vendredi 12 septembre 2014

Projet Hélène 3 – phrases 107-119

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Había oído mucho sobre la zona muerta. Esas historias terribles sobre la mutación. El efecto de los rayos sobre la vida en cualquier zona. De la cantidad de muertos que dejó la explosión esa noche y del sinnúmero que le seguiría a todo aquel que se acercase a la planta. Mientras se internaba en la zona, las palabras de Iván le vinieron a la mente. “¿Sabes lo que le hicieron a mi hijo? Cada quince días tenía que subir a un alto sobre la planta para colocar una nueva bandera del Partido porque la radiación había desecho la anterior” musitó su amigo serenamente. “¿Quién sabe dónde estará ahora?” Iván salió de Igovka cuando supo de la explosión en la planta. También se dirigió a Kiev porque la mayoría de los heridos estaban ahí. Pero como muchos, tampoco pudo encontrar a su hijo. Otro joven, el hijo de los Legasov, Yuri, había sido enjuiciado y sentenciado a una pena de 20 años de cárcel. Yuri nunca sería liberado porque en  dos semanas moriría en Moscú.

Traduction temporaire :
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Il avait beaucoup entendu parler de la zone morte : de terribles histoires sur la mutation, l’effet des rayons sur toutes les formes de vie présentes jusque dans les moindres recoins, la quantité de morts causés par l’explosion cette nuit-là, le nombre incalculable qu'il y aurait parmi ceux qui s’approcheraient de la centrale. Tandis qu’il pénétrait dans la zone contaminée, il se rappelait les mots d’Ivan : « Tu sais ce qu’ils ont fait à mon fils ? Tous les quinze jours, il devait monter sur un point surélevé de la centrale pour fixer un nouveau drapeau du Parti parce que les radiations avaient déchiqueté l’ancien », murmura sereinement son ami. « Qui sait où il peut être maintenant ? » Ivan était parti d’Ikovga en apprenant pour l’explosion dans la centrale. Lui aussi, il s'était dirigé vers Kiev, où se trouvait la majorité des blessés. Mais, comme beaucoup, il n'était pas parvenu à retrouver son fils. Un autre jeune homme, le fils Legasov, Yuri, avait été jugé et condamné à une peine de 20 ans de prison. Vu que dans deux semaines il mourrait à Moscou, il ne serait jamais libéré.

8 commentaires:

Hélène a dit…

6
Il avait beaucoup entendu parler de la zone morte : ces terribles histoires sur la mutation, l’effet des rayons sur toutes les formes de vie, la quantité de morts laissés par l’explosion cette nuit-là, le nombre incalculable qui s’ensuivrait parmi ceux qui s’approcheraient de la centrale. Tandis qu’il pénétrait dans la zone, il se rappelait les mots d’Ivan. « Tu sais ce qu’ils ont fait à mon fils ? » Tous les quinze jours, il devait monter sur le point culminant de la centrale pour fixer un nouveau drapeau du Parti parce que la radiation avait déchiqueté l’ancien », murmura sereinement son ami. « Qui sait où il peut être maintenant ? » Ivan partit d’Ikovga quand il apprit pour l’explosion dans la centrale. Lui aussi se dirigea vers Kiev, où se trouvait la majorité des blessés. Mais comme beaucoup, il ne parvint pas à retrouver son fils. Un autre jeune, le fils Legasov, Yuri, avait été jugé et condamné à une peine de 20 ans de prison. Il ne serait jamais libéré puisque dans deux semaines, il mourrait à Moscou.

