vendredi 7 décembre 2012

Projet Joachim – phrases 24-25

-Debo confesarte algo,  padre; tanto mi hermano como yo hemos tenido tu amor y tu odio.
-No te comprendo… Nunca le he demostrado la más mínima muestra de cariño.

Traduction temporaire :
— Je dois t'avouer quelque chose, père ; nous avons eu, mon frère comme moi, autant ton amour que ta haine.
— Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.

12 commentaires:

Joachim a dit…

-Debo confesarte algo, padre; tanto mi hermano como yo hemos tenido tu amor y tu odio.
-No te comprendo… Nunca le he demostrado la más mínima muestra de cariño.

-Je dois te confier quelque chose, père; autant mon frère que moi avons eu ton amour et ta haine.
-Je ne te comprends pas... Je ne lui ai jamais montré la moindre preuve d'affection.

Joachim a dit…

Je vous sollicite au cas où vous m'auriez oublié...

Tradabordo a dit…

J'étais justement en train de me dire qu'il fallait que je m'occupe de votre texte ;-)

Me voici – bien occupée en ce moment, malheureusement :

Commencez par rétablir les bons tirets d'ouverture du dialogue – les plus longs, puis les espaces.

Joachim a dit…

-Debo confesarte algo, padre; tanto mi hermano como yo hemos tenido tu amor y tu odio.
-No te comprendo… Nunca le he demostrado la más mínima muestra de cariño.

-Je dois te confier quelque chose, père ; autant mon frère que moi avons eu ton amour et ta haine.
-Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais montré la moindre preuve d'affection.

Tradabordo a dit…

Espace après les tirets d'ouverture du dialogue.

Joachim a dit…

-Debo confesarte algo, padre; tanto mi hermano como yo hemos tenido tu amor y tu odio.
-No te comprendo… Nunca le he demostrado la más mínima muestra de cariño.

- Je dois te confier quelque chose, père ; autant mon frère que moi avons eu ton amour et ta haine.
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais montré la moindre preuve d'affection.

Tradabordo a dit…

- Je dois te confier [FS] quelque chose, père ; [commencez la phrase par « nous avons… »] autant mon frère que moi avons eu ton amour et ta haine.
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais montré [« manifesté »] la moindre preuve d'affection.

Joachim a dit…

- Je dois te confesser quelque chose, père ; nous avons eu autant mon frère que moi ton amour et ta haine.
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.

Tradabordo a dit…

- Je dois te confesser [un synonyme…] quelque chose, père ; nous avons eu autant mon frère que moi ton amour et ta haine [je vous propose : nous avons eu, mon frère que moi, autant ton amour que ta haine].
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.

Joachim a dit…

- Je dois t'avouer quelque chose, père ; nous avons eu, mon frère comme moi, autant ton amour que ta haine].
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.

1) ça me sonne bizarre, surtout à l'écrit, "mon frère que moi" sachant qu'en plus il y a la répétition de "que" juste après avec "autant ton amour que ta haine". Mais, je ne sais pas, dîtes-moi, c'est sûrement moi qui me trompe.

Tradabordo a dit…

- Je dois t'avouer quelque chose, père ; nous avons eu, mon frère comme moi, autant ton amour que ta haine.
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.

Tout est très bien ;-)

[attention : pas d'accent circonflexe à « dites-moi » – cf votre commentaire précédent]

Tradabordo a dit…

- Je dois t'avouer quelque chose, père ; nous avons eu, mon frère comme moi, autant ton amour que ta haine.
- Je ne te comprends pas… Je ne lui ai jamais manifesté la moindre preuve d'affection.