mardi 30 septembre 2014

Projet Joachim 3 – phrase 88

La japonesa me tomó los datos,  me agradeció y me fui con el subnormal que me esperó para que bajáramos juntos en el ascensor; y se me puso a hablar. Estuve a punto de romperle la cabeza.

Traduction temporaire :
La Japonaise prit mes données, me remercia et je partis avec l'autre débile mental, qui m'attendit pour que nous descendions ensemble par l'ascenseur ; et il se mit à me parler. Je fus à deux doigts de lui casser la gueule.

6 commentaires:

Joachim a dit…

La japonesa me tomó los datos, me agradeció y me fui con el subnormal que me esperó para que bajáramos juntos en el ascensor; y se me puso a hablar. Estuve a punto de romperle la cabeza.

La Japonaise prit mes données personnelles, me remercia et je partis avec le type qui m'attendit pour descendre ensemble avec l'ascenseur ; et il se mit à me parler. Je fus sur le point de lui cassez la gueule.

Tradabordo a dit…

La Japonaise prit mes données personnelles [nécessaire ?], me remercia et je partis avec le type [FS] [virgule] qui m'attendit pour descendre [avec « pour que »] ensemble avec [« par » ? Comme vous voulez] l'ascenseur ; et il se mit à me parler. Je fus sur le point de lui cassez [grammaire !] la gueule.

Joachim a dit…

La Japonaise prit mes données, me remercia et je partis avec l'anormal, qui m'attendit pour que nous descendions ensemble par l'ascenseur ; et il se mit à me parler. Je fus sur le point de lui casser la gueule.

Tradabordo a dit…

La Japonaise prit mes données, me remercia et je partis avec l'anormal [« l'autre débile mental »], qui m'attendit pour que nous descendions ensemble par l'ascenseur ; et il se mit à me parler. Je fus sur le point de lui [« à deux doigts » ?] casser la gueule.

Joachim a dit…

La Japonaise prit mes données, me remercia et je partis avec l'autre débile mental, qui m'attendit pour que nous descendions ensemble par l'ascenseur ; et il se mit à me parler. Je fus à deux doigts de lui casser la gueule.

Tradabordo a dit…

La Japonaise prit mes données, me remercia et je partis avec l'autre débile mental, qui m'attendit pour que nous descendions ensemble par l'ascenseur ; et il se mit à me parler. Je fus à deux doigts de lui casser la gueule.

OK.