vendredi 8 mai 2015

Projet Émilie 8 – phrases 152-154

Percibíase claramente la combustible lluvia, en trazos de cobre que vibraban como el cordaje innumerable de un arpa, y de cuando en cuando mezclábanse con ella ligeras flámulas. Humaredas negras anunciaban incendios aquí y allá. Mis pájaros comenzaban a morir de sed y hube de bajar hasta el aljibe para llevarles agua.

Traduction temporaire :
La pluie combustible était nettement perceptible, dans des traits de cuivre vibrant telles les innombrables cordes d’une harpe, auxquels se mêlaient, par intermittence, de légers fanions. Des nuages de fumée noirs annonçaient des incendies ça et là. Comme mes oiseaux commençaient à mourir de soif, je dus descendre à la citerne pour leur apporter de l’eau.

4 commentaires:

Emilie a dit…

L’on percevait nettement la pluie combustible, dans des traits de cuivre vibrant telles les innombrables cordes d’une harpe, auxquels se mêlaient, de temps à autre, de légers fanions. Des nuages de fumée noirs annonçaient des incendies ça et là.
Comme mes oiseaux commençaient à mourir de soif, je dus descendre à la citerne pour leur apporter de l’eau.

Tradabordo a dit…

L’on percevait nettement la pluie combustible [ou : « la pluie combustible était nettement perceptible » ?], dans des traits de cuivre vibrant telles les innombrables cordes d’une harpe, auxquels se mêlaient, de temps à autre, de [ça m'embête ces deux « de », pas sur le même plan ; une solution ?] légers fanions. Des nuages de fumée noirs annonçaient des incendies ça et là.
Comme mes oiseaux commençaient à mourir de soif, je dus descendre à la citerne pour leur apporter de l’eau.

Emilie a dit…

La pluie combustible était nettement perceptible, dans des traits de cuivre vibrant telles les innombrables cordes d’une harpe, auxquels se mêlaient, par intermittence, de légers fanions. Des nuages de fumée noirs annonçaient des incendies ça et là.
Comme mes oiseaux commençaient à mourir de soif, je dus descendre à la citerne pour leur apporter de l’eau.

Tradabordo a dit…

La pluie combustible était nettement perceptible, dans des traits de cuivre vibrant telles les innombrables cordes d’une harpe, auxquels se mêlaient, par intermittence, de légers fanions. Des nuages de fumée noirs annonçaient des incendies ça et là.
Comme mes oiseaux commençaient à mourir de soif, je dus descendre à la citerne pour leur apporter de l’eau.

OK.