lundi 8 septembre 2014

Projet Audrey 4 – phrases 81-83

Tendría que soportarla eventualmente en su casa, un día cualquiera que sus padres estuvieran viendo el programa y él llegara de la calle o del instituto muy cansado, con la sola intensión de pasar desapercibido para recostarse. Se imaginaba el sonoro que pase el desgracia´o presidiéndolo antes de entrar en su casa pronta a dejar de serlo… Lo atormentaba pensar que periódicamente se vería obligado a discutir con una persona tan detestable; era eso o callar y dejar que su incomodidad se hiciera cada vez más incomunicable.

Traduction temporaire :
Il devrait probablement la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où, lui, il rentrerait épuisé d'une sortie ou du lycée, et voudrait juste passer discrètement pour aller se reposer. Il entendait déjà résonner le fameux "faites entrer l'accusé", avant qu'il ne mette en pied dans une maison qui ne serait bientôt plus vraiment la sienne. Il s'inquiétait à l'idée d'être régulièrement obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus asocial.

18 commentaires:

Unknown a dit…

Il devrait potentiellement la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où, lui, rentrerait d'une balade ou du travail très fatigué, dans le seul but de passer inaperçu pour aller se reposer. Il s'imaginait la radio diffusant " le malheureux"... avant de rentrer dans une maison qui s'apprêtait à n'être plus la sienne. Il s'inquiétait à l'idée que, régulièrement, il se verrait obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça, ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus associable.

Alors, pour la phrase du milieu, je galère.
Déjà, "sonoro" n'existe pas en tant que nom. Mais c'est une marque de radio, donc c'est plausible.
Par contre, je ne vois pas le sens de ce "presidir", et à quoi renvoie le pronom "lo". Il me semble que c'est au protagoniste, mais je ne comprends pas le sens. Est-ce que c'est la radio (le haut-parleur, en fait) qui est au-dessus du personnage ?

Tradabordo a dit…

Vois si tu peux demander à un hispanophone de t'aider à accéder au sens.

Unknown a dit…

Alors, j'ai demandé à un Espagnol et à Fernando. Aucun des deux ne comprend la phrase du milieu. Fer pense qu'il manque peut-être un bout de la phrase... :-(

Tradabordo a dit…

Demande son avis à Elena ; tu as son mail ? Et sinon, je te donnerai les coordonnées de l'auteur et tu lui poseras la question.

Unknown a dit…

D'accord. Je vais la contacter, et je reviens vers toi. Merci.

Tradabordo a dit…

Parfait.

Unknown a dit…

Après l'échange avec Elena, il ressort que la phrase VO du milieu contient une erreur de ponctuation et une "grosse coquille". La phrase correcte est :

" Se imaginaba el sonoro "que pase el desgracia´o", precediéndolo antes de entrar en su casa, pronta a dejar de serlo "

Sonoro est donc bien un adjectif, qui qualifie les paroles "que pase el desgracia'o". L'auteur a précisé qu'avec "SONORO", il voulait aussi transmettre l'idée de "célèbre" ou "populaire". Il a donné un lien pour voir cette fameuse émission, "Laura en América"... C'est un festival ! :-s

Unknown a dit…

Je propose donc :

Il devrait potentiellement la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où, lui, rentrerait d'une sortie ou du lycée très fatigué, dans le seul but de passer inaperçu pour aller se reposer. Il entendait déjà le fort et célèbre "faîtes entrer l'accusé", juste avant d'entrer dans une maison qui s'apprêtait à ne plus être la sienne. Il s'inquiétait à l'idée que, régulièrement, il se verrait obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça, ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus associable.

Unknown a dit…

Et un grand merci à Elena !

Tradabordo a dit…

Il devrait potentiellement la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où, lui, rentrerait d'une sortie ou du lycée très fatigué [« épuisé » ?], dans le seul but de [naturel ? Manque un peu de fluidité…] passer inaperçu pour aller se reposer. Il entendait déjà le fort et célèbre [manque de fluidité] "faîtes [pb de « faîtes », toujours pas réglé… Grosse faute de grammaire, donc il faut que tu le corriges… avec l'accent : le sommet des arbres…………] entrer l'accusé", juste avant d'entrer dans une maison qui s'apprêtait à ne plus être la sienne. Il s'inquiétait à l'idée que, régulièrement, il se verrait obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça, ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus associable.

L'ensemble manque beaucoup de fluidité. Maintenant que tu as le sens, reprends tout ça en main… en essayant de ne pas trop réécrire, mais en faisant le nécessaire.

Unknown a dit…

Il devrait potentiellement la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où, lui, rentrerait épuisé d'une sortie ou du lycée, et voudrait seulement passer inaperçu pour aller se reposer. Il entendait déjà le fameux "faites entrer l'accusé" qui résonnerait avant qu'il entre dans une maison qui s'apprêterait à ne plus être la sienne. Il s'inquiétait à l'idée que, régulièrement, il se verrait obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça, ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus associable.

