mercredi 20 août 2014

Projet Émilie 3 – phrases 13-20

Ninguno compromete una respuesta, quizás porque el gozo es perentorio y el tiempo escaso no da tiempo, o no queremos dárselo, porque sabemos que el amor está. El café viene después, a semioscuras, develando la palabra interrumpida, la confesión, el beso, las recomendaciones de la despedida. -Dormite ahora, no te quedes levantada en la computadora. Te llamo cuando llegue. No me voy a dormir, pero a vos te tranquilizan las recomendaciones tanto como a mí el “cuidado con la ruta, si te da sueño pará”. Vos seguirás recorriendo tus caminos y yo tramando historias de madrugada. Y los rumbos serán dos, sin penas ni osadías. Lo importante es esa disposición de los caminos para cortarse en una encrucijada y volver, siempre, al lugar donde convergen tu deseo y el mío.

Traduction temporaire :
Aucun de nous deux ne risque de réponse, peut-être parce que la jouissance est impérieuse et que le manque de temps ne laisse pas le temps, ou que nous ne voulons pas le lui donner, parce que nous savons que l’amour est là. Le café arrive ensuite, dans la semi-obscurité, dévoilant le mot interrompu, l’aveu, le baiser, les recommandations au moment de se dire au revoir.
— Va dormir tout de suite, ne reste pas devant l’ordinateur. Je t’appelle quand j’arrive.

Je ne vais pas me coucher, mais les recommandations te rassurent, autant que le « attention sur la route, si tu t’endors, arrête-toi » dans mon cas. Tu vas continuer à parcourir tes propres chemins et moi, à échafauder des histoires jusqu’à l’aube. Et nous suivrons deux directions différentes, sans chagrins ni audace. L’important, c’est cette disposition des chemins capables de se rencontrer à un croisement et de retourner, toujours, à l’endroit où convergent ton désir et le mien.

5 commentaires:

Emilie a dit…

Aucun de nous deux ne risque de réponse, peut-être parce que la jouissance est impérieuse et que le manque de temps ne laisse pas le temps, ou que nous ne voulons pas le prendre, parce que nous savons que l’amour est là. Le café arrive ensuite, dans la semi-obscurité, dévoilant le mot interrompu, l’aveu, le baiser, les recommandations au moment de se dire au revoir.
- Va dormir tout de suite, ne reste pas devant l’ordinateur. Je t’appelle quand j’arrive.
Je ne vais pas dormir, mais les recommandations te rassurent, autant que le « attention sur la route, si tu t’endors, arrête-toi » me tranquillise. Tu vas continuer à parcourir tes propres chemins et moi à échafauder des histoires jusqu’à l’aube. Et nous suivrons deux directions différentes, sans peine ni audace. L’important, c’est cette disposition des chemins capables de se rencontrer à un croisement et de retourner, toujours, à l’endroit où convergent ton désir et le mien.

Tradabordo a dit…

Aucun de nous deux ne risque de réponse, peut-être parce que la jouissance est impérieuse et que le manque de temps ne laisse pas le temps, ou que nous ne voulons pas le prendre [ou « le lui donner » ? J'hésite…], parce que nous savons que l’amour est là. Le café arrive ensuite, dans la semi-obscurité, dévoilant le mot interrompu, l’aveu, le baiser, les recommandations au moment de se dire au revoir.
- [tiret long] Va dormir tout de suite, ne reste pas devant l’ordinateur. Je t’appelle quand j’arrive.
Je ne vais pas dormir [« me coucher » – pour éviter la répétition ?], mais les recommandations te rassurent, autant que le « attention sur la route, si tu t’endors, arrête-toi » me tranquillise [pas besoin d'un ajout de verbe]. Tu vas continuer à parcourir tes propres chemins et moi [virgule] à échafauder des histoires jusqu’à l’aube. Et nous suivrons deux directions différentes, sans peine [« chagrins » ?] ni audace. L’important, c’est cette disposition des chemins capables de se rencontrer à un croisement et de retourner, toujours, à l’endroit où convergent ton désir et le mien.

Emilie a dit…

Aucun de nous deux ne risque de réponse, peut-être parce que la jouissance est impérieuse et que le manque de temps ne laisse pas le temps, ou que nous ne voulons pas le lui donner, parce que nous savons que l’amour est là. Le café arrive ensuite, dans la semi-obscurité, dévoilant le mot interrompu, l’aveu, le baiser, les recommandations au moment de se dire au revoir.
— Va dormir tout de suite, ne reste pas devant l’ordinateur. Je t’appelle quand j’arrive.
Je ne vais pas me coucher, mais les recommandations te rassurent, autant que le « attention sur la route, si tu t’endors, arrête-toi » dans mon cas [je ne vois pas bien cmt rendre le « como a mi »]. Tu vas continuer à parcourir tes propres chemins et moi, à échafauder des histoires jusqu’à l’aube. Et nous suivrons deux directions différentes, sans chagrins ni audace. L’important, c’est cette disposition des chemins capables de se rencontrer à un croisement et de retourner, toujours, à l’endroit où convergent ton désir et le mien.

Tradabordo a dit…

Aucun de nous deux ne risque de réponse, peut-être parce que la jouissance est impérieuse et que le manque de temps ne laisse pas le temps, ou que nous ne voulons pas le lui donner, parce que nous savons que l’amour est là. Le café arrive ensuite, dans la semi-obscurité, dévoilant le mot interrompu, l’aveu, le baiser, les recommandations au moment de se dire au revoir.
— Va dormir tout de suite, ne reste pas devant l’ordinateur. Je t’appelle quand j’arrive.
Je ne vais pas me coucher, mais les recommandations te rassurent, autant que le « attention sur la route, si tu t’endors, arrête-toi » dans mon cas. Tu vas continuer à parcourir tes propres chemins et moi, à échafauder des histoires jusqu’à l’aube. Et nous suivrons deux directions différentes, sans chagrins ni audace. L’important, c’est cette disposition des chemins capables de se rencontrer à un croisement et de retourner, toujours, à l’endroit où convergent ton désir et le mien.

OK.

Tradabordo a dit…

J'ai récupéré le doc, relu et je suis en train de publier. C'était un peu pressé. Veux-tu enchaîner ?