mercredi 20 août 2014

Projet Hélène 3 – phrases 66-74

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El camión militar los llevó a Kiev. Los días que duró el viaje, Anya estuvo llorando por la comezón que sentía en su cuerpo, especialmente en toda su cara. Natashenka también la sentía. Sin embargo, prefirió callarse para no llamar la atención de su hija. “¿Dónde crees que esté Varenska?” Aliaksei buscó un pañuelo para limpiarse el sudor de la frente. “No sé, hija.” “¿Tú crees que los Filatova sepan algo?”, susurró Natashenka. “Lo dudo”. Zhulka Filatova, esquinada en el camión, no había pronunciado palabra desde que la subieron junto con sus tres hijos ese lunes.

Traduction temporaire :

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Le camion militaire les emmena jusqu’à Kiev. Les quelques jours que dura le voyage, Anya pleura à cause des démangeaisons sur son corps, notamment le visage. Où est Varenska, d’après toi ? Aliaksei chercha un mouchoir pour essuyer la sueur sur son front. « Je ne sais pas, ma chérie » « Tu crois que les Filatova savent quelque chose ? » murmura Natashenka. « Je ne pense pas ». Dans un coin du camion, Zhulka Filatova n’avait pas prononcé un seul mot depuis que, ce lundi-là, on l'avait obligée à monter avec ses trois enfants. 

8 commentaires:

Hélène a dit…

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Le camion militaire les emmena jusqu’à Kiev. Tout le temps que dura le voyage, Anya pleura à cause des démangeaisons qu’elle sentait sur son corps, notamment sur le visage. Où est Varenska d’après toi ? Aliaksei chercha un mouchoir pour essuyer la sueur sur son front. « Je ne sais pas, ma chérie » « Tu crois que les Filatova savent quelque chose ? » murmura Natashenka. « Je ne pense pas ». Dans un coin du camion, Zhulka Filatova n’avait pas prononcé un mot depuis qu’elle était montée avec ses trois enfants ce lundi-là.

Tradabordo a dit…

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Le camion militaire les emmena jusqu’à Kiev. Tout le temps [tu changes… du coup, on peut la durée] que dura le voyage, Anya pleura à cause des démangeaisons qu’elle sentait sur [ou simplement « sur » tout seul ?] son corps, notamment sur [nécessaire ?] le visage. Où est Varenska [virgule] d’après toi ? Aliaksei chercha un mouchoir pour essuyer la sueur sur son front. « Je ne sais pas, ma chérie » « Tu crois que les Filatova savent quelque chose ? » murmura Natashenka. « Je ne pense pas ». Dans un coin du camion, Zhulka Filatova n’avait pas prononcé un mot depuis qu’elle était montée [pas ce que dit la V.O. et c'est important] avec ses trois enfants ce lundi-là.

Hélène a dit…

5

Le camion militaire les emmena jusqu’à Kiev. Tous les jours que dura le voyage, Anya pleura à cause des démangeaisons sur son corps, notamment le visage. Où est Varenska, d’après toi ? Aliaksei chercha un mouchoir pour essuyer la sueur sur son front. « Je ne sais pas, ma chérie » « Tu crois que les Filatova savent quelque chose ? » murmura Natashenka. « Je ne pense pas ». Dans un coin du camion, Zhulka Filatova n’avait pas prononcé un mot depuis qu'on l'obligea à monter avec ses trois enfants ce lundi-là.

Tradabordo a dit…

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Le camion militaire les emmena jusqu’à Kiev. Tous [nécessaire ?] les jours que dura le voyage, Anya pleura à cause des démangeaisons sur son corps, notamment le visage. Où est Varenska, d’après toi ? Aliaksei chercha un mouchoir pour essuyer la sueur sur son front. « Je ne sais pas, ma chérie » « Tu crois que les Filatova savent quelque chose ? » murmura Natashenka. « Je ne pense pas ». Dans un coin du camion, Zhulka Filatova n’avait pas prononcé un mot depuis qu'on l'obligea [temps] à monter avec ses trois enfants ce lundi-là [avance-le].

Tradabordo a dit…

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Le camion militaire les emmena jusqu’à Kiev. Tous [nécessaire ?] les jours que dura le voyage, Anya pleura à cause des démangeaisons sur son corps, notamment le visage. Où est Varenska, d’après toi ? Aliaksei chercha un mouchoir pour essuyer la sueur sur son front. « Je ne sais pas, ma chérie » « Tu crois que les Filatova savent quelque chose ? » murmura Natashenka. « Je ne pense pas ». Dans un coin du camion, Zhulka Filatova n’avait pas prononcé un mot depuis qu'on l'obligea [temps] à monter avec ses trois enfants ce lundi-là [avance-le].

Hélène a dit…

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Le camion militaire les emmena jusqu’à Kiev. Les [cheville ? "quelques"] jours que dura le voyage, Anya pleura à cause des démangeaisons sur son corps, notamment le visage. Où est Varenska, d’après toi ? Aliaksei chercha un mouchoir pour essuyer la sueur sur son front. « Je ne sais pas, ma chérie » « Tu crois que les Filatova savent quelque chose ? » murmura Natashenka. « Je ne pense pas ». Dans un coin du camion, Zhulka Filatova n’avait pas prononcé un mot depuis que, ce lundi-là, on l'avait obligée à monter avec ses trois enfants.

Tradabordo a dit…

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Le camion militaire les emmena jusqu’à Kiev. Les quelques jours que dura le voyage, Anya pleura à cause des démangeaisons sur son corps, notamment le visage. Où est Varenska, d’après toi ? Aliaksei chercha un mouchoir pour essuyer la sueur sur son front. « Je ne sais pas, ma chérie » « Tu crois que les Filatova savent quelque chose ? » murmura Natashenka. « Je ne pense pas ». Dans un coin du camion, Zhulka Filatova n’avait pas prononcé un [cheville : « seul » ou inutile ?] mot depuis que, ce lundi-là, on l'avait obligée à monter avec ses trois enfants.

Hélène a dit…

5

Le camion militaire les emmena jusqu’à Kiev. Les quelques jours que dura le voyage, Anya pleura à cause des démangeaisons sur son corps, notamment le visage. Où est Varenska, d’après toi ? Aliaksei chercha un mouchoir pour essuyer la sueur sur son front. « Je ne sais pas, ma chérie » « Tu crois que les Filatova savent quelque chose ? » murmura Natashenka. « Je ne pense pas ». Dans un coin du camion, Zhulka Filatova n’avait pas prononcé un seul mot depuis que, ce lundi-là, on l'avait obligée à monter avec ses trois enfants.

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