mercredi 20 mai 2015

Projet Caroline 2 – phrases 287-292

Mammón terminó de leer y, a continuación, cerró el libro. Para entonces fue consciente de que a él también le ocurría algo que nunca antes había sentido: ahora que se acercaba a su fin se daba perfecta cuenta de lo doloroso que resultaba pensar en no haber hecho aquellas cosas que creía realmente importantes. Y, sin embargo, lo curioso residía en que esas cosas también eran las más simples. No echaba en falta haber pasado más tiempo acumulando riquezas, o explorando mundos en solitario, o luchando contra los ejércitos de Yavé. En lugar de ello, encontraba un notable alivio en los recuerdos que conservaba durante sus momentos de ocio, en compañía de sus compañeros, entretenidos alrededor de asuntos que entonces consideraba triviales. Porque a fin de cuentas ellos eran su familia, y pronto los perdería para siempre.

Traduction temporaire :
Mammón acheva sa lecture, puis referma le livre. Il réalisa à ce moment-là qu'il éprouvait lui aussi quelque chose de nouveau : maintenant que sa fin approchait, il prenait nettement conscience de combien il était douloureux de penser qu'il n'avait jamais fait ce qu'il considérait comme vraiment important. Et cependant, le plus étrange était que ces choses étaient aussi les plus simples. Il n'aspirait pas à passer plus de temps à accumuler des richesses, à explorer des mondes en solitaire, ou à combattre les armées de Yahvé. Au lieu de cela, les souvenirs qui l'apaisaient réellement étaient ceux qu'il gardait des moments de loisirs partagés avec ses compagnons, quand ils s'amusaient de sujets qu'il tenait alors pour banals. Car finalement, ils étaient sa famille, et bientôt, il les perdrait à jamais.

6 commentaires:

Caroline a dit…

Mammón acheva sa lecture, puis ferma le livre. Il réalisa alors qu'il sentait lui aussi quelque chose d'inédit : maintenant que sa fin approchait, il prenait nettement conscience de la douleur causée par la pensée de ces choses qu'il considérait comme vraiment importantes et qu'il n'avait jamais faites. Et cependant, le plus étrange était que ces choses étaient aussi les plus simples. Il n'aspirait pas à passer plus de temps à accumuler des richesses, à explorer des mondes en solitaire, ou à combattre les armées de Yahvé. Au contraire, les souvenirs qui l'apaisaient réellement étaient ceux qu'il gardait des moments de loisirs partagés avec ses compagnons, quand ils s'amusaient de sujets qu'il tenait alors pour banals. Car finalement, ils étaient sa famille, et bientôt, il les perdrait à jamais.

Tradabordo a dit…

Mammón acheva sa lecture, puis [« re » ?]ferma le livre. Il réalisa alors qu'il sentait [« éprouvait »] lui aussi quelque chose d'inédit [naturel ?] : maintenant que sa fin approchait, il prenait nettement conscience de la douleur causée par la pensée de ces choses [je me demande si vous ne compliquez pas / alourdissez pas en contournant le littéral…] qu'il considérait comme vraiment importantes et qu'il n'avait jamais faites [idem].

Dans cette première section, je crois que vous avez changé un peu inutilement. Voyez ce que ça donne en revenant à la V.O.

Et cependant, le plus étrange était que ces choses étaient aussi les plus simples. Il n'aspirait pas à passer plus de temps à accumuler des richesses, à explorer des mondes en solitaire, ou à combattre les armées de Yahvé. Au contraire, les souvenirs qui l'apaisaient réellement étaient ceux qu'il gardait des moments de loisirs partagés avec ses compagnons, quand ils s'amusaient de sujets qu'il tenait alors pour banals. Car finalement, ils étaient sa famille, et bientôt, il les perdrait à jamais.

Caroline a dit…

Mammón acheva sa lecture, puis referma le livre. Il réalisa alors qu'il éprouvait lui aussi quelque chose qu'il n'avait encore jamais éprouvé : maintenant que sa fin approchait, il prenait nettement conscience de combien il était douloureux de penser qu'il n'avait jamais fait ce qu'il considérait comme vraiment important. Et cependant, le plus étrange était que ces choses étaient aussi les plus simples. Il n'aspirait pas à passer plus de temps à accumuler des richesses, à explorer des mondes en solitaire, ou à combattre les armées de Yahvé. Au contraire, les souvenirs qui l'apaisaient réellement étaient ceux qu'il gardait des moments de loisirs partagés avec ses compagnons, quand ils s'amusaient de sujets qu'il tenait alors pour banals. Car finalement, ils étaient sa famille, et bientôt, il les perdrait à jamais.

Tradabordo a dit…

En lugar de ello, encontraba un notable alivio en los recuerdos que conservaba durante sus momentos de ocio, en compañía de sus compañeros, entretenidos alrededor de asuntos que entonces consideraba triviales. Porque a fin de cuentas ellos eran su familia, y pronto los perdería para siempre.

Mammón acheva sa lecture, puis referma le livre. Il réalisa alors qu'il éprouvait lui aussi quelque chose qu'il n'avait encore jamais éprouvé [« de nouveau » ?] : maintenant que sa fin approchait, il prenait nettement conscience de combien il était douloureux de penser qu'il n'avait jamais fait ce qu'il considérait comme vraiment important. Et cependant, le plus étrange était que ces choses étaient aussi les plus simples. Il n'aspirait pas à passer plus de temps à accumuler des richesses, à explorer des mondes en solitaire, ou à combattre les armées de Yahvé. Au contraire [je crois que vous tirez le sens], les souvenirs qui l'apaisaient réellement étaient ceux qu'il gardait des moments de loisirs partagés avec ses compagnons, quand ils s'amusaient de sujets qu'il tenait alors [vous en avez déjà un au début] pour banals. Car finalement, ils étaient sa famille, et bientôt, il les perdrait à jamais.

Caroline a dit…

Mammón acheva sa lecture, puis referma le livre. Il réalisa à ce moment-là qu'il éprouvait lui aussi quelque chose de nouveau : maintenant que sa fin approchait, il prenait nettement conscience de combien il était douloureux de penser qu'il n'avait jamais fait ce qu'il considérait comme vraiment important. Et cependant, le plus étrange était que ces choses étaient aussi les plus simples. Il n'aspirait pas à passer plus de temps à accumuler des richesses, à explorer des mondes en solitaire, ou à combattre les armées de Yahvé. Au lieu de cela, les souvenirs qui l'apaisaient réellement étaient ceux qu'il gardait des moments de loisirs partagés avec ses compagnons, quand ils s'amusaient de sujets qu'il tenait alors pour banals. Car finalement, ils étaient sa famille, et bientôt, il les perdrait à jamais.

Tradabordo a dit…

Mammón acheva sa lecture, puis referma le livre. Il réalisa à ce moment-là qu'il éprouvait lui aussi quelque chose de nouveau : maintenant que sa fin approchait, il prenait nettement conscience de combien il était douloureux de penser qu'il n'avait jamais fait ce qu'il considérait comme vraiment important. Et cependant, le plus étrange était que ces choses étaient aussi les plus simples. Il n'aspirait pas à passer plus de temps à accumuler des richesses, à explorer des mondes en solitaire, ou à combattre les armées de Yahvé. Au lieu de cela, les souvenirs qui l'apaisaient réellement étaient ceux qu'il gardait des moments de loisirs partagés avec ses compagnons, quand ils s'amusaient de sujets qu'il tenait alors pour banals. Car finalement, ils étaient sa famille, et bientôt, il les perdrait à jamais.

OK.