samedi 24 septembre 2016

Projet Rachel / Sébastien – phrases 51-61

―¿Sabes? Eres uno de los pocos humanos que conozco al que le da igual que sus androides anden sueltos por casa de noche ―mi programación empática me induce a buscar el bienestar de Danny. Quiero darle conversación. Aunque también lo hago porque, de algún modo, me agradaba―. La mayoría de ellos sienten un temor primitivo hacia nosotros. Se mueren de miedo solo con pensar que puedan entrar en su cocina de noche y encontrarnos aquí sentados, a oscuras y en silencio.
―Sí, es cierto. Los humanos a veces somos un poco absurdos. Conozco gente que incluso os desconecta por la noche. Totalmente. Les da igual la seguridad de la vivienda. Prefieren arriesgarse a que entre un malnacido en la casa, a tener un androide merodeando por su salón. Es incomprensible.

Traduction temporaire :
― Tu sais quoi ? Tu es l'un des rares humains de ma connaissance qui se moque que ses androïdes évoluent librement dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui parler et je le fais aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait. La plupart ressent une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée qu'on puisse entrer dans leur cuisine la nuit et nous trouver là, assis, silencieux dans le noir.
― Oui, c'est vrai. Nous autres, les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit.  Totalement. Ils se moquent de la sécurité de leur maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un misérable s'introduise à l'intérieur plutôt que  d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. Incompréhensible.

32 commentaires:

Rachel a dit…

―¿Sabes? Eres uno de los pocos humanos que conozco al que le da igual que sus androides anden sueltos por casa de noche ―mi programación empática me induce a buscar el bienestar de Danny. Quiero darle conversación. Aunque también lo hago porque, de algún modo, me agradaba―. La mayoría de ellos sienten un temor primitivo hacia nosotros. Se mueren de miedo solo con pensar que puedan entrar en su cocina de noche y encontrarnos aquí sentados, a oscuras y en silencio.
―Sí, es cierto. Los humanos a veces somos un poco absurdos. Conozco gente que incluso os desconecta por la noche. Totalmente. Les da igual la seguridad de la vivienda. Prefieren arriesgarse a que entre un malnacido en la casa, a tener un androide merodeando por su salón. Es incomprensible.

― Tu sais quoi? Tu es un l'un des rares humains que je connaisse qui se fiche royalement que ses androïdes évoluent en totale liberté dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui faire la conversation bien que je la lui fasse aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait [bizarre cet imparfait non?]. ― La plupart d'entre eux ressentent une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée de pouvoir nous trouver là, assis dans le noir et silencieux, en entrant dans leur cuisine.
― Oui, c'est bien vrai. Nous les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de la maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un individu pénètre à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. C'est incompréhensible.

Tradabordo a dit…

Espace avant le point d'interrogation + pas de commentaires de traduction / la trad brute et nue ;-)

Rachel a dit…

― Tu sais quoi ? Tu es un l'un des rares humains que je connaisse qui se fiche royalement que ses androïdes évoluent en totale liberté dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui faire la conversation bien que je la lui fasse aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait. ― La plupart d'entre eux ressentent une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée de pouvoir nous trouver là, assis dans le noir et silencieux, en entrant dans leur cuisine.
― Oui, c'est bien vrai. Nous les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de la maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un individu pénètre à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. C'est incompréhensible.

Sébastien a dit…

―Tu sais ? Tu es un des rares humains que je connaisse, qui lui est égal que ses androïdes déambulent la nuit dans la maison - ma programmation empathique me pousse à chercher le bien-être de Danny. Je veux parler avec lui. Même si je le fais aussi, puisque,d'une certaine manière, cela me plaisait. La plupart d'entre eux éprouvent une crainte primitive à notre égard. Ils sont apeurés à la simple idée qu'on puisse entrer dans leurs cuisines la nuit et nous trouver ici assis, silencieux dans le noir.
― Oui, c'est vrai. Parfois, nous, les humains, sommes un peu insensés. Je connais même des gens vous déconnecte la nuit. Entièrement. La sécurité de leur logement leur est égal. Ils préfèrent s'exposer au risque de voir entrer un misérable chez eux plutôt que d'avoir un androïde qui rôde dans leur salon. C'est incompréhensible.

