mardi 12 août 2014

Projet Nadia – phrase 71

El poeta de residencia en la tierra ha evolucionado mágicamente hasta lo contradictorio heroico: ha descubierto la tierra, la realidad de la tierra, (... Il était une fois la realité..., comentaba el poeta surrealista), no es un residente de la isla negra de su escapulario y crepusculario, no es ya el llorador sublime y tenaz de una canción desesperada, es un constructor más que topo con el ensangrentado sufrimiento, con la torturada injusticia.

Traduction temporaire :
Le poète de Résidence sur la terre a évolué magiquement jusqu’à une contradiction héroïque : il a découvert la terre, la réalité de la terre, (... Il était une fois la réalité…, commentait le poète surréaliste), ce n’est pas un résidant de l’île noire de son scapulaire et crépusculaire, ce n’est plus le pleureur sublime et tenace d’une chanson désespérée, c’est un constructeur de plus qui s’est retrouvé face à la souffrance ensanglantée, à l’injustice torturée.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Le poète de résidence sur la terre a évolué magiquement jusqu’à un héroïsme contradictoire : il a découvert la terre, la réalité de la terre, (... Il était une fois la réalité…, commentait le poète surréaliste), ce n’est pas un résidant de l’île noire de son scapulaire et crépusculaire, ce n’est plus le pleureur sublime et tenace d’une chanson désespérée, c’est un constructeur de plus qui s’est retrouvé face à la souffrance ensanglantée, à l’injustice torturée.

Tradabordo a dit…

Le poète de Résidence sur la terre a évolué magiquement jusqu’à un héroïsme contradictoire [je ne suis pas certaine que ça ne change pas le sens d'inverser ; je te laisse y réfléchir] : il a découvert la terre, la réalité de la terre, (... Il était une fois la réalité…, commentait le poète surréaliste), ce n’est pas un résidant de l’île noire de son scapulaire et crépusculaire, ce n’est plus le pleureur sublime et tenace d’une chanson désespérée, c’est un constructeur de plus qui s’est retrouvé face à la souffrance ensanglantée, à l’injustice torturée.

Unknown a dit…

Le poète de Résidence sur la terre a évolué magiquement jusqu’à une contradiction héroïque : il a découvert la terre, la réalité de la terre, (... Il était une fois la réalité…, commentait le poète surréaliste), ce n’est pas un résidant de l’île noire de son scapulaire et crépusculaire, ce n’est plus le pleureur sublime et tenace d’une chanson désespérée, c’est un constructeur de plus qui s’est retrouvé face à la souffrance ensanglantée, à l’injustice torturée.

Tradabordo a dit…

Le poète de Résidence sur la terre a évolué magiquement jusqu’à une contradiction héroïque : il a découvert la terre, la réalité de la terre, (... Il était une fois la réalité…, commentait le poète surréaliste), ce n’est pas un résidant de l’île noire de son scapulaire et crépusculaire, ce n’est plus le pleureur sublime et tenace d’une chanson désespérée, c’est un constructeur de plus qui s’est retrouvé face à la souffrance ensanglantée, à l’injustice torturée.

OK.