vendredi 22 février 2013

Projet Nadia – phrase 52

Por aquellos años de mi lejana adolescencia, mucho antes de la, guerra civil española,  la política y su revuelto oleaje, el rostro, cruel de la maldad humana, la injusticia social, la soledad del, hombre, no se reflejaban todavía en la poesía de Neruda, faltaban, años para el asesinato de García Lorca, seguramente ambos se ignoraban mutuamente y, sin embargo, se nutrían y respiraban de un mismo dramático aire misterioso, traspasado de drama, de absurdo, esencial, de alucinantes adivinaciones, de tortura afiebrada y metafísica.

Traduction temporaire :
Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme, ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait encore des années avant l'assassinat de Garcia Lorca,  tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, respirant et se nourrissant néanmoins du même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique

15 commentaires:

Unknown a dit…

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il restait des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous les deux ignoraient certainement l'existence de l'autre, et néanmoins, ils se nourrissaient et respiraient le même air dramatique et mystérieux, transpercé de drame, d'absurde essentiel, d'hallucinantes divinations, de torture fiévreuse et métaphysique.

Tradabordo a dit…

Por aquellos años de mi lejana adolescencia,
Pendant ces années de ma lointaine adolescence,
OK.

mucho antes de la, guerra civil española, la política y su revuelto oleaje,
bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée,
OK.

el rostro, cruel de la maldad humana, la injusticia social, la soledad del hombre,
le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
OK.

no se reflejaban todavía en la poesía de Neruda, faltaban, años para el asesinato de García Lorca,
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il restait des années [ou « il y avait encore » ?] avant l'assassinat de Garcia Lorca,

seguramente ambos se ignoraban mutuamente y, sin embargo, se nutrían y respiraban de un mismo dramático aire misterioso,
tous les [pas besoin de « les »] deux ignoraient certainement l'existence de l'autre [reviens à la V.O.], et néanmoins, ils se nourrissaient [ou « se nourrissant néanmoins » ? Regarde si ça fonctionne] et respiraient [idem] le même air dramatique et mystérieux,

traspasado de drama, de absurdo, esencial, de alucinantes adivinaciones, de tortura afiebrada y metafísica.
transpercé de drame [ou « par le » ? – le cas échéant, avec adaptation pour la suite ; regarde et dis-moi], d'absurde essentiel, d'hallucinantes divinations, de torture fiévreuse et métaphysique.

Unknown a dit…

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, se nourrissant néanmoins et respirant le même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique.

Tradabordo a dit…

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, se nourrissant [de quoi ? Une petite faille ici dans ta formulation…] néanmoins et respirant le même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique.

Unknown a dit…

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, ingurgitant et respirant néanmoins le même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique.

Unknown a dit…

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, ingurgitant et respirant néanmoins le même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique.

Tradabordo a dit…

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait des années [cheville « encore » ou inutile ?] avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, ingurgitant [pourquoi tu changes le verbe ?] et respirant néanmoins le même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique.

Unknown a dit…

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait encore des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, se nourrissant et respirant néanmoins le même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique

Tradabordo a dit…

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait encore des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, se nourrissant [ennuyeux parce que là, on ne voit pas qu'ils se nourrissent aussi de l'air…] et respirant néanmoins le même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique

Unknown a dit…

C'est pour ça que j'avais changé le verbe pour pas avoir besoin de préposition derrière. Je ne vois pas sinon.
Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait encore des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, ingérant et respirant néanmoins le même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique

Tradabordo a dit…

Oui, j'avais bien compris… mais il ne faut pas modifier le sens pour autant.

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait encore des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, ingérant et respirant [inverse les deux verbes et ça devrait marcher] néanmoins le même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique

Unknown a dit…

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait encore des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, respirant et ingérant néanmoins le même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique

Tradabordo a dit…

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait encore des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, respirant et ingérant [« s'alimentant »] néanmoins le [« au » ?] même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique

Unknown a dit…

c'est s'alimenter à ou s'alimenter de ?
Du coup, je peux remettre se nourrir de?
Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait encore des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, respirant et se nourrissant néanmoins du même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique

Tradabordo a dit…

Pendant ces années de ma lointaine adolescence, bien avant la guerre civile espagnole, la politique et sa houle agitée, le visage cruel de la méchanceté humaine, l'injustice sociale, la solitude de l'homme
ne se reflétaient pas encore dans la poésie de Neruda, il y avait encore des années avant l'assassinat de Garcia Lorca, tous deux ignoraient certainement leur existence mutuelle, respirant et se nourrissant néanmoins du même air dramatique et mystérieux, transpercé par le drame, l'absurde essentiel, les hallucinantes divinations, la torture fiévreuse et métaphysique.

OK.