samedi 16 mars 2013

Projet Elena 2 – phrase 152

En esa época se olía a los otros a centímetros de la nariz de uno, porque se viajaba apretado como vacas.

Traduction temporaire :
À cette époque-là, comme on voyageait serrés comme des sardines, on avait les autres à quelques centimètres de son nez.

8 commentaires:

Elena a dit…

À cette époque, on pouvait sentir les autres à quelques centimètres du nez, car on voyageait serrés comme des vaches.

Tradabordo a dit…

À cette époque [« -là » ?], on pouvait [pourquoi cet ajout ?] sentir les autres à quelques centimètres du [mal dit] nez, car on voyageait serrés comme des vaches [mal dit].

Elena a dit…

À cette époque-là, on sentait les autres à quelques centimètres de notre nez, car on voyageait serrés comme les vaches.

Tradabordo a dit…

À cette époque-là, on sentait les autres à quelques centimètres de notre nez [« on avait les autres à quelques centimètres de son nez»], car on voyageait serrés comme les vaches [non, pas « vaches »].

Elena a dit…

À cette époque-là, on avait les autres à quelques centimètres de son nez, car on voyageait serrés comme des sardines.

Bon, c'est moins argentin que les vaches, mais plus français...

Tradabordo a dit…

C'est exactement comme si, pour garder l'hispanité d'un texte, tu disais : quand les grenouilles auront des poils.

À cette époque-là, on avait les autres à quelques centimètres de son nez, car [passe par « comme » et change la syntaxe] on voyageait serrés comme des sardines.

Elena a dit…

À cette époque-là, comme on voyageait serrés comme des sardines, on avait les autres à quelques centimètres de son nez.

Eh oui, "cuando los chanchos vuelen"…

Tradabordo a dit…

À cette époque-là, comme on voyageait serrés comme des sardines, on avait les autres à quelques centimètres de son nez.


OK.