mardi 19 mars 2013

Projet Nadia 2 – phrase 151

Tampoco tenía que preparar mucho, lo importante era elegir un tema, una idea, un libro, un suceso y empezar a hablar, luego todo venía rodado, lo difícil es el comienzo, luego las palabras se enganchan unas a otras como los rabos de las cerezas, cuando coges una arrastras al resto,  detrás.

Traduction temporaire :
Il n'avait pas non plus grand-chose à préparer, l'important étant de choisir un sujet, une idée, un livre, un événement et de commencer à parler. Ensuite, ça venait tout seul ; ce qui est difficile c'est le début, après les mots s'enchaînent les uns aux autres comme des queues de cerises, quand on en prend une, le reste suit.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Il n'avait pas non plus beaucoup à préparer, ce qui était important c'était de choisir un sujet, une idée, un livre, un fait et de commencer à parler, ensuite ça venait tout seul, ce qui est difficile c'est le début, ensuite les mots s'enchaînent les uns aux autres comme des queues de cerises, quand on en prend une, le reste suit, derrière.

Tradabordo a dit…

Il n'avait pas non plus beaucoup [ou « grand-chose » ?] à préparer, ce qui était important [ou « l'important étant » ?] c'était de choisir un sujet, une idée, un livre, un fait [est-ce qu' « événement » n'est pas mieux ? Je te laisse choisir] et de commencer à parler, [ponctuation ?] ensuite [ponctuation] ça venait tout seul, [ponctuation ?] ce qui est difficile c'est le début, ensuite [on répète « ensuite » ?] les mots s'enchaînent les uns aux autres comme des queues de cerises, quand on en prend une, le reste suit, derrière [pas redondant ?].

Unknown a dit…

Il n'avait pas non plus grand-chose à préparer, l'important étant de choisir un sujet, une idée, un livre, un événement et de commencer à parler. Ensuite, ça venait tout seul ; ce qui est difficile c'est le début, après les mots s'enchaînent les uns aux autres comme des queues de cerises, quand on en prend une, le reste suit.

Tradabordo a dit…

Il n'avait pas non plus grand-chose à préparer, l'important étant de choisir un sujet, une idée, un livre, un événement et de commencer à parler. Ensuite, ça venait tout seul ; ce qui est difficile, c'est le début, après les mots s'enchaînent les uns aux autres comme des queues de cerises, quand on en prend une, le reste suit.

OK.