samedi 9 février 2013

Projet Sonita 5 – phrase 65

El caso fue que, como el Antonio me había hecho el berrinchito ese, que le tomo la palabra al Miguel Ángel para lo de la modelada. Me llevó a una casa muy elegante de un diseñador francés en San Diego, medio putón el ruco.

Traduction temporaire :
Donc, comme Antonio avait piqué sa petite crise, j’ai pris Miguel Ángel au mot à propos du mannequinat. Il m’a emmenée à San Diego, dans la maison très élégante d’un couturier français, un vieux papi un peu pédé.

4 commentaires:

Sonita a dit…

Donc, comme Antonio avait piqué sa petite crise, j’ai pris Miguel Ángel au mot concernant le mannequinat. Il m’a emmenée, à San Diego, dans la maison très élégante d’un couturier français, un peu pédé, le vieux.

Tradabordo a dit…

Donc, comme Antonio avait piqué sa petite crise, j’ai pris Miguel Ángel au mot concernant [mal dit] le mannequinat. Il m’a emmenée, [sans la virgule] à San Diego, dans la maison très élégante d’un couturier français, un peu pédé, le vieux [la construction ne va pas].

Sonita a dit…

Donc, comme Antonio avait piqué sa petite crise, j’ai pris Miguel Ángel au mot à propos du mannequinat. Il m’a emmenée à San Diego, dans la maison très élégante d’un couturier français, un vieux papi, un peu pédé.

Tradabordo a dit…

Donc, comme Antonio avait piqué sa petite crise, j’ai pris Miguel Ángel au mot à propos du mannequinat. Il m’a emmenée à San Diego, dans la maison très élégante d’un couturier français, un vieux papi un peu pédé.

OK.