lundi 18 août 2014

Projet Morgane 11 – phrase 42

Cada vez que el General se retira después de remacharla con el mazo de su arbitrariedad, Dalila se sienta frente a la ventana clausurada, abre con detenimiento el cofrecito de los buenos recuerdos, y sacando la Gruta de la Esmeralda contempla la luz irreal que deviene más tenue a medida que ingresa a su verde transparencia, navega sobre el rostro de una Mater que fulgura bajo las aguas y, abandonando su infierno, se deja ir con los ojos cerrados hacia la libertad.

Traduction temporaire :
Chaque fois que le Général se retire, Dalila, assujettie avec le maillet de sa tyrannie, s'assied devant la fenêtre condamnée, ouvre avec soin le petit coffre des bons souvenirs et, tout en sortant la Grotte de l'Émeraude, contemple la lumière irréelle, de plus en plus faible à mesure qu'elle pénètre sa verte transparence, navigue sur le visage d'une Mater qui brille sous les eaux et qui, abandonnant son enfer, se laisse aller vers la liberté, les yeux fermés.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Chaque fois que le Général se retire, après avoir été assujettie avec le maillet de sa tyrannie, Dalila s'assied en face de la fenêtre condamnée, ouvre avec soin le petit coffre des bons souvenirs et, tout en sortant la Grotte de l'Émeraude, contemple la lumière irréelle qui se fait de plus en plus faible à mesure qu'elle pénètre sa verte transparence, navigue sur le visage d'une Mater qui brille sous les eaux et qui, abandonnant son enfer, se laisse aller vers la liberté, les yeux fermés.

Tradabordo a dit…

Chaque fois que le Général se retire, après avoir été assujettie [pb de construction… Là, tu parles d'elle, mais ça ne va pas avec le début] avec le maillet de sa tyrannie, Dalila s'assied en face de la fenêtre condamnée, ouvre avec soin le petit coffre des bons souvenirs et, tout en sortant la Grotte de l'Émeraude, contemple la lumière irréelle qui se fait de plus en plus faible à mesure qu'elle pénètre sa verte transparence, navigue sur le visage d'une Mater qui brille sous les eaux et qui, abandonnant son enfer, se laisse aller vers la liberté, les yeux fermés.

Unknown a dit…

Chaque fois que le Général se retire, Dalila, après avoir été assujettie avec le maillet de sa tyrannie, s'assied en face de la fenêtre condamnée, ouvre avec soin le petit coffre des bons souvenirs et, tout en sortant la Grotte de l'Émeraude, contemple la lumière irréelle qui se fait de plus en plus faible à mesure qu'elle pénètre sa verte transparence, navigue sur le visage d'une Mater qui brille sous les eaux et qui, abandonnant son enfer, se laisse aller vers la liberté, les yeux fermés.

Tradabordo a dit…

Chaque fois que le Général se retire, Dalila, après avoir été assujettie avec le maillet de sa tyrannie, s'assied en face de [« devant »] la fenêtre condamnée, ouvre avec soin le petit coffre des bons souvenirs et, tout en sortant la Grotte de l'Émeraude, contemple la lumière irréelle qui se fait [avec une simple virgule ?] de plus en plus faible à mesure qu'elle pénètre sa verte transparence, navigue sur le visage d'une Mater qui brille sous les eaux et qui, abandonnant son enfer, se laisse aller vers la liberté, les yeux fermés.

Unknown a dit…

Chaque fois que le Général se retire, Dalila, après avoir été assujettie avec le maillet de sa tyrannie, s'assied devant la fenêtre condamnée, ouvre avec soin le petit coffre des bons souvenirs et, tout en sortant la Grotte de l'Émeraude, contemple la lumière irréelle, de plus en plus faible à mesure qu'elle pénètre sa verte transparence, navigue sur le visage d'une Mater qui brille sous les eaux et qui, abandonnant son enfer, se laisse aller vers la liberté, les yeux fermés.

Tradabordo a dit…

Chaque fois que le Général se retire, Dalila, après avoir été [nécessaire ?] assujettie avec le maillet de sa tyrannie, s'assied devant la fenêtre condamnée, ouvre avec soin le petit coffre des bons souvenirs et, tout en sortant la Grotte de l'Émeraude, contemple la lumière irréelle, de plus en plus faible à mesure qu'elle pénètre sa verte transparence, navigue sur le visage d'une Mater qui brille sous les eaux et qui, abandonnant son enfer, se laisse aller vers la liberté, les yeux fermés.

Unknown a dit…

Chaque fois que le Général se retire, Dalila, assujettie avec le maillet de sa tyrannie, s'assied devant la fenêtre condamnée, ouvre avec soin le petit coffre des bons souvenirs et, tout en sortant la Grotte de l'Émeraude, contemple la lumière irréelle, de plus en plus faible à mesure qu'elle pénètre sa verte transparence, navigue sur le visage d'une Mater qui brille sous les eaux et qui, abandonnant son enfer, se laisse aller vers la liberté, les yeux fermés.

Tradabordo a dit…

Chaque fois que le Général se retire, Dalila, assujettie avec le maillet de sa tyrannie, s'assied devant la fenêtre condamnée, ouvre avec soin le petit coffre des bons souvenirs et, tout en sortant la Grotte de l'Émeraude, contemple la lumière irréelle, de plus en plus faible à mesure qu'elle pénètre sa verte transparence, navigue sur le visage d'une Mater qui brille sous les eaux et qui, abandonnant son enfer, se laisse aller vers la liberté, les yeux fermés.

OK.

Tu peux procéder à la relecture. Attention, j'ai eu des pbs avec l'enregistrement des phrases pendant plusieurs jours ; alors assure-toi bien qu'il ne manque rien. + fais un travail de fond, pas juste les coquilles.