lundi 8 septembre 2014

Projet Aurélie – phrases 28-29

Consuelo no tenía clientes sino esclavos, señores que empezaron tirándosela duro y parejo pero que terminaron contándole sus pleitos caseros y creando una suerte de dependencia. A Consuelo le pedían lo que nunca se atrevían a pedirle a sus esposas: que se las soplara o que se dejara cachar por atrás, pero también que les pegara o que los pintara como mujeres: con sombras, rimmel, lápiz de labios y todo.

Traduction temporaire :
Consuelo n'avait pas des clients, mais des esclaves, des hommes qui commencèrent par la baiser sauvagement et finirent par lui raconter leurs problèmes conjugaux, créant ainsi un lien de dépendance. Ils lui demandaient ce qu'ils n'osaient jamais demander à leur femme : qu'elle les suce ou qu'elle se laisse prendre par derrière, qu'elle les frappe ou les maquille comme des femmes : avec du fard à paupières, du rimmel et même du rouge à lèvres.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Consuelo n'avait pas des clients mais des esclaves, des hommes qui commencèrent par la baiser sauvagement mais qui finirent par lui raconter leurs querelles conjugales et par devenir en quelque sorte dépendants. Ils demandaient à Consuelo ce qu'ils n'osaient jamais demander à leur femme : qu'elle les suce ou qu'elle se laisse prendre par derrière, mais aussi qu'elle les frappe ou les maquille comme des femmes : avec de l'ombre à paupières, du rimmel et même du rouge à lèvres.

Tradabordo a dit…

Consuelo n'avait pas des clients [quand tu as un « mais » au milieu d'une phrase, virgule avant] mais des esclaves, des hommes qui commencèrent par la baiser sauvagement mais [X2 ; débrouille-toi pour n'en garder qu'un] qui finirent par lui raconter leurs querelles [naturel ici ?] conjugales et par devenir en quelque sorte [pas ainsi que le formule la V.O.] dépendants. Ils demandaient à Consuelo ce qu'ils n'osaient jamais demander à leur femme : qu'elle les suce ou qu'elle se laisse prendre par derrière, mais [X 3] aussi qu'elle les frappe ou les maquille comme des femmes : avec de l'ombre [on dit comme ça ?] à paupières, du rimmel et même du rouge à lèvres.

Tradabordo a dit…

Consuelo n'avait pas des clients [quand tu as un « mais » au milieu d'une phrase, virgule avant] mais des esclaves, des hommes qui commencèrent par la baiser sauvagement mais [X2 ; débrouille-toi pour n'en garder qu'un] qui finirent par lui raconter leurs querelles [naturel ici ?] conjugales et par devenir en quelque sorte [pas ainsi que le formule la V.O.] dépendants. Ils demandaient à Consuelo ce qu'ils n'osaient jamais demander à leur femme : qu'elle les suce ou qu'elle se laisse prendre par derrière, mais [X 3] aussi qu'elle les frappe ou les maquille comme des femmes : avec de l'ombre [on dit comme ça ?] à paupières, du rimmel et même du rouge à lèvres.

Tradabordo a dit…

Consuelo n'avait pas des clients [quand tu as un « mais » au milieu d'une phrase, virgule avant] mais des esclaves, des hommes qui commencèrent par la baiser sauvagement mais [X2 ; débrouille-toi pour n'en garder qu'un] qui finirent par lui raconter leurs querelles [naturel ici ?] conjugales et par devenir en quelque sorte [pas ainsi que le formule la V.O.] dépendants. Ils demandaient à Consuelo ce qu'ils n'osaient jamais demander à leur femme : qu'elle les suce ou qu'elle se laisse prendre par derrière, mais [X 3] aussi qu'elle les frappe ou les maquille comme des femmes : avec de l'ombre [on dit comme ça ?] à paupières, du rimmel et même du rouge à lèvres.

Unknown a dit…

Consuelo n'avait pas des clients, mais des esclaves, des hommes qui commencèrent par la baiser sauvagement et au bout du compte, finirent par lui raconter leurs problèmes conjugaux, créant ainsi un lien de dépendance. Ils demandaient à Consuelo ce qu'ils n'osaient jamais demander à leur femme : qu'elle les suce ou qu'elle se laisse prendre par derrière, qu'elle les frappe ou les maquille comme des femmes : avec du fard à paupières, du rimmel et même du rouge à lèvres.

Tradabordo a dit…

Consuelo n'avait pas des clients, mais des esclaves, des hommes qui commencèrent par la baiser sauvagement et [cheville : « qui, »] au bout du compte [nécessaire ?], finirent par lui raconter leurs problèmes conjugaux, créant ainsi un lien de dépendance. Ils demandaient à Consuelo [nécessaire de répéter ?] ce qu'ils n'osaient jamais demander à leur femme : qu'elle les suce ou qu'elle se laisse prendre par derrière, qu'elle les frappe ou les maquille comme des femmes : avec du fard à paupières, du rimmel et même du rouge à lèvres.

Unknown a dit…

Consuelo n'avait pas des clients, mais des esclaves, des hommes qui commencèrent par la baiser sauvagement et qui finirent par lui raconter leurs problèmes conjugaux, créant ainsi un lien de dépendance. Ils lui demandaient ce qu'ils n'osaient jamais demander à leur femme : qu'elle les suce ou qu'elle se laisse prendre par derrière, qu'elle les frappe ou les maquille comme des femmes : avec du fard à paupières, du rimmel et même du rouge à lèvres.

Tradabordo a dit…

Consuelo n'avait pas des clients, mais des esclaves, des hommes qui commencèrent par la baiser sauvagement et qui [nécessaire ?] finirent par lui raconter leurs problèmes conjugaux, créant ainsi un lien de dépendance. Ils lui demandaient ce qu'ils n'osaient jamais demander à leur femme : qu'elle les suce ou qu'elle se laisse prendre par derrière, qu'elle les frappe ou les maquille comme des femmes : avec du fard à paupières, du rimmel et même du rouge à lèvres.

Unknown a dit…

Consuelo n'avait pas des clients, mais des esclaves, des hommes qui commencèrent par la baiser sauvagement et finirent par lui raconter leurs problèmes conjugaux, créant ainsi un lien de dépendance. Ils lui demandaient ce qu'ils n'osaient jamais demander à leur femme : qu'elle les suce ou qu'elle se laisse prendre par derrière, qu'elle les frappe ou les maquille comme des femmes : avec du fard à paupières, du rimmel et même du rouge à lèvres.

Tradabordo a dit…

Consuelo n'avait pas des clients, mais des esclaves, des hommes qui commencèrent par la baiser sauvagement et finirent par lui raconter leurs problèmes conjugaux, créant ainsi un lien de dépendance. Ils lui demandaient ce qu'ils n'osaient jamais demander à leur femme : qu'elle les suce ou qu'elle se laisse prendre par derrière, qu'elle les frappe ou les maquille comme des femmes : avec du fard à paupières, du rimmel et même du rouge à lèvres.

OK.