Tradabordo a dit…

Comme d'habitude, je prends la première proposition publiée.

― Tu sais quoi ? Tu es un l'un des rares humains que je connaisse [« de ma connaissance » ? Ça évite « que » + « qui » après…, mais je vous laisse réfléchir et trancher] qui se fiche royalement [c'est bien, mais pas un peu surtraduit par rapport à la V.O. ? Il ne faut pas non plus changer le « style » / j'hésite… Si vous laissez, ça me va…] que ses androïdes évoluent en totale liberté [ou juste « librement » ? D'autant que je vois qu'ensuite, vous avez mis un « totalement »] dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui faire la conversation bien que je la lui fasse [allégez] aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait. ― [pour qu'on s'y retrouve, je pense qu'on devrait mettre des guillemets «» / il faudra y penser pour qu'on vous relirez… et les ajouter dans ce qui précède] La plupart d'entre eux ressentent une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée de pouvoir nous trouver là, assis dans le noir et silencieux, en entrant dans leur cuisine [pas géniale, la syntaxe].
― Oui, c'est bien vrai. Nous [cheville : « autres, » ? Comme vous voulez] les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de la maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un individu pénètre [« s'introduise » ? Comme vous préférez] à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. C'est [nécessaire ?] incompréhensible.

Rachel a dit…

"Tu sais quoi ? Tu es un l'un des rares humains de ma connaissance qui se moque que ses androïdes évoluent librement dans leur maison." Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui faire la conversation bien que je lui parle aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait. "La plupart d'entre eux éprouvent une terreur primitive à notre égard. Ils meurent de peur à la seule idée qu'en entrant dans leur cuisine, ils puissent nous trouver là, assis dans le noir, silencieux.
― Oui, c'est bien vrai. Nous autres les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. La sécurité de leur maison leur importe peu. Ils préfèrent prendre le risque qu'un individu s'introduise chez eux plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. C'est incompréhensible."

Sébastien a dit…

―¿Sabes? Eres uno de los pocos humanos que conozco al que le da igual que sus androides anden sueltos por casa de noche ―mi programación empática me induce a buscar el bienestar de Danny. Quiero darle conversación. Aunque también lo hago porque, de algún modo, me agradaba―. La mayoría de ellos sienten un temor primitivo hacia nosotros. Se mueren de miedo solo con pensar que puedan entrar en su cocina de noche y encontrarnos aquí sentados, a oscuras y en silencio.
―Sí, es cierto. Los humanos a veces somos un poco absurdos. Conozco gente que incluso os desconecta por la noche. Totalmente. Les da igual la seguridad de la vivienda. Prefieren arriesgarse a que entre un malnacido en la casa, a tener un androide merodeando por su salón. Es incomprensible.

― Tu sais quoi ? Tu es un l'un des rares humains de ma connaissance qui lui est égal que ses androïdes évoluent librement dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui faire la conversation même si je le la fais aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait " ― La plupart d'entre eux ressentent une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée qu'on puisse entrer dans leur cuisine la nuit et nous trouver ici assis, silencieux dans le noir.
― Oui, c'est bien vrai. Nous autres les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de la maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un individu s'introduise à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. Incompréhensible.

faire la conversation: ne serait-il pas judicieux d'économiser le "faire" et proposer "je veux lui parler"?

Sébastien a dit…

Chère Rachel, collègue traductrice virtuelle,

je me permets de t'écrire pour te proposer une stratégie de travail. Je te propose qu'à chaque nouveau passage à traduire, on alterne les rôles, pour profiter davantage des conseils et corrections de Madame LEPAGE. En effet, je salue ta rapidité et ton travail, c'est bien. Malgré mes connexions quotidiennes, j'arrive presque toujours à la fin d'un passage traduit. Certain de ta compréhension, je te souhaite un bon dimanche.

Cordialement.

Sébastien

Rachel a dit…

Cher Sébastien, je te laisse terminer celui-ci (j'ai utilisé ma traduction plus des éléments de ta précédente version que je trouvais meilleurs) et te laisse prendre en charge le prochain p

Rachel a dit…

Cher Sébastien,
je te laisse finir ce passage-ci (ma dernière proposition est un mélange de ma traduction et d'éléments de ta version précédente que je trouvais meilleurs) et prendre en charge le prochain. Je donnerai mon avis quand vous me solliciterez.