Tradabordo a dit…

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Il avait beaucoup entendu parler de la zone morte : ces [« de »] terribles histoires sur la mutation, l’effet des rayons sur toutes les formes de vie [avec « zona », sûre que c'est le sens ? J'hésite…], la quantité de morts laissés par l’explosion cette nuit-là, le nombre incalculable qui s’ensuivrait parmi ceux qui s’approcheraient de la centrale. Tandis qu’il pénétrait dans la zone [manque quelque chose ici, non ?], il se rappelait les mots d’Ivan. « Tu sais ce qu’ils ont fait à mon fils ? » Tous les quinze jours, il devait monter sur le point culminant [naturel ? J'hésite] de la centrale pour fixer un nouveau drapeau du Parti parce que la radiation [au pluriel ?] avait déchiqueté l’ancien », murmura sereinement son ami. « Qui sait où il peut être maintenant ? » Ivan partit [temps ?] d’Ikovga quand il apprit [temps ?] pour l’explosion dans la centrale. Lui aussi se dirigea [temps ?] vers Kiev, où se trouvait la majorité des blessés. Mais comme beaucoup, il ne parvint [temps ?] pas à retrouver son fils. Un autre jeune, le fils Legasov, Yuri, avait été jugé et condamné à une peine de 20 ans de prison. Il ne serait jamais libéré puisque [passe par « vu que » et mets-le avant] dans deux semaines, il mourrait à Moscou.

Hélène a dit…

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Il avait beaucoup entendu parler de la zone morte : de terribles histoires sur la mutation, l’effet des rayons sur toutes les formes de vie présentes dans les moindres recoins, la quantité de morts laissés par l’explosion cette nuit-là, le nombre incalculable qui s’ensuivrait parmi ceux qui s’approcheraient de la centrale. Tandis qu’il pénétrait dans la zone contaminée, il se rappelait les mots d’Ivan. « Tu sais ce qu’ils ont fait à mon fils ? » Tous les quinze jours, il devait monter sur un point surélevé de la centrale pour fixer un nouveau drapeau du Parti parce que les radiations avaient déchiqueté l’ancien », murmura sereinement son ami. « Qui sait où il peut être maintenant ? » Ivan était parti d’Ikovga quand il avait appris pour l’explosion dans la centrale. Lui aussi s'était dirigé vers Kiev, où se trouvait la majorité des blessés. Mais comme beaucoup, il n'était pas parvenu à retrouver son fils. Un autre jeune, le fils Legasov, Yuri, avait été jugé et condamné à une peine de 20 ans de prison. Vu que dans deux semaines il mourrait à Moscou, il ne serait jamais libéré.

Tradabordo a dit…

6

Il avait beaucoup entendu parler de la zone morte : de terribles histoires sur la mutation, l’effet des rayons sur toutes les formes de vie présentes dans les moindres recoins, la quantité de morts laissés [« causées » ?] par l’explosion cette nuit-là, le nombre incalculable qui s’ensuivrait [super lourd] parmi ceux qui s’approcheraient de la centrale. Tandis qu’il pénétrait dans la zone contaminée, il se rappelait les mots d’Ivan. [deux points ?] « Tu sais ce qu’ils ont fait à mon fils ? » [guillemet ?] Tous les quinze jours, il devait monter sur un point surélevé de la centrale pour fixer un nouveau drapeau du Parti parce que les radiations avaient déchiqueté l’ancien », murmura sereinement son ami. « Qui sait où il peut être maintenant ? » Ivan était parti d’Ikovga quand il avait appris [ou « en apprenant » ? Comme tu veux] pour l’explosion dans la centrale. Lui aussi [« , il »] s'était dirigé vers Kiev, où se trouvait la majorité des blessés. Mais [virgule] comme beaucoup, il n'était pas parvenu à retrouver son fils. Un autre jeune [maladroit], le fils Legasov, Yuri, avait été jugé et condamné à une peine de 20 ans de prison. Vu que dans deux semaines il mourrait à Moscou, il ne serait jamais libéré.

Hélène a dit…

6

Il avait beaucoup entendu parler de la zone morte : de terribles histoires sur la mutation, l’effet des rayons sur toutes les formes de vie présentes dans les moindres recoins, la quantité de morts causés par l’explosion cette nuit-là, le nombre incalculable qu'il y aurait parmi ceux qui s’approcheraient de la centrale. Tandis qu’il pénétrait dans la zone contaminée, il se rappelait les mots d’Ivan : « Tu sais ce qu’ils ont fait à mon fils ? Tous les quinze jours, il devait monter sur un point surélevé de la centrale pour fixer un nouveau drapeau du Parti parce que les radiations avaient déchiqueté l’ancien », murmura sereinement son ami. « Qui sait où il peut être maintenant ? » Ivan était parti d’Ikovga en apprenant pour l’explosion dans la centrale. Lui aussi, il s'était dirigé vers Kiev, où se trouvait la majorité des blessés. Mais, comme beaucoup, il n'était pas parvenu à retrouver son fils. Un autre jeune homme, le fils Legasov, Yuri, avait été jugé et condamné à une peine de 20 ans de prison. Vu que dans deux semaines il mourrait à Moscou, il ne serait jamais libéré.

