mardi 26 août 2014

Projet Élise 4 – phrase 45

El ave, grande y silenciosa, levantó vuelo y quedamos el muerto y yo, sin comprender el contrasentido de ese juego de espejos, el inclemente agolparse de la memoria que una vez más, me embriaga en su alocada procesión de reflejos y sonidos mientras el hálito helado sube y congela sin prisas el cuerpo muerto y el silencio estructura un manto de niebla que reduce todo a una leve vibración persistente dentro de esa ausencia sin calafateo que cubre la luz en tanto la pieza de mi casa observa desde sus paredes atónitas.

Traduction temporaire :
Grand et silencieux, l'oiseau s'envola et nous demeurâmes ensemble, le mort et moi, sans comprendre le non-sens de ce jeu de miroirs, l'assemblage inclément de la mémoire qui, une fois de plus, m’enivre dans sa folle procession de reflets et de sons, pendant que le souffle glacé s'élève et congèle sans hâte le cadavre. Le silence étend le manteau de brume qui réduit tout à une légère vibration, persistante dans cette absence perméable qui couvre la lumière, alors que ma maison observe depuis ses murs stupéfaits.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Grand et silencieux, l'oiseau s'envola et nous demeurâmes le mort et moi, sans comprendre le non-sens de ce jeu de miroirs, l'assemblage inclément de la mémoire qui, une fois de plus, m’enivre dans sa folle procession de reflets et de sons, pendant que le souffle glacé s'élève et congèle sans hâte le cadavre. Le silence étend le manteau de brume qui réduit tout à une légère vibration, persistante dans cette absence perméable qui couvre la lumière, alors que la pièce de ma maison observe depuis ses murs stupéfaits.

"el silencio estructura un manto de niebla que reduce todo a una leve vibración persistente dentro de esa ausencia sin calafateo" cette phrase est un rappel d'une phrase du début, donc j'ai repris les mêmes éléments.

Tradabordo a dit…

Grand et silencieux, l'oiseau s'envola et nous demeurâmes [« ensemble, ?»] le mort et moi, sans comprendre le non-sens de ce jeu de miroirs, l'assemblage inclément de la mémoire qui, une fois de plus, m’enivre dans sa folle procession de reflets et de sons, pendant que le souffle glacé s'élève et congèle sans hâte le cadavre. Le silence étend le manteau de brume qui réduit tout à une légère vibration, persistante dans cette absence perméable qui couvre la lumière, alors que la pièce de ma maison [bizarre] observe depuis ses murs stupéfaits.

Unknown a dit…

Grand et silencieux, l'oiseau s'envola et nous demeurâmes ensemble, le mort et moi, sans comprendre le non-sens de ce jeu de miroirs, l'assemblage inclément de la mémoire qui, une fois de plus, m’enivre dans sa folle procession de reflets et de sons, pendant que le souffle glacé s'élève et congèle sans hâte le cadavre. Le silence étend le manteau de brume qui réduit tout à une légère vibration, persistante dans cette absence perméable qui couvre la lumière, alors que ma maison observe depuis ses murs stupéfaits.

Tradabordo a dit…

Grand et silencieux, l'oiseau s'envola et nous demeurâmes ensemble, le mort et moi, sans comprendre le non-sens de ce jeu de miroirs, l'assemblage inclément de la mémoire qui, une fois de plus, m’enivre dans sa folle procession de reflets et de sons, pendant que le souffle glacé s'élève et congèle sans hâte le cadavre. Le silence étend le manteau de brume qui réduit tout à une légère vibration, persistante dans cette absence perméable qui couvre la lumière, alors que ma maison observe depuis ses murs stupéfaits.

OK.