mardi 19 août 2014

Projet Morgane 12 – phrases 75-78

Él era también el único que me hablaba de esas cosas. Hay estudiantes desapareciendo, me decía, muchachitos, un poco mayores que tú, se los llevan los militares en la noche y ya no regresan. No le digas a tu hermano, aun está muy chico para entenderlo y me daba un beso, te quiero mucho, patito, susurraba ya ebrio, no voy a permitir que nada les pase y yo confiaba mucho en su promesa y agradecía que ese hombre bonachón de panza abultada y gruesos bigotes fuera mi padre aunque, en el fondo, no entendía muy bien qué podía pasarnos. Tampoco le daba mucha importancia lo confieso.

Traduction temporaire :
Il était également le seul qui me parlait de ces choses-là. Des étudiants disparaissent, m'expliquait-il, des garçons, un peu plus âgés que toi, les militaires les emmènent dans la nuit et ils ne reviennent plus. Ne le dis pas à ton frère, il est encore trop jeune pour le comprendre ; et il me donnait un baiser, je t'aime très fort petit canard, me susurrait-il, déjà ivre, je ne permettrai pas qu'il vous arrive quoi que ce soit. Et moi, je croyais beaucoup en ses promesses et j'étais reconnaissant à ce brave homme à la panse volumineuse et à la grosse moustache d'être mon père, même si, dans le fond, je ne comprenais pas bien ce qu'il pouvait nous arriver. Mais je n'y accordais pas non plus énormément d'importance, je l'avoue.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Il était également le seul qui me parlait de ces choses-là. Des étudiants disparaissent, m'expliquait-il, des garçons, un peu plus âgés que toi, les militaires les emmènent dans la nuit et ils ne reviennent plus. Ne le dis pas à ton frère, il est encore trop jeune pour le comprendre ; et il me donnait un baiser, je t'aime beaucoup patito, me susurrait-il déjà ivre, je ne permettrai pas qu'il vous arrive quoi que ce soit. Et moi, j'avais confiance en ses promesses et j'étais reconnaissant à ce brave homme à la panse volumineuse et à la grosse moustache d'être mon père, même si, dans le fond, je ne comprenais pas bien ce qu'il pouvait nous arriver. Mais je n'y accordais pas non plus énormément d'importance, je l'avoue.

Tradabordo a dit…

Il était également le seul qui me parlait de ces choses-là. Des étudiants disparaissent, m'expliquait-il, des garçons, un peu plus âgés que toi, les militaires les emmènent dans [nécessaire ?] la nuit et ils ne reviennent plus. Ne le dis pas à ton frère, il est encore trop jeune pour le comprendre ; et il me donnait un baiser, je t'aime beaucoup patito [tu ne traduis pas ?], me susurrait-il [virgule] déjà ivre, je ne permettrai pas qu'il vous arrive quoi que ce soit. Et moi, j'avais [et le « mucho » ?] confiance en ses promesses et j'étais reconnaissant à [sûre ? Vérifie quand même] ce brave homme à la panse volumineuse et à la grosse moustache d'être mon père, même si, dans le fond, je ne comprenais pas bien ce qu'il pouvait nous arriver. Mais je n'y accordais pas non plus énormément d'importance, je l'avoue.

Unknown a dit…

Il était également le seul qui me parlait de ces choses-là. Des étudiants disparaissent, m'expliquait-il, des garçons, un peu plus âgés que toi, les militaires les emmènent dans la nuit et ils ne reviennent plus. Ne le dis pas à ton frère, il est encore trop jeune pour le comprendre ; et il me donnait un baiser, je t'aime très fort petit canard, me susurrait-il, déjà ivre, je ne permettrai pas qu'il vous arrive quoi que ce soit. Et moi, je croyais beaucoup en ses promesses et j'étais reconnaissant à ce brave homme à la panse volumineuse et à la grosse moustache d'être mon père, même si, dans le fond, je ne comprenais pas bien ce qu'il pouvait nous arriver. Mais je n'y accordais pas non plus énormément d'importance, je l'avoue.

Tradabordo a dit…

Il était également le seul qui me parlait de ces choses-là. Des étudiants disparaissent, m'expliquait-il, des garçons, un peu plus âgés que toi, les militaires les emmènent dans la nuit et ils ne reviennent plus. Ne le dis pas à ton frère, il est encore trop jeune pour le comprendre ; et il me donnait un baiser, je t'aime très fort petit canard, me susurrait-il, déjà ivre, je ne permettrai pas qu'il vous arrive quoi que ce soit. Et moi, je croyais beaucoup en ses promesses et j'étais reconnaissant à ce brave homme à la panse volumineuse et à la grosse moustache d'être mon père, même si, dans le fond, je ne comprenais pas bien ce qu'il pouvait nous arriver. Mais je n'y accordais pas non plus énormément d'importance, je l'avoue.

OK.