mardi 12 août 2014

Projet Hélène 2 – phrases 101-105

Sentí que le hablaba a mi padre y dije gracias más por inercia; pero algo en la escena me resultó intolerable, y sentí que no podía seguir mirándola a los ojos, ni a sus leotardos blancos ni mucho menos a sus zapatos homogéneos e inmaculados. La mirada que tenía encima de mí, que me traspasaba y lograba mirar más adentro que ninguna otra persona en esa sala llena, era demasiado fuerte para ser compartida por alguien. No lo soporté, no quise soportarlo, pero aún así dije gracias. Agradecí educadamente como lo habría hecho el señor Fonseca. Era mi tarea ser comprensivo y tener palabras amables.

Traduction temporaire :
Je compris qu’elle s’adressait en fait à mon père et je la remerciai, surtout par inertie ; mais il y eut dans cette scène quelque chose qui me fut intolérable, et je sentis que je ne pouvais pas continuer à la regarder dans les yeux, pas plus que ses épais collants blancs, ses chaussures homogènes et immaculées encore moins. Le regard qu’elle dirigeait au-dessus de moi, qui me transperçait et parvenait à voir plus profondément que n’importe qui dans cette salle, était trop pénétrant pour être partagé par quelqu’un d’autre. J’eus beau ne pas le supporter, ne pas vouloir le supporter, je lui dis pourtant merci. Je la remerciai courtoisement, comme l’aurait fait Monsieur Fonseca. C’était mon devoir d’être compréhensif et d’avoir des paroles aimables.

10 commentaires:

Hélène a dit…

Je sentis qu’elle s’adressait à mon père et je la remerciai plus par inertie qu’autre chose ; mais il y eut dans cette scène un événement qui m’était intolérable, et je sentis que je ne pouvais pas continuer à la regarder dans les yeux, ses épais collants blancs non plus, ses chaussures homogènes et immaculées encore moins. Le regard qu’elle posa au-dessus de moi, qui me transperçait et parvenait à voir plus profondément que n’importe qui dans cette salle, était trop pénétrant pour être partagé par quelqu’un d’autre. Je ne le supportai pas, je ne voulus le supporter, mais pourtant je lui dis merci. Je la remerciai courtoisement, comme l’aurait fait Monsieur Fonseca. C’était mon devoir d’être compréhensif et d’avoir des paroles aimables.

Tradabordo a dit…

Je sentis qu’elle s’adressait [« en fait » ou inutile ou pas le sens ?] à mon père et je la remerciai plus par inertie qu’autre chose ; mais il y eut dans cette scène un événement [ajout nécessaire ?] qui m’était [temps ! Le PS se traduit très rarement par de l'imparfait] intolérable, et je sentis que je ne pouvais pas continuer à la regarder dans les yeux, ses épais collants blancs non plus, ses chaussures homogènes et immaculées encore moins. Le regard qu’elle posa au-dessus de moi, qui me transperçait et parvenait à voir plus profondément que n’importe qui dans cette salle, était trop pénétrant pour être partagé par quelqu’un d’autre. Je ne le supportai pas, je ne voulus le supporter, mais pourtant je lui dis merci. Je la remerciai courtoisement, comme l’aurait fait Monsieur Fonseca. C’était mon devoir d’être compréhensif et d’avoir des paroles aimables.

Hélène a dit…

Je sentis qu’elle s’adressait en fait à mon père et je la remerciai plus par inertie qu’autre chose ; mais il y eut dans cette scène un événement [ajout nécessaire ? // Il s'agissait d'éviter "quelque chose" et la répétition de "chose"] qui me fut intolérable, et je sentis que je ne pouvais pas continuer à la regarder dans les yeux, ses épais collants blancs non plus, ses chaussures homogènes et immaculées encore moins. Le regard qu’elle posa au-dessus de moi, qui me transperçait et parvenait à voir plus profondément que n’importe qui dans cette salle, était trop pénétrant pour être partagé par quelqu’un d’autre. Je ne le supportai pas, je ne voulus le supporter, mais pourtant je lui dis merci. Je la remerciai courtoisement, comme l’aurait fait Monsieur Fonseca. C’était mon devoir d’être compréhensif et d’avoir des paroles aimables.

Tradabordo a dit…

Je sentis qu’elle s’adressait en fait à mon père et je la remerciai plus par inertie qu’autre chose ; mais il y eut dans cette scène un événement [ajout nécessaire ? // Il s'agissait d'éviter "quelque chose" et la répétition de "chose" // pour « inertie », travaille avec surtout… pour te garder « chose » ici] qui me fut intolérable, et je sentis que je ne pouvais pas continuer à la regarder dans les yeux, ses épais collants blancs non plus, ses chaussures homogènes et immaculées encore moins. Le regard qu’elle posa au-dessus de moi, qui me transperçait et parvenait à voir plus profondément que n’importe qui dans cette salle, était trop pénétrant pour être partagé par quelqu’un d’autre. Je ne le supportai pas, je ne voulus le supporter, mais pourtant je lui dis merci. Je la remerciai courtoisement, comme l’aurait fait Monsieur Fonseca. C’était mon devoir d’être compréhensif et d’avoir des paroles aimables.