Tradabordo a dit…

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Il avait beaucoup entendu parler de la zone morte : de terribles histoires sur la mutation, l’effet des rayons sur toutes les formes de vie présentes [cheville : « jusque » ?] dans les moindres recoins, la quantité de morts causés par l’explosion cette nuit-là, le nombre incalculable qu'il y aurait parmi ceux qui s’approcheraient de la centrale. Tandis qu’il pénétrait dans la zone contaminée, il se rappelait les mots d’Ivan : « Tu sais ce qu’ils ont fait à mon fils ? Tous les quinze jours, il devait monter sur un point surélevé de la centrale pour fixer un nouveau drapeau du Parti parce que les radiations avaient déchiqueté l’ancien », murmura sereinement son ami. « Qui sait où il peut être maintenant ? » Ivan était parti d’Ikovga en apprenant pour l’explosion dans la centrale. Lui aussi, il s'était dirigé vers Kiev, où se trouvait la majorité des blessés. Mais, comme beaucoup, il n'était pas parvenu à retrouver son fils. Un autre jeune homme, le fils Legasov, Yuri, avait été jugé et condamné à une peine de 20 ans de prison. Vu que dans deux semaines il mourrait à Moscou, il ne serait jamais libéré.

Hélène a dit…

6

Il avait beaucoup entendu parler de la zone morte : de terribles histoires sur la mutation, l’effet des rayons sur toutes les formes de vie présentes jusque dans les moindres recoins, la quantité de morts causés par l’explosion cette nuit-là, le nombre incalculable qu'il y aurait parmi ceux qui s’approcheraient de la centrale. Tandis qu’il pénétrait dans la zone contaminée, il se rappelait les mots d’Ivan : « Tu sais ce qu’ils ont fait à mon fils ? Tous les quinze jours, il devait monter sur un point surélevé de la centrale pour fixer un nouveau drapeau du Parti parce que les radiations avaient déchiqueté l’ancien », murmura sereinement son ami. « Qui sait où il peut être maintenant ? » Ivan était parti d’Ikovga en apprenant pour l’explosion dans la centrale. Lui aussi, il s'était dirigé vers Kiev, où se trouvait la majorité des blessés. Mais, comme beaucoup, il n'était pas parvenu à retrouver son fils. Un autre jeune homme, le fils Legasov, Yuri, avait été jugé et condamné à une peine de 20 ans de prison. Vu que dans deux semaines il mourrait à Moscou, il ne serait jamais libéré.

Tradabordo a dit…

6

Il avait beaucoup entendu parler de la zone morte : de terribles histoires sur la mutation, l’effet des rayons sur toutes les formes de vie présentes jusque dans les moindres recoins, la quantité de morts causés par l’explosion cette nuit-là, le nombre incalculable qu'il y aurait parmi ceux qui s’approcheraient de la centrale. Tandis qu’il pénétrait dans la zone contaminée, il se rappelait les mots d’Ivan : « Tu sais ce qu’ils ont fait à mon fils ? Tous les quinze jours, il devait monter sur un point surélevé de la centrale pour fixer un nouveau drapeau du Parti parce que les radiations avaient déchiqueté l’ancien », murmura sereinement son ami. « Qui sait où il peut être maintenant ? » Ivan était parti d’Ikovga en apprenant pour l’explosion dans la centrale. Lui aussi, il s'était dirigé vers Kiev, où se trouvait la majorité des blessés. Mais, comme beaucoup, il n'était pas parvenu à retrouver son fils. Un autre jeune homme, le fils Legasov, Yuri, avait été jugé et condamné à une peine de 20 ans de prison. Vu que dans deux semaines il mourrait à Moscou, il ne serait jamais libéré.

OK.