En esa época se olía a los otros a centímetros de la nariz de uno, porque se viajaba apretado como vacas.
Traduction temporaire :
À cette époque-là, comme on voyageait serrés comme des sardines, on avait les autres à quelques centimètres de son nez.
À cette époque-là, comme on voyageait serrés comme des sardines, on avait les autres à quelques centimètres de son nez.
8 commentaires:
À cette époque, on pouvait sentir les autres à quelques centimètres du nez, car on voyageait serrés comme des vaches.
À cette époque [« -là » ?], on pouvait [pourquoi cet ajout ?] sentir les autres à quelques centimètres du [mal dit] nez, car on voyageait serrés comme des vaches [mal dit].
À cette époque-là, on sentait les autres à quelques centimètres de notre nez, car on voyageait serrés comme les vaches.
À cette époque-là, on sentait les autres à quelques centimètres de notre nez [« on avait les autres à quelques centimètres de son nez»], car on voyageait serrés comme les vaches [non, pas « vaches »].
À cette époque-là, on avait les autres à quelques centimètres de son nez, car on voyageait serrés comme des sardines.
Bon, c'est moins argentin que les vaches, mais plus français...
C'est exactement comme si, pour garder l'hispanité d'un texte, tu disais : quand les grenouilles auront des poils.
À cette époque-là, on avait les autres à quelques centimètres de son nez, car [passe par « comme » et change la syntaxe] on voyageait serrés comme des sardines.
À cette époque-là, comme on voyageait serrés comme des sardines, on avait les autres à quelques centimètres de son nez.
Eh oui, "cuando los chanchos vuelen"…
À cette époque-là, comme on voyageait serrés comme des sardines, on avait les autres à quelques centimètres de son nez.
OK.
Enregistrer un commentaire