samedi 1 novembre 2014

Projet Émeline / Justine 3 – phrases 21-22

Gonzalo cogió su libro y se fue a tomar un café. Gonzalo fue llamado a la barra por el encargado del bar, que aquella noche se puso su casposa sonrisa de cerrar, la de maldecir porque los euros de la caja no llegaban nunca a las cuatro cifras, para que le pagara de una vez todos los cafés que le había servido durante la tarde.

Traduction temporaire :
Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire mauvais, celui qu'il a quand il ferme, et derrière lequel il rage parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres. Armé de ce sourire, il l'a sommé de payer comptant l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

24 commentaires:

Justine a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a reçu un appel du patron du bar, le convoquant au comptoir, là, le gérant a affiché son sourire pelliculeux – celui de la fermeture – celui derrière lequel il médit parce que la somme en euros de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, pour qu'il lui paye en une fois l'ensemble des cafés qu'il a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a reçu un appel du patron [j'hésite…] du bar, le convoquant [pas trop fort ?] au comptoir, [point-virgule ?] là, le gérant a affiché son sourire pelliculeux [pas très clair pour un lecteur francophone] – celui de la fermeture – [tu changes trop]

celui derrière lequel il médit parce que la somme en euros de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, pour qu'il lui paye en une fois l'ensemble des cafés qu'il a servi toute la soirée.

Justine a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a reçu un appel du patron du bar, l'invitant à se présenter au comptoir ; là, le gérant a affiché son mince sourire – celui qu'il a quand il ferme – celui derrière lequel il médit parce que la somme en euros de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, pour qu'il lui paye en une fois l'ensemble des cafés qu'il a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a reçu un appel du patron du bar, l'invitant à se présenter au comptoir ; là, le gérant [non… c'est artificiel… Ne mets rien, comme en V.O.] a affiché son mince sourire – celui qu'il a quand il ferme – celui derrière lequel il médit parce que la somme en euros de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, pour qu'il lui paye en une fois l'ensemble des cafés qu'il a servi toute la soirée.

Justine a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a reçu un appel du patron du bar, l'invitant à se présenter au comptoir ; là, il a affiché son mince sourire – celui qu'il a quand il ferme – celui derrière lequel il médit parce que la somme en euros de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, pour qu'il lui paye en une fois l'ensemble des cafés qu'il a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a reçu un appel du patron du bar, l'invitant à se présenter au comptoir ; là, il [« l'homme », sinon, effectivement, on a l'impression que c'est Gonzalo] a affiché son mince [tu as trouvé ?] sourire – celui qu'il a quand il ferme – celui derrière lequel il médit parce que la somme en euros de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, pour qu'il lui paye en une fois l'ensemble des cafés qu'il a servi toute la soirée [toute la fin demande à être sérieusement retravaillée].

Justine a dit…

Pour « mince sourire », j'ai regardé la définition de « pelliculeux » en français, et j'ai trouvé un sens au figuré qui signifie « faible épaisseur ».

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a reçu un appel du patron du bar, l'invitant à se présenter au comptoir ; là, l'homme a affiché son mince sourire – celui qu'il a quand il ferme – celui derrière lequel il peste contre la somme d'argent dans sa caisse dont le montant ne s'élève jamais à un nombre à quatre chiffres, armé de ce sourire, il le somme de payer en une fois l'ensemble des cafés qu'il a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

Même sens pour l'espagnol ?

Unknown a dit…

Pour "casposo", j'ai trouvé des emplois comme synonyme de "cutre" ou de "rancio". Sur es.wiktionary.org, ce terme est défini comme propre à un goût ou style d'une autre époque, ou de goût vulgaire. L'adjectif a aussi servi à qualifier Torrente, personnage du film éponyme. Le sens serait donc "grossier", "mufle".

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a reçu un appel du patron du bar, l'invitant à se présenter au comptoir ; là, l'homme a affiché son sourire de mufle – celui qu'il a quand il ferme – celui derrière lequel il peste parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, armé de ce sourire, il le somme de payer en une fois l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Justine a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a reçu un appel du patron du bar, l'invitant à se présenter au comptoir ; là, l'homme a affiché son sourire de mufle – celui qu'il a quand il ferme – celui derrière lequel il peste parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, armé de ce sourire, il l'a sommé de payer en une fois l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a reçu un appel [au fait, un doute : cette fois, c'est un appel ? Mais il n'est pas déjà sur place ?] du patron du bar, l'invitant à se présenter au comptoir ; là, l'homme a affiché son sourire de mufle – celui qu'il a quand il ferme – celui derrière lequel il peste parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, armé de ce sourire, il l'a sommé de payer en une fois l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Justine a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire de mufle – celui qu'il a quand il ferme – celui derrière lequel il peste parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, armé de ce sourire, il l'a sommé de payer en une fois l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire de mufle [OK… pour le sens, mais adapté ici ?] – celui qu'il a quand il ferme – celui derrière lequel il peste parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, armé de ce sourire, il l'a sommé de payer en une fois l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Justine a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire mauvais – celui qu'il a quand il ferme – celui derrière lequel il peste parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, armé de ce sourire, il l'a sommé de payer en une fois l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire mauvais [« de sale type » ?] – celui qu'il a quand il ferme – celui [embêtant, cette construction… On ne comprend pas la mise entre tirets, etc.] derrière lequel il peste parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, armé de ce sourire, il l'a sommé de payer en une fois l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

« de sale type » ou « mauvais »…………

Unknown a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire de sale type, celui qu'il a quand il ferme, et derrière lequel il peste parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, armé de ce sourire, il l'a sommé de payer en une fois l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire de sale type, celui qu'il a quand il ferme, et derrière lequel il peste [un peu inadapté par rapport au registre] parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres, [changez la ponctuation] armé de ce sourire, il l'a sommé de payer en une fois [bof] l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Justine a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire de sale type, celui qu'il a quand il ferme, et derrière lequel il rage parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres. Armé de ce sourire, il l'a sommé de payer comptant l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire de sale type [franchement, je trouve que « sourire mauvais » n'est pas si mal…], celui qu'il a quand il ferme, et derrière lequel il rage parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres. Armé de ce sourire, il l'a sommé de payer comptant l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Justine a dit…

Je trouvais aussi, mais du coup, j'ai eu un doute, merci de m'avoir rassurée ;-)

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire mauvais, celui qu'il a quand il ferme, et derrière lequel il rage parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres. Armé de ce sourire, il l'a sommé de payer comptant l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

Émeline ?

Unknown a dit…

Il me semblait que "sale type" renvoyait bien à la nuance de "casposa", du moins, telle que je l'ai comprise. Mais "sourire mauvais" n'est pas mal non plus, et rend probablement un peu mieux en français.

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire mauvais, celui qu'il a quand il ferme, et derrière lequel il rage parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres. Armé de ce sourire, il l'a sommé de payer comptant l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

Tradabordo a dit…

Gonzalo a pris son livre et est allé boire un café. Gonzalo a été appelé au comptoir par le patron du bar ; là, l'homme a affiché son sourire mauvais, celui qu'il a quand il ferme, et derrière lequel il rage parce que le montant de sa caisse n'atteint jamais les quatre chiffres. Armé de ce sourire, il l'a sommé de payer comptant l'ensemble des cafés qu'il lui a servi toute la soirée.

OK pour cette version ; quitte à y revenir pendant les relectures.