Tradabordo a dit…

Il devrait potentiellement [pas plutôt dans le sens de « probablement » ? Je te laisse peser les deux] la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où, lui, [« il »] rentrerait épuisé d'une sortie ou du lycée, et voudrait seulement passer inaperçu [naturel ? J'hésite…] pour aller se reposer. Il entendait déjà le fameux "faites entrer l'accusé" [virgule] qui résonnerait avant qu'il entre dans une maison qui [trop de « qu' » + « qui » – vois si tu ne peux pas régler la question avec un adjectif] s'apprêterait à ne plus être la sienne. Il s'inquiétait à l'idée que, régulièrement [mets-le après ; ça t'évitera la rupture de rythme], il se verrait obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça, [pas besoin de la virgule] ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus associable [?].

Unknown a dit…

Il devrait probablement la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où, lui, il rentrerait épuisé d'une sortie ou du lycée, et voudrait juste passer discrètement pour aller se reposer. Il entendait déjà résonner le fameux "faites entrer l'accusé", avant qu'il entre dans une maison qui [trop de « qu' » + « qui » – vois si tu ne peux pas régler la question avec un adjectif > j'ai bougé le "résonner". Est-ce suffisant ?] s'apprêterait à ne plus être la sienne. Il s'inquiétait à l'idée qu'il se verrait [ce n'est pas un peu lourd ? "Il s'inquiétait à l'idée d'être" ?] régulièrement obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus associable [? > Erreur de ma part ; j'avais cru lire "le hiciera", et non pas "se". Mais je me demande s'il ne s'agirait pas d'une autre coquille dans la VO ? C'est le protagoniste qui deviendrait associable s'il devait se taire. Non ?].

Tradabordo a dit…

Il devrait probablement la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où, lui, il rentrerait épuisé d'une sortie ou du lycée, et voudrait juste passer discrètement pour aller se reposer. Il entendait déjà résonner le fameux "faites entrer l'accusé", avant qu'il entre [aïe : entrer + entre] dans une maison qui [trop de « qu' » + « qui » – vois si tu ne peux pas régler la question avec un adjectif > j'ai bougé le "résonner". Est-ce suffisant ? // là, le pb, c'est que « qui s'apprêtait à ne plus être la sienne » n'est pas naturel… ] s'apprêterait à ne plus être la sienne. Il s'inquiétait à l'idée qu'il se verrait [ce n'est pas un peu lourd ? "Il s'inquiétait à l'idée d'être" ? OK] régulièrement obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus associable [? > Erreur de ma part ; j'avais cru lire "le hiciera", et non pas "se". Mais je me demande s'il ne s'agirait pas d'une autre coquille dans la VO ? C'est le protagoniste qui deviendrait associable s'il devait se taire. Non ? ASSOCIAL].

Unknown a dit…

Il devrait probablement la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où, lui, il rentrerait épuisé d'une sortie ou du lycée, et voudrait juste passer discrètement pour aller se reposer. Il entendait déjà résonner le fameux "faites entrer l'accusé", avant qu'il ne mette en pied dans une maison qui, bientôt, ne serait plus vraiment la sienne. Il s'inquiétait à l'idée d'être régulièrement obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus asocial.

Tradabordo a dit…

Il devrait probablement la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où, lui, il rentrerait épuisé d'une sortie ou du lycée, et voudrait juste passer discrètement pour aller se reposer. Il entendait déjà résonner le fameux "faites entrer l'accusé", avant qu'il ne mette en pied dans une maison qui, bientôt [place-le après ; ça t'évitera cette entre-virgules qui casse le rythme ; essaie d'aller toujours vers la fluidité… // sauf, évidemment quand des questions de style sont derrière… ce qui n'est pas le cas ici], ne serait plus vraiment la sienne. Il s'inquiétait à l'idée d'être régulièrement obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus asocial.

Unknown a dit…

Il devrait probablement la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où, lui, il rentrerait épuisé d'une sortie ou du lycée, et voudrait juste passer discrètement pour aller se reposer. Il entendait déjà résonner le fameux "faites entrer l'accusé", avant qu'il ne mette en pied dans une maison qui ne serait bientôt plus vraiment la sienne. Il s'inquiétait à l'idée d'être régulièrement obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus asocial.

Tradabordo a dit…

Il devrait probablement la supporter chez lui, un jour où ses parents regarderaient cette émission et où lui, il rentrerait épuisé d'une sortie ou du lycée, et voudrait juste passer discrètement pour aller se reposer. Il entendait déjà résonner le fameux "faites entrer l'accusé", avant qu'il ne mette en pied dans une maison qui ne serait bientôt plus vraiment la sienne. Il s'inquiétait à l'idée d'être régulièrement obligé de discuter avec une personne aussi détestable. C'était ça ou se taire et laisser son malaise le rendre de plus en plus asocial.

OK.