vendredi 15 août 2014

Projet Céline 2 – phrases 38-43

Ya estaba en condiciones de emprender la caminata. Cuando abrió la puerta vio que ni una gota caía de las estalactitas que pendían del alero. Pero debía partir y partió. Iba solo y más solo se sentía en medio del silencio blanco. De tanto en tanto cerraba los ojos vigilando el camino de oído: ni un ladrido, ni un mugido. Nada.

Traduction temporaire :
Il était maintenant prêt pour se mettre en route. Quand il ouvrit la porte, il vit que pas une goutte ne tombait des stalactites suspendues à l’auvent. Mais il devait partir, et il partit. Il était seul et il se sentait encore plus seul au milieu du silence blanc. De loin en loin, il fermait les yeux, tendant l'oreille pour surveiller ce qu'il se passait sur le chemin : pas un aboiement ni un hurlement. Rien.

6 commentaires:

Unknown a dit…

Il était maintenant prêt pour se mettre en route. Quand il ouvrit la porte, il vit que pas même une goutte ne tombait des stalactites qui pendaient de l’auvent. Mais il devait partir, et il partit.
Il était seul et il se sentait encore plus seul au milieu du silence blanc. De loin en loin, il fermait les yeux, tendant les oreilles pour surveiller le chemin : pas un aboiement ni un hurlement. Rien.

Tradabordo a dit…

Il était maintenant prêt pour se mettre en route. Quand il ouvrit la porte, il vit que pas même [?????] une goutte ne tombait des stalactites qui pendaient de l’auvent. Mais il devait partir, et il partit.
Il était seul et il se sentait encore plus seul au milieu du silence blanc. De loin en loin, il fermait les yeux, tendant les oreilles pour surveiller le chemin : pas un aboiement ni un hurlement. Rien.

Unknown a dit…

Il était maintenant prêt pour se mettre en route. Quand il ouvrit la porte, il vit que pas une goutte ne tombait des stalactites qui pendaient de l’auvent. Mais il devait partir, et il partit.
Il était seul et il se sentait encore plus seul au milieu du silence blanc. De loin en loin, il fermait les yeux, tendant les oreilles pour surveiller le chemin : pas un aboiement ni un hurlement. Rien.

Tradabordo a dit…

Il était maintenant prêt pour se mettre en route. Quand il ouvrit la porte, il vit que pas une goutte ne tombait des stalactites qui pendaient de [hispanisme ?] l’auvent. Mais il devait partir, et il partit.
Il était seul et il se sentait encore plus seul au milieu du silence blanc. De loin en loin, il fermait les yeux, tendant les oreilles [singulier] pour surveiller le chemin [naturel ?] : pas un aboiement ni un hurlement. Rien.

Unknown a dit…

Il était maintenant prêt pour se mettre en route. Quand il ouvrit la porte, il vit que pas une goutte ne tombait des stalactites suspendues à l’auvent. Mais il devait partir, et il partit.
Il était seul et il se sentait encore plus seul au milieu du silence blanc. De loin en loin, il fermait les yeux, tendant l'oreille pour surveiller ce qu'il se passait sur le chemin : pas un aboiement ni un hurlement. Rien.

Tradabordo a dit…

Il était maintenant prêt pour se mettre en route. Quand il ouvrit la porte, il vit que pas une goutte ne tombait des stalactites suspendues à l’auvent. Mais il devait partir, et il partit.
Il était seul et il se sentait encore plus seul au milieu du silence blanc. De loin en loin, il fermait les yeux, tendant l'oreille pour surveiller ce qu'il se passait sur le chemin : pas un aboiement ni un hurlement. Rien.

OK.