Hélène a dit…

Je sentis qu’elle s’adressait en fait à mon père et je la remerciai, surtout par inertie ; mais il y eut dans cette scène quelque chose qui me fut intolérable, et je sentis que je ne pouvais pas continuer à la regarder dans les yeux, ses épais collants blancs non plus, ses chaussures homogènes et immaculées encore moins. Le regard qu’elle posa au-dessus de moi, qui me transperçait et parvenait à voir plus profondément que n’importe qui dans cette salle, était trop pénétrant pour être partagé par quelqu’un d’autre. Je ne le supportai pas, je ne voulus le supporter, mais pourtant je lui dis merci. Je la remerciai courtoisement, comme l’aurait fait Monsieur Fonseca. C’était mon devoir d’être compréhensif et d’avoir des paroles aimables.

Tradabordo a dit…

Je sentis qu’elle s’adressait en fait à mon père et je la remerciai, surtout par inertie ; mais il y eut dans cette scène quelque chose qui me fut intolérable, et je sentis que je ne pouvais pas continuer à la regarder dans les yeux, [« pas plus que », en supprimant le « non plus », qui vient un peu tard, à mon avis ? Essaie les deux versions et vois ce que tu préfères] ses épais collants blancs non plus, ses chaussures homogènes et immaculées encore moins. Le regard qu’elle posa [non ; il y a du mouvement] au-dessus de moi, qui me transperçait et parvenait à voir plus profondément que n’importe qui dans cette salle, était trop pénétrant pour être partagé par [ou « avec » ? J'hésite…] quelqu’un d’autre. Je ne le supportai pas, je ne voulus le supporter, mais pourtant [pas très fluide ; vois si ça marcherait mieux avec « avoir beau »] je lui dis merci. Je la remerciai courtoisement, comme l’aurait fait Monsieur Fonseca. C’était mon devoir d’être compréhensif et d’avoir des paroles aimables.

Hélène a dit…

Je sentis qu’elle s’adressait en fait à mon père et je la remerciai, surtout par inertie ; mais il y eut dans cette scène quelque chose qui me fut intolérable, et je sentis que je ne pouvais pas continuer à la regarder dans les yeux, pas plus que ses épais collants blancs, ses chaussures homogènes et immaculées encore moins. Le regard qu’elle portait au-dessus de moi, qui me transperçait et parvenait à voir plus profondément que n’importe qui dans cette salle, était trop pénétrant pour être partagé par [d’après moi, selon la préposition, le sens change « partagé par » : lorsqu’on prend part, participe à quelque chose / « partagé avec » lorsqu’on fait des parts de quelque chose] quelqu’un d’autre. J’eus beau ne pas le supporter, ne pas vouloir le supporter, je lui dis pourtant merci. Je la remerciai courtoisement, comme l’aurait fait Monsieur Fonseca. C’était mon devoir d’être compréhensif et d’avoir des paroles aimables.

Tradabordo a dit…

Je sentis qu’elle s’adressait en fait à mon père et je la remerciai, surtout par inertie ; mais il y eut dans cette scène quelque chose qui me fut intolérable, et je sentis [tu l'as déjà au tout début] que je ne pouvais pas continuer à la regarder dans les yeux, pas plus que ses épais collants blancs, ses chaussures homogènes et immaculées encore moins. Le regard qu’elle portait [« dirigeait » ? Je te laisse trancher…] au-dessus de moi, qui me transperçait et parvenait à voir plus profondément que n’importe qui dans cette salle, était trop pénétrant pour être partagé par [d’après moi, selon la préposition, le sens change « partagé par » : lorsqu’on prend part, participe à quelque chose / « partagé avec » lorsqu’on fait des parts de quelque chose /// OK] quelqu’un d’autre. J’eus beau ne pas le supporter, ne pas vouloir le supporter, je lui dis pourtant merci. Je la remerciai courtoisement, comme l’aurait fait Monsieur Fonseca. C’était mon devoir d’être compréhensif et d’avoir des paroles aimables.

Hélène a dit…

Je compris qu’elle s’adressait en fait à mon père et je la remerciai, surtout par inertie ; mais il y eut dans cette scène quelque chose qui me fut intolérable, et je sentis que je ne pouvais pas continuer à la regarder dans les yeux, pas plus que ses épais collants blancs, ses chaussures homogènes et immaculées encore moins. Le regard qu’elle dirigeait au-dessus de moi, qui me transperçait et parvenait à voir plus profondément que n’importe qui dans cette salle, était trop pénétrant pour être partagé par quelqu’un d’autre. J’eus beau ne pas le supporter, ne pas vouloir le supporter, je lui dis pourtant merci. Je la remerciai courtoisement, comme l’aurait fait Monsieur Fonseca. C’était mon devoir d’être compréhensif et d’avoir des paroles aimables.

Tradabordo a dit…

Je compris qu’elle s’adressait en fait à mon père et je la remerciai, surtout par inertie ; mais il y eut dans cette scène quelque chose qui me fut intolérable, et je sentis que je ne pouvais pas continuer à la regarder dans les yeux, pas plus que ses épais collants blancs, ses chaussures homogènes et immaculées encore moins. Le regard qu’elle dirigeait au-dessus de moi, qui me transperçait et parvenait à voir plus profondément que n’importe qui dans cette salle, était trop pénétrant pour être partagé par quelqu’un d’autre. J’eus beau ne pas le supporter, ne pas vouloir le supporter, je lui dis pourtant merci. Je la remerciai courtoisement, comme l’aurait fait Monsieur Fonseca. C’était mon devoir d’être compréhensif et d’avoir des paroles aimables.

OK.