Junto a los niños que corrían tras sus pelotas, a las niñas y las niñeras, ella le explicaría, entonces, por qué había cambiado de actitud tan rotundamente hacia él, por qué los últimos días del clase ni la veía siquiera, que hasta tenía la impresión de que lo evitaba, como si le hubiese hecho algo malo.
Traduction temporaire :
À côté des petits garçons qui couraient après leurs ballons, des fillettes et de leurs nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé d'attitude à son égard aussi brutalement, pourquoi il ne l'avait quasiment pas vue les derniers jours de cours, pourquoi il avait même l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
À côté des petits garçons qui couraient après leurs ballons, des fillettes et de leurs nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé d'attitude à son égard aussi brutalement, pourquoi il ne l'avait quasiment pas vue les derniers jours de cours, pourquoi il avait même l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
15 commentaires:
Près des enfants qui couraient après les ballons, des filles et des nourrices, elle lui expliquerait, alors, pourquoi elle avait changé d'attitude aussi brutalement envers lui, pourquoi les derniers jours de cours il ne la voyait pas non plus, à tel point qu'il avait l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
Alors, parmi les petits garçons qui courraient derrière leurs balles, les petites filles et les nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé si radicalement d'attitude envers lui, pourquoi il ne la voyait même plus les derniers jours de cours, pourquoi il avait l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il avait fait quelque chose de mal.
0) « À côté », pour éviter « près de » / « après ».
1) Pas besoin de « alors ».
2) Oui, Julie, « petits garçons ».
3) Oui, Manon, pour « après ».
4) Oui, Manon, pour « ballon ».
5) « des » ou « de leurs » ?
6) « envers lui » ou « à son égard » ou « avec lui » ?
7) Pour la suite : CS, Manon. Attention à « ni + siquiera ».
Julie : à reformuler ; je trouve que ça manque de naturel.
8) Vous n'avez pas traduit hasta.
9) Nous avons confirmation que c'est « sa copine », donc.
A côté des petits garçons qui courraient après leurs ballons, les petites filles et les nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé si radicalement d'attitude à son égard, pourquoi pendant les derniers jours de cours il ne la voyait même plus, à tel point qu'en plus, il avait l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il avait fait quelque chose de mal.
Pour "hasta" je voulais mettre "même" : A tel point qu'il avait même l'impression que... Mais on a "même plus" juste au dessus.
À côté des petits garçons qui couraient après leurs ballons, les filles et les nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé d'attitude aussi brutalement à son égard, pourquoi les derniers jours de cours il ne la voyait même plus, à tel point qu'il avait l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
5) « des » ou « de leurs » pour les ballons ?
8) J'ai traduit « hasta » par « à tel point » mais c'est peut-être un FS ?
Question, encore sur les énumérations : faut-il que l'on rajoute des « après » avant « les filles » et « les nourrices » ?
5) « des » ou « de leurs » pour les ballons ?
Non, « nourrices ».
8) J'ai traduit « hasta » par « à tel point » mais c'est peut-être un FS ?
Il vaut mieux passer par « même » et le déplacer.
Question, encore sur les énumérations : faut-il que l'on rajoute des « après » avant « les filles » et « les nourrices » ?
Non, sinon CS.
Reprends avec ça…
À côté des petits garçons qui couraient après leurs ballons, des filles et de leurs nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé d'attitude aussi brutalement à son égard, pourquoi les derniers jours de cours il ne la voyait même plus, il avait même l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
On a un problème de répétition de « même ».
À côté des petits garçons qui couraient après leurs ballons, des filles et de leurs nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé d'attitude aussi brutalement à son égard, pourquoi les derniers jours de cours il ne la voyait même plus, il avait même l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
Pb de décalage « petits garçons » / « filles ». Tu crées une différence d'appréciation.
Place « aussi brutalement » ailleurs.
« il ne la voyait même plus » ; peu naturel. Dirais-tu cela spontanément en français ?
À côté des petits garçons qui couraient après leurs ballons, des petites filles et de leurs nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé d'attitude à son égard aussi brutalement, pourquoi les derniers jours de cours il ne l'avait même pas vue, il avait même l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
J'ai l'impression que la fin ne s'enchaîne pas bien. Est-ce qu'on ne pourrait pas couper la phrase ou ajouter une cheville avant « il avait même l'impression » ?
À côté des petits garçons qui couraient après leurs ballons, des petites filles et de leurs nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé d'attitude à son égard aussi brutalement, pourquoi les derniers jours de cours il ne l'avait même pas vue, il avait même l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
1) Un truc (à retenir) : pour éviter petits garçons / petites filles… Tu as aussi garçonnets et fillettes. À toi de voir.
2) « pourquoi les derniers jours de cours il ne l'avait même pas vue » ; passe par : « Pourquoi c'est à peine si »
À côté des garçonnets qui couraient après leurs ballons, des fillettes et de leurs nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé d'attitude à son égard aussi brutalement, pourquoi c'est à peine s'il l'avait vue les derniers jours de cours, il avait même l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
À côté des garçonnets qui couraient après leurs ballons, des fillettes et de leurs nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé d'attitude à son égard aussi brutalement, pourquoi c'est à peine s'il l'avait vue les derniers jours de cours, il avait même l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
1) On peut quand même laisser « petits garçons » ; à vous de voir, mais il est certain que « garçonnet » est moins spontané que « fillette ». Je vous indiquais les solutions théoriques. Mon objectif continuait d'être aussi la formation ;-)
2) « pourquoi c'est à peine s'il l'avait vue les derniers jours de cours » ; décidément, ce morceau ne va pas. Je vous propose :
« pourquoi il ne l'avais quasiment pas vue »
3) Pour le morceau d'après, répète « pourquoi ».
À côté des petits garçons qui couraient après leurs ballons, des fillettes et de leurs nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé d'attitude à son égard aussi brutalement, pourquoi il ne l'avait quasiment pas vue les derniers jours de cours, pourquoi il avait même l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
À côté des petits garçons qui couraient après leurs ballons, des fillettes et de leurs nourrices, elle lui expliquerait pourquoi elle avait changé d'attitude à son égard aussi brutalement, pourquoi il ne l'avait quasiment pas vue les derniers jours de cours, pourquoi il avait même l'impression qu'elle l'évitait, comme s'il lui avait fait quelque chose de mal.
Voilà ! Nous y sommes arrivées.
Je mets la suite.
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