lundi 24 septembre 2012

Les Lituma – phrase 28

Imaginaba que vivían en el mismo vagón de metro, que compartían un único par de guantes durante el invierno, distantes del terruño al que la distancia había enseñado a querer con la misma intensidad con la que el huérfano, solo y lejos de casa, tiene nostalgia de los golpes de una madrastra.

Traduction temporaire :
J’imaginais qu’ils vivaient dans le même wagon de métro, qu’ils se partageaient une unique paire de gants en hiver, loin de leur terre natale, et que la distance leur avait appris à aimer avec la même intensité avec laquelle un orphelin, seul et loin de chez lui, ressent de la nostalgie pour les coups qu'il a reçus d’une belle-mère.

7 commentaires:

Sonita a dit…

J’imaginais qu’ils vivaient dans un même wagon du métro, qu’ils se partageaient l’unique paire de gants durant l’hiver, loin de leur pays d’origine et que la distance leur avait appris à aimer avec la même intensité avec laquelle un orphelin, seul et loin de chez lui, en vient à regretter les coups d’une belle-mère.

Tradabordo a dit…

Pourquoi « UN même » ?

Pourquoi « l'Unique » ?

Pas besoin de « durant ».

« terruño » ; dommage, c'est plus riche que « leur pays d'origine ».

Pourquoi tu changes la fin ; le mot « nostalgie » est important et doit rester.
Attention de ne pas retomber dans le vice du changement !

Sonita a dit…

J’imaginais qu’ils vivaient dans le même wagon du métro, qu’ils se partageaient une seule paire de gants en hiver, loin de leur pays natal et que la distance leur avait appris à aimer avec la même intensité avec laquelle un orphelin, seul et loin de chez lui, a de la nostalgie pour les coups d’une belle-mère.

***
Un peu plus tôt dans ce texte, nous avons déjà utilisé "éprouver de la nostalgie", c'est pourquoi j'ai cherché une autre manière de le dire. J'ai peur que la traduction littérale ne soit pas très correcte en français.
Ce qui est terrible, c'est que j'en viens à douter de tout, je ne sais plus ce qui est correct ou pas ! Y a-t-il un remède ?!!!!

Tradabordo a dit…

Logique de passer par des phases de doutes… Comme tout apprentissage, la traduction est un exercice qui s'apprend. C'est une illusion de croire qu'on y arrive parce qu'on est bilingue, etc.
Cela demande beaucoup de pratique et beaucoup de patience.

J’imaginais qu’ils vivaient dans le même wagon du [de] métro, qu’ils se partageaient une seule [unique] paire de gants en hiver, loin de leur pays [terre] natal [e] et que la distance leur avait appris à aimer avec la même intensité avec laquelle un orphelin, seul et loin de chez lui, a [ressent] de la nostalgie pour les coups [qu'il a reçus] d’une belle-mère.

Sonita a dit…

J’imaginais qu’ils vivaient dans le même wagon de métro, qu’ils se partageaient une unique paire de gants en hiver, loin de leur terre natale et que la distance leur avait appris à aimer avec la même intensité avec laquelle un orphelin, seul et loin de chez lui, ressent de la nostalgie pour les coups qu'il a reçus d’une belle-mère.

Tradabordo a dit…

J’imaginais qu’ils vivaient dans le même wagon de métro, qu’ils se partageaient une unique paire de gants en hiver, loin de leur terre natale, et que la distance leur avait appris à aimer avec la même intensité avec laquelle un orphelin, seul et loin de chez lui, ressent de la nostalgie pour les coups qu'il a reçus d’une belle-mère.

OK.

Validation d'une autre Lituma, svp.

Justine a dit…

J’imaginais qu’ils vivaient dans le même wagon de métro, qu’ils se partageaient une unique paire de gants en hiver, loin de leur terre natale, et que la distance leur avait appris à aimer avec la même intensité avec laquelle un orphelin, seul et loin de chez lui, ressent de la nostalgie pour les coups qu'il a reçus d’une belle-mère.

OK.