lundi 1 septembre 2014

Projet Élodie 9 – phrases 54-60

Me levanto de la silla transpirando. Él llora en silencio, no emite ni un sonido, se agarra la cara con sus dos manitos, y eso me enoja más. Lo empujo con fuerza contra la mesa; se caen todos los lápices y dos cuadernos. Pateo la silla, una y otra vez, hasta lastimarme el pie. Al alzar la vista veo a Mariana en el rincón del living; está pálida, paralizada. Por sus mejillas caen las lágrimas a borbotones, y tiene las manos apretadas sobre el pecho, como si me rogara, lo sé, quiere que pare, y yo no puedo. La miro como diciéndole que no puedo parar, que no sé parar; la tristeza de sus ojos me parte en diez mil pedacitos.

Traduction temporaire :

Transpirante, je me lève de ma chaise. Lui, il pleure en silence, il n'émet pas le moindre son, il tient son visage dans ses deux petites mains ; ce qui me met encore plus en colère. Je le pousse violemment contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne plusieurs coups de pied dans la chaise, jusqu'à me faire mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes ruissellent le long de ses joues et ses mains sont posées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête, or moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me brise en mille morceaux.

12 commentaires:

Elodie a dit…

Je me lève de la chaise, transpirante. Lui, il pleure en silence, il n'émet même pas un son, il se tient le visage de ses deux petites mains, ce qui m'énerve davantage. Je le pousse avec force contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne un coup de pied dans la chaise à plusieurs reprises, jusqu'à ce que mon pied me fasse mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes coulent à flots sur ses joues et ses mains sont collées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête et moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me fend en mille morceaux.

Tradabordo a dit…

Je me lève de la chaise, transpirante [là, on dirait que c'est le chaise ; formule-le autrement]. Lui, il pleure en silence, il n'émet même [la restriction ne porte pas vraiment sur ça…] pas un son, il se tient le visage de [« dans » ?] ses deux petites mains, [ponctuation ? J'hésite] ce qui m'énerve davantage [naturel ?]. Je le pousse avec force [ou « violemment » ? Comme tu préfères] contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne un coup de pied dans la chaise à plusieurs reprises [dans ce cas, pas « un » ;-) Change], jusqu'à ce que mon pied [trouve une solution pour ne pas répéter « pied »] me fasse mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes coulent à flots [naturel ?] sur ses joues et ses mains sont collées [naturel ?] sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête et [« , or » ?] moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me fend en mille morceaux.

Elodie a dit…

Transpirante, je me lève de la chaise. Lui, il pleure en silence, il n'émet pas même un son, il se tient le visage dans ses deux petites mains ; ce qui me met davantage en colère. Je le pousse violemment contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne des coups de pied dans la chaise à plusieurs reprises, jusqu'à me faire mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes ruissellent le long de ses joues et ses mains sont posées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête, or moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me fend en mille morceaux.

Tradabordo a dit…

Transpirante, je me lève de la chaise. Lui, il pleure en silence, il n'émet pas même [« le moindre »] un son, il se tient le visage dans ses deux petites mains ; ce qui me met davantage [« encore plus » ?] en colère. Je le pousse violemment contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne des coups de pied dans la chaise à plusieurs reprises [alors « plusieurs coups de pied »], jusqu'à me faire mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes ruissellent le long de ses joues et ses mains sont posées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête, or moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me fend [brise] en mille morceaux.

Elodie a dit…

Transpirante, je me lève de la chaise. Lui, il pleure en silence, il n'émet pas le moindre son, il se tient le visage dans ses deux petites mains ; ce qui me met encore plus en colère. Je le pousse violemment contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne plusieurs coups de pied dans la chaise, jusqu'à me faire mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes ruissellent le long de ses joues et ses mains sont posées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête, or moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me brise en mille morceaux.

Tradabordo a dit…

Transpirante [mais au fait, c'est un narrateur ou une narratrice ?], je me lève de la chaise. Lui, il pleure en silence, il n'émet pas le moindre son, il se tient le visage dans ses deux petites mains ; ce qui me met encore plus en colère. Je le pousse violemment contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne plusieurs coups de pied dans la chaise, jusqu'à me faire mal. En levant [zut, tu l'as déjà au début] les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes ruissellent le long de ses joues et ses mains sont posées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête, or moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me brise en mille morceaux.

Elodie a dit…

Transpirante, je me redresse de ma chaise. Lui, il pleure en silence, il n'émet pas le moindre son, il se tient le visage dans ses deux petites mains ; ce qui me met encore plus en colère. Je le pousse violemment contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne plusieurs coups de pied dans la chaise, jusqu'à me faire mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes ruissellent le long de ses joues et ses mains sont posées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête, or moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me brise en mille morceaux.

Tradabordo a dit…

Transpirante [donc, c'était une narratrice ? Cf mon commentaire précédent…], je me redresse [pas naturel et je ne pense pas que ce soit exactement le même sens ; que visualise-t-on ?] de ma chaise. Lui, il pleure en silence, il n'émet pas le moindre son, il se [ou avec le possessif, plutôt ? Essaie et dis-moi] tient le visage dans ses deux petites mains ; ce qui me met encore plus en colère. Je le pousse violemment contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne plusieurs coups de pied dans la chaise, jusqu'à me faire mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes ruissellent le long de ses joues et ses mains sont posées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête, or moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me brise en mille morceaux.

Elodie a dit…

Transpirante [Oui, c'est une narratrice], je me redresse [Elle se lève de sa chaise, je ne trouve pas de solution pour éviter la répétition] de ma chaise. Lui, il pleure en silence, il n'émet pas le moindre son, il tient son visage dans ses deux petites mains ; ce qui me met encore plus en colère. Je le pousse violemment contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne plusieurs coups de pied dans la chaise, jusqu'à me faire mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes ruissellent le long de ses joues et ses mains sont posées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête, or moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me brise en mille morceaux.

Tradabordo a dit…

Transpirante, je me redresse [Elle se lève de sa chaise, je ne trouve pas de solution pour éviter la répétition // dans ce cas, OK, répète] de ma chaise. Lui, il pleure en silence, il n'émet pas le moindre son, il tient son visage dans ses deux petites mains ; ce qui me met encore plus en colère. Je le pousse violemment contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne plusieurs coups de pied dans la chaise, jusqu'à me faire mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes ruissellent le long de ses joues et ses mains sont posées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête, or moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me brise en mille morceaux.

Elodie a dit…

Transpirante, je me lève de ma chaise. Lui, il pleure en silence, il n'émet pas le moindre son, il tient son visage dans ses deux petites mains ; ce qui me met encore plus en colère. Je le pousse violemment contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne plusieurs coups de pied dans la chaise, jusqu'à me faire mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes ruissellent le long de ses joues et ses mains sont posées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête, or moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me brise en mille morceaux.

Tradabordo a dit…

Transpirante, je me lève de ma chaise. Lui, il pleure en silence, il n'émet pas le moindre son, il tient son visage dans ses deux petites mains ; ce qui me met encore plus en colère. Je le pousse violemment contre la table, tous les crayons et deux cahiers tombent. Je donne plusieurs coups de pied dans la chaise, jusqu'à me faire mal. En levant les yeux, je vois Mariana dans le coin du salon ; elle est pâle, paralysée. Des larmes ruissellent le long de ses joues et ses mains sont posées sur sa poitrine, comme si elle priait ; je le sais, elle veut que j'arrête, or moi, je ne peux pas. Je la regarde comme si je lui disais que je ne peux pas m'arrêter, que je ne sais pas m'arrêter ; la tristesse de ses yeux me brise en mille morceaux.

OK.