samedi 9 août 2014

Projet Céline 2 – phrases 32-37

Se sacó un par, muy apretados no servía, había que poder mover los dedos para que no se congelaran. Con los agujeros de la suela no había mucho que hacer. El viejo le fabricó unas plantillas con la caña de una bota vieja que encontró en el galpón. – pa’ lo que te van a durar los pieses secos -. No era malo el viejo. Cuando estaba sobrio, solía contarle de sus aventuras cazando jabalíes y hasta a veces le leía poemas gauchescos. Una vez arreglada la suela, el muchacho calentó en la plancha de la cocina un pedazo de grasa rancia que había guardado de la última carneada, esperó que se derritiera un poco y la pasó sobre los calamorros una y otra vez.

Traduction temporaire :
Il en enleva deux, car elles ne servaient à rien si elles le serraient trop ; il devait pouvoir bouger les orteils afin qu’ils ne gèlent pas. Pour les trous dans les semelles, il n’y avait pas grand-chose à faire. Le vieillard lui en fabriqua de nouvelles avec la tige d’une vieille botte qu’il avait trouvée dans le hangar. Pour c’que ça va t’durer d’avoir les pieds sec. Le vieil homme n’était pas méchant. Quand il était sobre, il avait l’habitude de lui raconter ses aventures de quand il partait chasser le sanglier et parfois, il lui lisait même des poèmes gauchesques. La semelle réparée, le garçon fit chauffer sur la plancha un morceau de graisse rance qu’il avait gardé la dernière fois qu’il avait découpé de la viande, attendit qu’il fonde un peu et le frotta sur ses chaussures.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Il en enleva deux, car elles ne servaient à rien si elles le serraient trop ; il devait pouvoir bouger les orteils afin qu’ils ne gèlent pas. Pour les trous dans les semelles, il n’y avait pas grand-chose à faire. Le vieillard lui en fabriqua de nouvelles avec la tige d’une vieille botte qu’il avait trouvée dans le hangar. Pour c’que ça va t’durer d’avoir les pieds secs. Le vieil homme n’était pas méchant. Quand il était sobre, il avait l’habitude de lui raconter ses aventures quand il partait chasser le sanglier et parfois, il lui lisait même des poèmes gauchesques. La semelle réparée, le garçon fit chauffer sur la plancha un morceau de graisse rance qu’il avait gardé la dernière fois qu’il avait découpé de la viande, attendit qu’il fonde un peu et le frotta sur ses chaussures.

Tradabordo a dit…

Il en enleva deux, car elles ne servaient à rien si elles le serraient trop ; il devait pouvoir bouger les orteils afin qu’ils ne gèlent pas. Pour les trous dans les semelles, il n’y avait pas grand-chose à faire. Le vieillard lui en fabriqua de nouvelles avec la tige d’une vieille botte qu’il avait trouvée dans le hangar. Pour c’que ça va t’durer d’avoir les pieds secs [ou « au sec » ?]. Le vieil homme n’était pas méchant. Quand il était sobre, il avait l’habitude de lui raconter ses aventures [« de » ?] quand il partait chasser le sanglier et parfois, il lui lisait même des poèmes gauchesques. La semelle réparée, le garçon fit chauffer sur la plancha [placé après ?] un morceau de graisse rance qu’il avait gardé la dernière fois qu’il avait découpé de la viande, attendit qu’il fonde un peu et le frotta sur ses chaussures.

Unknown a dit…

Il en enleva deux, car elles ne servaient à rien si elles le serraient trop ; il devait pouvoir bouger les orteils afin qu’ils ne gèlent pas. Pour les trous dans les semelles, il n’y avait pas grand-chose à faire. Le vieillard lui en fabriqua de nouvelles avec la tige d’une vieille botte qu’il avait trouvée dans le hangar. Pour c’que ça va t’durer d’avoir les pieds sec. Le vieil homme n’était pas méchant. Quand il était sobre, il avait l’habitude de lui raconter ses aventures de quand il partait chasser le sanglier et parfois, il lui lisait même des poèmes gauchesques. La semelle réparée, le garçon fit chauffer sur la plancha [placé après ? / non parce qu'après on a l'impression que le bout de viande a été découpé sur la plancha, non ?] un morceau de graisse rance qu’il avait gardé la dernière fois qu’il avait découpé de la viande, attendit qu’il fonde un peu et le frotta sur ses chaussures.

Tradabordo a dit…

Il en enleva deux, car elles ne servaient à rien si elles le serraient trop ; il devait pouvoir bouger les orteils afin qu’ils ne gèlent pas. Pour les trous dans les semelles, il n’y avait pas grand-chose à faire. Le vieillard lui en fabriqua de nouvelles avec la tige d’une vieille botte qu’il avait trouvée dans le hangar. Pour c’que ça va t’durer d’avoir les pieds sec. Le vieil homme n’était pas méchant. Quand il était sobre, il avait l’habitude de lui raconter ses aventures de quand il partait chasser le sanglier et parfois, il lui lisait même des poèmes gauchesques. La semelle réparée, le garçon fit chauffer sur la plancha un morceau de graisse rance qu’il avait gardé la dernière fois qu’il avait découpé de la viande, attendit qu’il fonde un peu et le frotta sur ses chaussures.

OK.