No fue su fortuna la que me ayudó a llegar hasta acá, me ayudó este mismo talento que tantos me critican. La fortuna de mi marido, que naturalmente heredé, la repartí entre mis familiares más cercanos y entre los pobres.
Traduction temporaire :
Ce n'est pas sa fortune qui m'a permis d'arriver jusqu'ici, mais ce fameux talent que tellement de gens me reprochent. Les richesses de mon mari, dont j'ai bien sûr hérité, je les ai réparties entre mes plus proches parents et les pauvres.
Ce n'est pas sa fortune qui m'a permis d'arriver jusqu'ici, mais ce fameux talent que tellement de gens me reprochent. Les richesses de mon mari, dont j'ai bien sûr hérité, je les ai réparties entre mes plus proches parents et les pauvres.
4 commentaires:
Ce n'est pas sa fortune qui m'a permis d'arriver jusqu'ici, mais ce même talent qu'on me reproche tellement. Les richesses de mon mari, dont j'ai bien sûr hérité, je les ai dilapidées entre mes plus proches parents et les pauvres.
Ce n'est pas sa fortune qui m'a permis d'arriver jusqu'ici, mais ce même [ou « fameux » ?] talent qu'on me reproche tellement [« tantos » !]. Les richesses de mon mari, dont j'ai bien sûr hérité [« é » ou « ées » ? Vérifie], je les ai dilapidées [pas exactement ce qu'elle dit] entre mes plus proches parents et les pauvres.
C'est confirmé, j'ai trouvé la règle : "les richesses que j'ai héritées de mon mari" mais "les richesses dont j'ai hérité".
Ce n'est pas sa fortune qui m'a permis d'arriver jusqu'ici, mais ce fameux talent que tellement de gens me reprochent. Les richesses de mon mari, dont j'ai bien sûr hérité, je les ai réparties entre mes plus proches parents et les pauvres.
Ce n'est pas sa fortune qui m'a permis d'arriver jusqu'ici, mais ce fameux talent que tellement de gens me reprochent. Les richesses de mon mari, dont j'ai bien sûr hérité, je les ai réparties entre mes plus proches parents et les pauvres.
OK.
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