La comida la dejaba hecha Encarna, un ama de casa que llevaba trabajando para él cinco años, llegaba cuando él estaba haciendo el programa y se marchaba antes de que volviese, llevaban cinco años sin verse pero seguían manteniendo su relación, quizá no verse fuese la clave.
Traduction temporaire :
Son repas lui était préparé par Encarna, une femme au foyer qui travaillait pour lui depuis cinq ans, arrivait pendant son émission et repartait avant qu'il rentre ; cinq ans sans se voir, mais cela ne les empêchait pas de maintenir leur relation ; peut-être la clé résidait-elle dans le fait de ne pas se voir justement.
Son repas lui était préparé par Encarna, une femme au foyer qui travaillait pour lui depuis cinq ans, arrivait pendant son émission et repartait avant qu'il rentre ; cinq ans sans se voir, mais cela ne les empêchait pas de maintenir leur relation ; peut-être la clé résidait-elle dans le fait de ne pas se voir justement.
14 commentaires:
Encarna lui laisser le repas préparé. Cette femme au foyer travaillait pour lui depuis cinq ans, elle arrivait quand il faisait son émission et partait avant qu'il ne rentre, cinq ans sans se voir mais ils maintenaient toujours une relation, peut-être que le fait de ne pas se voir était la clé.
Relis-toi.
Encarna lui laisser le repas préparé. Cette femme au foyer travaillait pour lui depuis cinq ans, elle arrivait quand il faisait son émission et partait avant qu'il ne rentre, cinq ans sans se voir mais ils maintenaient toujours une relation, peut-être que le fait de ne pas se voir était la clé.
Encarna lui laissait le repas préparé. Cette femme au foyer travaillait pour lui depuis cinq ans, elle arrivait pendant qu'il faisait son émission et partait avant qu'il ne rentre, cinq ans sans se voir mais ils maintenaient toujours une relation, peut-être que le fait de ne pas se voir était la clé.
Encarna lui laissait le repas préparé [la formulation n'est guère naturelle / essaie de rendre cela avec plus de fluidité / on verra après, du coup, comment on adapte la suite]. Cette femme au foyer travaillait pour lui depuis cinq ans, elle arrivait pendant qu'il faisait son émission et partait avant qu'il ne rentre, cinq ans sans se voir mais ils maintenaient toujours une relation, peut-être que le fait de ne pas se voir était la clé.
Encarna lui préparait le repas. Cette femme au foyer travaillait pour lui depuis cinq ans, elle arrivait pendant qu'il faisait son émission et repartait avant qu'il ne rentre, cinq ans sans se voir mais ils maintenaient toujours une relation, peut-être que le fait de ne pas se voir était la clé.
Encarna lui préparait le repas [ou simplement « lui avait préparé son repas » ? Mais ça m'ennuie ; l'idéal serait de trouver une solution comme en V.O., c'est-à-dire avec « Encarna » à la fin et la virgule à sa place… Essaie]. Cette femme au foyer travaillait pour lui depuis cinq ans, elle arrivait pendant qu'il faisait son émission et repartait avant qu'il ne rentre, cinq ans sans se voir mais ils maintenaient toujours une relation, peut-être que le fait de ne pas se voir était la clé.
Le repas était préparé par Encarna, femme au foyer qui travaillait pour lui depuis cinq ans, elle arrivait pendant qu'il faisait son émission et repartait avant qu'il ne rentre, cinq ans sans se voir mais ils maintenaient toujours une relation, peut-être que le fait de ne pas se voir était la clé.
Le repas [cheville : « lui » ?] était préparé par Encarna, [cheville : « une »] femme au foyer qui travaillait pour lui depuis cinq ans, elle [supprime] arrivait pendant qu'il faisait [supprime tout ça] son émission et repartait avant qu'il ne [supprime] rentre, [ponctuation à changer] cinq ans sans se voir mais [cheville : « cela n'empêchait pas de » / le cas échéant, aménage la suite avec ça…] ils maintenaient toujours une relation, peut-être que le fait de ne pas se voir était la clé.
Le repas lui était préparé par Encarna, une femme au foyer qui travaillait pour lui depuis cinq ans, arrivait pendant son émission et repartait avant qu'il rentre ; cinq ans sans se voir mais cela ne les empêchait pas de maintenir toujours une relation, peut-être que le fait de ne pas se voir était la clé.
Le repas lui était préparé par Encarna, une femme au foyer qui travaillait pour lui depuis cinq ans, arrivait pendant son émission et repartait avant qu'il rentre ; cinq ans sans se voir, mais cela ne les empêchait pas de maintenir toujours relation [ou simplement « de maintenir leur relation » ?], [tiret ou point-virgule ?] peut-être que [sans le « que » ; aménage la suite en fonction] le fait de ne pas se voir était la clé.
Le repas lui était préparé par Encarna, une femme au foyer qui travaillait pour lui depuis cinq ans, arrivait pendant son émission et repartait avant qu'il rentre ; cinq ans sans se voir, mais cela ne les empêchait pas de maintenir leur relation ; peut-être la clé résidait-elle dans le fait de ne pas se voir.
Le repas lui était préparé par Encarna, une femme au foyer qui travaillait pour lui depuis cinq ans, arrivait pendant son émission et repartait avant qu'il rentre ; cinq ans sans se voir, mais cela ne les empêchait pas de maintenir leur relation ; peut-être la clé résidait-elle dans le fait de ne pas se voir [cheville : « , justement » ? Comme tu veux].
Le repas lui était préparé par Encarna, une femme au foyer qui travaillait pour lui depuis cinq ans, arrivait pendant son émission et repartait avant qu'il rentre ; cinq ans sans se voir, mais cela ne les empêchait pas de maintenir leur relation ; peut-être la clé résidait-elle dans le fait de ne pas se voir justement.
Le repas lui était préparé par Encarna, une femme au foyer qui travaillait pour lui depuis cinq ans, arrivait pendant son émission et repartait avant qu'il rentre ; cinq ans sans se voir, mais cela ne les empêchait pas de maintenir leur relation ; peut-être la clé résidait-elle dans le fait de ne pas se voir justement.
Je fais un petit changement et OK… – qu'on passe à la suite :
Son repas lui était préparé par Encarna, une femme au foyer qui travaillait pour lui depuis cinq ans, arrivait pendant son émission et repartait avant qu'il rentre ; cinq ans sans se voir, mais cela ne les empêchait pas de maintenir leur relation ; peut-être la clé résidait-elle dans le fait de ne pas se voir justement.
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