pour "pepe", seul le Collins m'a donné une définition satisfaisante (= petimetre, dandy). Le Maria Moliner donnait cette définition mais en restreignait l'usage à la Bolivie. En tout état de cause, il s'agit d'un homme soigné, riche et vraisemblablement étranger (cf. le dollar américain que notre personnage lui demande). Est-ce que "dandy" n'est pas trop connoté "France du XIXe" ?
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type est un pauvre Havanais qui survit [non, ça n'était pas après, c'était à la place] au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un dandy [mais as-tu regardé sur des sites, des forums… cubains ?] passe par là.
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type est un pauvre Havanais survivant au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un homme passe par là.
Bon, en fait, c'est beaucoup plus simple que ce que je croyais !!! D'après une page sur le vocabulaire cubain, "pepe" = un homme et "pepa" = une femme.
Tu savais ? Tu es allée à Cuba ?
Bien sûr que je suis allée à Cuba…
Chère enfant, ça te fait du bien de chercher ;-)
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché [au fait, pourquoi pas « accord », comme en V.O. ?] : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type est un [ou « n'est qu'un » ? Comme tu veux] pauvre Havanais survivant [ou « réchappé du » ?] au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un homme [« type » ?] passe par là.
Pour la fin : « ou se pointe » ? Comment le comprends-tu ?
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais réchappé du service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
1) Disons que la langue française est riche et dispose de plusieurs termes : accord, marché, pacte... Pour "marché", il s'agit juste d'une préférence...
2)"réchappé du" je trouve ça bien, mais j'ai un doute du point de vue du sens. Si on l'emploie, on suggère que notre policier a évité le service militaire dans la PNR alors que justement il l'effectue et accomplie sa tâche en contrôlant l'identité de notre pauvre havanais.
3) "type" à la place d'"homme", j'aime bien, mais on l'a juste avant. Je propose donc "mec" ou "gars".
4) pour la fin, tu as raison. En espagnol, on aurait "pasa por ahi" pour "passe par là". En fait, je me suis focalisée sur "por ahi" et j'en ai oublié le verbe "viene".
PS: pour "pepe", tu as eu raison de me faire chercher... car j'aime ça !! Quant à Cuba, un jour viendra...
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais réchappé [oui, je vois le pb ; un adjectif ?] du service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais soumis au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais soumis [ou en explicitant un peu « qui se dépatouille comme il peut » ou un truc comme ça ?] au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais qui s'en sort comme il peut au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais qui s'en sort comme il peut au [ou « de son » ? J'ai un doute sur cette partie… que je ne trouve pas réussie.] service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais qui résiste comme il peut au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
Est-ce qu'on s'approche du sens avec "résister à" ? Tu comprends bien "survivre" et pas "lutter contre" ? A force, je n'arrive plus à savoir ...
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais qui résiste comme il peut au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
Je te propose : « qui se débrouille comme il peut pour survivre ». Qu'en penses-tu ?
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais qui se débrouille comme il peut pour survivre au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
Cette version me va !!
J’acquiesce d’un signe, mais lui et moi, nous savons qu'il s'agit d'un marché : Vis et Laisse vivre. Après tout, le type n'est qu'un pauvre Havanais qui se débrouille comme il peut pour survivre au service militaire dans la Police Nationale Révolutionnaire (PNR) et qui se bat, comme toi.
Un gars se pointe.
OK.
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