mardi 12 mars 2013

Projet Sonita 5 – phrase 114

Al Leonardo, el Miguel lo botó de la noche a la mañana, y yo, en solidaridad, lo dejé solo, y el cabrón se apropió de todo nuestro trabajo, así que nos quedamos bailando en la loma.

Traduction temporaire :
Leonardo,  Miguel l'a viré du jour au lendemain,  et moi,  par solidarité,  je l'ai laissé tomber. Après quoi ce salaud en a profité pour s'approprier l'intégralité de notre boulot ; si bien on s'est retrouvés tous les deux Gros-Jean comme devant.

8 commentaires:

Sonita a dit…

Leonardo, Miguel l'a viré du jour au lendemain, et moi, par solidarité, je l'ai laissé seul et ce salaud s'est approprié de tout notre boulot, alors on s'est retrouvés les mains vides, tous les deux.

Tradabordo a dit…

Leonardo, Miguel l'a viré du jour au lendemain, et moi, par solidarité, je l'ai laissé seul, et ce salaud s'est approprié de tout notre boulot ; alors on s'est retrouvés les mains vides [pas plus coloré en V.O. ?], tous les deux [deux « tout / tous » dans cette phrase ; change l'un des deux].

Sonita a dit…

Pour ce qui est de l'expression "nos quedamos bailando en la loma", voici ce que nous dit le "Refranero mexicano" : "quedarse alguien como el que chifló en la loma.
Refrán que significa lo mismo y, por tanto, tiene el mismo sentido paremiológico que el dicho "quedarse como novia de rancho, vestida y alborotada". Significa, en efecto, quedarse con las esperanzas e ilusiones frustradas."
Je pense à passer par "bredouille" à défaut de choisir de passer par "perdre ses illusions", qui me semble un peu pauvre par rapport à la V.O.

Leonardo, Miguel l'a viré du jour au lendemain, et moi, par solidarité, je l'ai laissé seul, et ce salaud s'est approprié l'intégralité de notre boulot ; alors on s'est retrouvés bredouilles, tous les deux.

Tradabordo a dit…

Leonardo, Miguel l'a viré du jour au lendemain, et moi, par solidarité, je l'ai laissé seul, et ce salaud s'est approprié l'intégralité de notre boulot ; alors on s'est retrouvés bredouilles, tous les deux.

En fait, moi, ma question portait moins sur le sens que sur le relief… Or en te lisant, je me demande si on ne devrait pas utiliser : se retrouver Gros-Jean comme devant.

Sonita a dit…

Oui, je pense que tu as raison de passer par l'expression "Gros-Jean comme devant"... Je ne la connaissais pas ! Merci !

***
Leonardo, Miguel l'a viré du jour au lendemain, et moi, par solidarité, je l'ai laissé seul, et ce salaud s'est approprié l'intégralité de notre boulot ; alors on s'est retrouvés Gros-Jean comme devant, tous les deux.

Tradabordo a dit…

Leonardo, Miguel l'a viré du jour au lendemain, et moi, par solidarité, je l'ai laissé seul, et ce salaud s'est approprié l'intégralité de notre boulot ; alors on s'est retrouvés Gros-Jean comme devant, tous les deux.

Je te propose quelques petits aménagements :

Leonardo, Miguel l'a viré du jour au lendemain, et moi, par solidarité, je l'ai laissé tombé. Après quoi ce salaud en a profité pour s'approprier l'intégralité de notre boulot ; si bien on s'est retrouvés tous les deux Gros-Jean comme devant.

OK ?

Sonita a dit…

OK. Je mets seulement le verbe "tomber" à l'infinitif ;)

***
Leonardo, Miguel l'a viré du jour au lendemain, et moi, par solidarité, je l'ai laissé tomber. Après quoi ce salaud en a profité pour s'approprier l'intégralité de notre boulot ; si bien on s'est retrouvés tous les deux Gros-Jean comme devant.

Tradabordo a dit…

Leonardo, Miguel l'a viré du jour au lendemain, et moi, par solidarité, je l'ai laissé tomber. Après quoi ce salaud en a profité pour s'approprier l'intégralité de notre boulot ; si bien on s'est retrouvés tous les deux Gros-Jean comme devant.


OK.