mercredi 12 décembre 2012

Les Lituma – phrase 284

Sin quererlo, Proust y Stendhal subrayan la fábula de los segundones, aquellos cuyo lugar en la ficción nadie recuerda o ya olvidó apenas cambió de pagina, pese a que, de un modo o de otro, contribuyeron a darle un sentido al relato o, mejor dicho, a esa vida que necesita de ellos para seguir existiendo, con toda sus injusticias, sus euforias y sus olvidos.

Traduction temporaire :
Sans le vouloir, Proust et Stendhal mettent en relief la fable des seconds rôles ; les personnages dont personne ne retient la place dans la fiction ou qu'on oublie sitôt la page tournée, alors que, d'une façon ou d'une autre, ils ont contribué à donner du sens au récit ou, plutôt, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec son cortège d'injustices, d'euphories et d'oublis.

11 commentaires:

Elodie a dit…

Sans le vouloir, Proust et Stendhal soulignent la légende des personnages secondaires, ceux dont personne ne se rappelle la place dans la fiction ou qui sont déjà oubliés à peine la page tournée, malgré le fait que d'une façon ou d'une autre, ils contribuèrent à donner un sens au récit ou, encore mieux, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec toutes ses injustices, ses euphories et ses oublis.

Tradabordo a dit…

Sans le vouloir, Proust et Stendhal soulignent [dans quel sens ?] la légende [pour « fábula » ? J'hésite… Qu'en penses-tu, Sonita ?] des personnages secondaires, ceux dont personne ne se rappelle [enchaînement entre les deux morceaux ?????] la place dans la fiction ou qui sont déjà oubliés à peine la page tournée [mal dit], malgré le fait que d'une façon ou d'une autre, ils contribuèrent à donner un sens au récit ou, encore mieux, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec toutes ses injustices, ses euphories et ses oublis.

Dans l'ensemble, ça manque beaucoup de clarté et de naturel… Essaie de mettre un peu d'ordre dans tout cela.

Sonita a dit…

Sans le vouloir, Proust et Stendhal mettent en relief la fable des personnages secondaires. Ceux-là même dont personne ne se rappelle la place dans la fiction ou qui sont déjà oubliés aussitôt la page tournée, malgré le fait que, d'une façon ou d'une autre, ils aient contribué à donner un sens au récit ou, plutôt, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec toutes ses injustices, ses euphories et ses oublis.

***
Pour ma part, j'ai interprété "fábula" au sens 1er du terme : FABLE.

Tradabordo a dit…

Sans le vouloir, Proust et Stendhal mettent en relief la fable des personnages secondaires [ou « seconds rôles » ?]. Ceux-là même [mal dit + joindre les deux phrases avec une virgule ou un point-virgule] dont personne ne se rappelle la place [mal formulé… très maladroit] dans la fiction ou qui sont déjà oubliés aussitôt la page tournée [manque de naturel], malgré le fait [simplifie avec « alors que, pourtant, »] que, d'une façon ou d'une autre, ils aient contribué à donner un sens au récit ou, plutôt, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec toutes [« son cortège de »] ses injustices, ses euphories et ses oublis.

Sonita a dit…

Sans le vouloir, Proust et Stendhal mettent en relief la fable des seconds rôles ; ces mêmes personnages dont personne ne se rappelle le rôle dans la fiction ou qui sont déjà oubliés tantôt la page tournée, alors que, d'une façon ou d'une autre, ils aient contribué à donner un sens au récit ou, plutôt, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec son cortège d'injustices, d'euphories et d'oublis.

Tradabordo a dit…

Sans le vouloir, Proust et Stendhal mettent en relief la fable des seconds rôles ; ces mêmes [supprime] personnages dont personne ne se rappelle le rôle [tu répètes « rôle » ?????] dans la fiction ou qui sont déjà oubliés [simplement : « qu'on oublie »] tantôt [« sitôt »] la page tournée, alors que, d'une façon ou d'une autre, ils aient [????????] contribué à donner un sens au récit ou, plutôt, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec son cortège d'injustices, d'euphories et d'oublis.

Sonita a dit…

Sans le vouloir, Proust et Stendhal mettent en relief la fable des seconds rôles ; personnages dont personne ne se rappelle la part dans la fiction ou qu'on oublie sitôt la page tournée, alors que, d'une façon ou d'une autre, ils ont contribué à donner un sens au récit ou, plutôt, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec son cortège d'injustices, d'euphories et d'oublis.

Tradabordo a dit…

Sans le vouloir, Proust et Stendhal mettent en relief la fable des seconds rôles ; [cheville : « les » ?] personnages dont personne ne se rappelle [« ne retient »] la part [« la place »] dans la fiction ou qu'on oublie sitôt la page tournée, alors que, d'une façon ou d'une autre, ils ont contribué à donner un [ou « du » ?] sens au récit ou, plutôt, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec son cortège d'injustices, d'euphories et d'oublis.

Sonita a dit…

Sans le vouloir, Proust et Stendhal mettent en relief la fable des seconds rôles ; les personnages dont personne ne se ne retient la place dans la fiction ou qu'on oublie sitôt la page tournée, alors que, d'une façon ou d'une autre, ils ont contribué à donner du sens au récit ou, plutôt, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec son cortège d'injustices, d'euphories et d'oublis.

Elodie a dit…

Sans le vouloir, Proust et Stendhal mettent en relief la fable des seconds rôles ; les personnages dont personne ne retient la place dans la fiction ou qu'on oublie sitôt la page tournée, alors que, d'une façon ou d'une autre, ils ont contribué à donner du sens au récit ou, plutôt, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec son cortège d'injustices, d'euphories et d'oublis.

Tradabordo a dit…

Sans le vouloir, Proust et Stendhal mettent en relief la fable des seconds rôles ; les personnages dont personne ne retient la place dans la fiction ou qu'on oublie sitôt la page tournée, alors que, d'une façon ou d'une autre, ils ont contribué à donner du sens au récit ou, plutôt, à cette vie qui a besoin d'eux pour continuer d'exister, avec son cortège d'injustices, d'euphories et d'oublis.

OK.