mercredi 14 septembre 2016

Projet Danny – phrase 51

Y me estoy viendo llegar a mi casa en La Coruña, con mi libro mojado, mi rotoso maletín y la firma de Alfredo, agotada, agotadísima, como si hubiera corrido una maratón de varios siglos, como si hubiera tenido que atravesar millones de espejos en pocos minutos, como si hubiera caminado en círculo y bajo la lluvia durante toda mi vida.

Traduction temporaire :
Je me revois rentrer chez moi, à la Corogne, avec mon livre mouillé, ma sacoche abîmée et l'autographe d'Alfredo ; épuisée, littéralement épuisée, comme si j'avais couru un marathon de plusieurs siècles, comme si j'avais dû traverser des millions de miroirs en quelques minutes et comme si j'avais tourné en rond sous la pluie toute ma vie.

7 commentaires:

Unknown a dit…

Je me revois rentrer chez moi, à la Corogne, avec mon livre mouillé, ma sacoche abîmée et l'autographe d'Alfredo ; épuisée, vraiment crevée, comme si j'avais couru un marathon de plusieurs siècles, comme si j'avais dû traverser des millions de miroirs en peu de temps et comme si j'avais tourné en rond sous la pluie toute ma vie durant.

Tradabordo a dit…

Je me revois rentrer chez moi, à la Corogne, avec mon livre mouillé, ma sacoche abîmée et l'autographe d'Alfredo ; épuisée, vraiment crevée [registre ? + il faut répéter, comme en V.O.], comme si j'avais couru un marathon de plusieurs siècles, comme si j'avais dû traverser des millions de miroirs en peu de temps [texte] et comme si j'avais tourné en rond sous la pluie toute ma vie durant [nécessaire ?].

Unknown a dit…

Je me revois rentrer chez moi, à la Corogne, avec mon livre mouillé, ma sacoche abîmée et l'autographe d'Alfredo ; épuisée, vraiment épuisée, comme si j'avais couru un marathon de plusieurs siècles, comme si j'avais dû traverser des millions de miroirs en quelques minutes et comme si j'avais tourné en rond sous la pluie toute ma vie.

Tradabordo a dit…

Je me revois rentrer chez moi, à la Corogne, avec mon livre mouillé, ma sacoche abîmée et l'autographe d'Alfredo ; épuisée, vraiment [« littéralement » ?] épuisée, comme si j'avais couru un marathon de plusieurs siècles, comme si j'avais dû traverser des millions de miroirs en quelques minutes et comme si j'avais tourné en rond sous la pluie toute ma vie.

Unknown a dit…

Je me revois rentrer chez moi, à la Corogne, avec mon livre mouillé, ma sacoche abîmée et l'autographe d'Alfredo ; épuisée, littéralement épuisée, comme si j'avais couru un marathon de plusieurs siècles, comme si j'avais dû traverser des millions de miroirs en quelques minutes et comme si j'avais tourné en rond sous la pluie toute ma vie.

Tradabordo a dit…

Je me revois rentrer chez moi, à la Corogne, avec mon livre mouillé, ma sacoche abîmée et l'autographe d'Alfredo ; épuisée, littéralement épuisée, comme si j'avais couru un marathon de plusieurs siècles, comme si j'avais dû traverser des millions de miroirs en quelques minutes et comme si j'avais tourné en rond sous la pluie toute ma vie.

OK.

Tradabordo a dit…

Voilà, la traduction est terminée. Maintenant :
- Tu vas dans « Travaux en cours » pour chercher l'ensemble.
- Tu la mets dans un doc.
- Tu relis pour comparer avec la V.O. et t'assurer qu'il ne manque pas une phrase, ou deux, que des CS ne se sont pas glissés dans l'affaire et tu remets la mise en page de départ.
- Entre crochets et en couleur, tu me dis les éventuelles modifications que tu souhaites apporter. Il est évident que quand on a une vue globale / finale de sa traduction, on peut vouloir harmoniser et changer des choses. Mais attention de ne pas pour autant tout remettre en question.
- Quand cela est fait, tu m'envoies le tout par mail.
- Tu me dis si tu veux enchaîner avec autre chose.