lundi 25 août 2014

Projet Morgane 12 – phrases 87-89

Aunque mi prima sabía que Penélope era mi pareja, nunca hubo de su parte el menor reproche. Seguía tomando el sol en la terraza, yo seguía corriendo olas y drogándome, los dos almorzábamos juntos con mis padres y mi hermano y era —bromeaba mi madre— como si Mercedes fuera la hermana que nunca llegó. En esos días en que mi familia salía a dar una vuelta por el malecón o se iba a comer a la calle, Mercedes me llamaba desde el cuarto y yo acudía obediente.

Traduction temporaire :
Même si ma cousine savait que Penélope sortait avec moi, elle ne me fit jamais le moindre reproche. Elle, elle continuait de bronzer sur la terrasse, moi, je surfais et je me droguais ; nous déjeunions ensemble avec mes parents et mon frère. Ma mère disait pour rigoler que Mercedes était la sœur qu'on n'avait jamais eue. Les jours où ma famille sortait se promener sur la jetée ou allait manger en ville, Mercedes m'appelait depuis la chambre, et j'accourais, obéissant.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Même si ma cousine savait que Penélope sortait avec moi, elle ne me fit jamais le moindre reproche à ce sujet. Elle, elle continuait de bronzer sur la terrasse, moi, je continuais à surfer et à me droguer, nous déjeunions ensemble avec mes parents et mon frère, et ma mère disait pour rigoler que Mercedes était la sœur qu'on avait jamais eue. Les jours où ma famille sortait faire un tour sur la jetée ou allait manger en ville, Mercedes m'appelait depuis la chambre, et j'accourais, obéissant.

Tradabordo a dit…

Même si ma cousine savait que Penélope sortait avec moi, elle ne me fit jamais le moindre reproche à ce sujet [nécessaire ?]. Elle, elle continuait de bronzer sur la terrasse, moi, je continuais [nécessaire ?] à surfer et à me droguer, [ponctuation ?] nous déjeunions ensemble avec mes parents et mon frère, et [point ?] ma mère disait pour rigoler que Mercedes était la sœur qu'on [« n' » ?] avait jamais eue. Les jours où ma famille sortait faire [tu as déjà « faire » plus haut…] un tour sur la jetée ou allait manger en ville, Mercedes m'appelait depuis la chambre, et j'accourais, obéissant.

Unknown a dit…

Même si ma cousine savait que Penélope sortait avec moi, elle ne me fit jamais le moindre reproche. Elle, elle continuait de bronzer sur la terrasse, moi, je surfais et je me droguais ; nous déjeunions ensemble avec mes parents et mon frère. Ma mère disait pour rigoler que Mercedes était la sœur qu'on n'avait jamais eue. Les jours où ma famille sortait se promener sur la jetée ou allait manger en ville, Mercedes m'appelait depuis la chambre, et j'accourais, obéissant.

Tradabordo a dit…

Même si ma cousine savait que Penélope sortait avec moi, elle ne me fit jamais le moindre reproche. Elle, elle continuait de bronzer sur la terrasse, moi, je surfais et je me droguais ; nous déjeunions ensemble avec mes parents et mon frère. Ma mère disait pour rigoler que Mercedes était la sœur qu'on n'avait jamais eue. Les jours où ma famille sortait se promener sur la jetée ou allait manger en ville, Mercedes m'appelait depuis la chambre, et j'accourais, obéissant.

OK.