-Debo confesarte algo, padre; tanto mi hermano como yo hemos tenido tu amor y tu odio.
-No te comprendo… Nunca le he demostrado la más mínima muestra de cariño.
Traduction temporaire :
— Je dois t'avouer quelque chose, père ; nous avons eu, mon frère comme moi, autant ton amour que ta haine.
— Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.
— Je dois t'avouer quelque chose, père ; nous avons eu, mon frère comme moi, autant ton amour que ta haine.
— Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.
12 commentaires:
-Debo confesarte algo, padre; tanto mi hermano como yo hemos tenido tu amor y tu odio.
-No te comprendo… Nunca le he demostrado la más mínima muestra de cariño.
-Je dois te confier quelque chose, père; autant mon frère que moi avons eu ton amour et ta haine.
-Je ne te comprends pas... Je ne lui ai jamais montré la moindre preuve d'affection.
Je vous sollicite au cas où vous m'auriez oublié...
J'étais justement en train de me dire qu'il fallait que je m'occupe de votre texte ;-)
Me voici – bien occupée en ce moment, malheureusement :
Commencez par rétablir les bons tirets d'ouverture du dialogue – les plus longs, puis les espaces.
-Debo confesarte algo, padre; tanto mi hermano como yo hemos tenido tu amor y tu odio.
-No te comprendo… Nunca le he demostrado la más mínima muestra de cariño.
-Je dois te confier quelque chose, père ; autant mon frère que moi avons eu ton amour et ta haine.
-Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais montré la moindre preuve d'affection.
Espace après les tirets d'ouverture du dialogue.
-Debo confesarte algo, padre; tanto mi hermano como yo hemos tenido tu amor y tu odio.
-No te comprendo… Nunca le he demostrado la más mínima muestra de cariño.
- Je dois te confier quelque chose, père ; autant mon frère que moi avons eu ton amour et ta haine.
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais montré la moindre preuve d'affection.
- Je dois te confier [FS] quelque chose, père ; [commencez la phrase par « nous avons… »] autant mon frère que moi avons eu ton amour et ta haine.
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais montré [« manifesté »] la moindre preuve d'affection.
- Je dois te confesser quelque chose, père ; nous avons eu autant mon frère que moi ton amour et ta haine.
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.
- Je dois te confesser [un synonyme…] quelque chose, père ; nous avons eu autant mon frère que moi ton amour et ta haine [je vous propose : nous avons eu, mon frère que moi, autant ton amour que ta haine].
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.
- Je dois t'avouer quelque chose, père ; nous avons eu, mon frère comme moi, autant ton amour que ta haine].
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.
1) ça me sonne bizarre, surtout à l'écrit, "mon frère que moi" sachant qu'en plus il y a la répétition de "que" juste après avec "autant ton amour que ta haine". Mais, je ne sais pas, dîtes-moi, c'est sûrement moi qui me trompe.
- Je dois t'avouer quelque chose, père ; nous avons eu, mon frère comme moi, autant ton amour que ta haine.
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.
Tout est très bien ;-)
[attention : pas d'accent circonflexe à « dites-moi » – cf votre commentaire précédent]
- Je dois t'avouer quelque chose, père ; nous avons eu, mon frère comme moi, autant ton amour que ta haine.
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.
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