Désolée si vous recevez deux fois le message, mon ordi fait des siennes et je ne sais pas ce qu'il a envoyé de son propre chef... Ah la la ces robots!

Bonne journée.

Tradabordo a dit…

Parfait si vous vous mettez d'accord. Du coup, là, postez-moi la version que je vous voulez que je lise. Faites ça systématiquement quand il y a des échanges intermédiaires, etc. – comme ça, je n'ai pas à remonter dans les commentaires et fouiller pour voir ce qui était à considérer.

Rachel, voulez-vous que je vous intègre à un autre binôme pour pouvoir travailler davantage ? Dans la mesure où, contre toute attente, relativement peu nombreux ont été les étudiants du groupe à s'inscrire, j'ai un peu de latitude… Vous me direz.

Rachel a dit…

Je laisse Sébastien poster la dernière version de son choix. Quant à moi je travaillerais volontiers davantage, on y prend goût! Vous me direz ce qui est le mieux.
Bonne journée.

Tradabordo a dit…

Oui, la trad est une espèce de drogue – alors à vos risques et périls.
Je vous envoie par mail un texte court que vous ferez seule. Je vous mets d'ores et déjà le début en ligne. Comme ça, vous avancez à votre rythme :-)

Sébastien a dit…

¿Sabes? Eres uno de los pocos humanos que conozco al que le da igual que sus androides anden sueltos por casa de noche ―mi programación empática me induce a buscar el bienestar de Danny. Quiero darle conversación. Aunque también lo hago porque, de algún modo, me agradaba―. La mayoría de ellos sienten un temor primitivo hacia nosotros. Se mueren de miedo solo con pensar que puedan entrar en su cocina de noche y encontrarnos aquí sentados, a oscuras y en silencio.
―Sí, es cierto. Los humanos a veces somos un poco absurdos. Conozco gente que incluso os desconecta por la noche. Totalmente. Les da igual la seguridad de la vivienda. Prefieren arriesgarse a que entre un malnacido en la casa, a tener un androide merodeando por su salón. Es incomprensible.

― "Tu sais quoi ? Tu es un l'un des rares humains de ma connaissance qui se moque que ses androïdes évoluent librement dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui faire la conversation même si je le la fais aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait " ― La plupart d'entre eux ressentent une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée qu'on puisse entrer dans leur cuisine la nuit et nous trouver ici assis, silencieux dans le noir.
― Oui, c'est bien vrai. Nous autres les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de la maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un individu s'introduise à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. Incompréhensible.

faire la conversation: ne serait-il pas judicieux d'économiser le "faire" et proposer "je veux lui parler"?

Sébastien a dit…

Je te remercie Rachel !

Tradabordo a dit…

Sébastien,

Si vous prenez la fin en charge, n'oubliez pas les consignes déjà données. Faites un copier-coller de la dernière version du fragment en date… pour éviter de remettre des coquilles et pbs de typo déjà réglés – ce que vous avez fait ici.

Sébastien a dit…

― "Tu sais quoi ? Tu es un l'un des rares humains de ma connaissance qui se moque que ses androïdes évoluent librement dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui faire la conversation même si je le la fais aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait " ― La plupart d'entre eux ressentent une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée qu'on puisse entrer dans leur cuisine la nuit et nous trouver ici assis, silencieux dans le noir.
― Oui, c'est bien vrai. Nous autres les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de la maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un individu s'introduise à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. Incompréhensible.

Questions:
faire la conversation: ne serait-il pas judicieux d'économiser le "faire" et proposer "je veux lui parler"?
Je ne vois pas de quels problèmes typographiques, je viens de faire un copier-coller en amendant les éléments mis en relief entre crochets.

Tradabordo a dit…

La bonne version est celle-ci (si vous cumulez — + les guillemets, c'est redondant)

― Tu sais quoi ? Tu es un l'un des rares humains de ma connaissance qui lui est égal que ses androïdes évoluent librement dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui faire la conversation même si je le la fais aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait " ― La plupart d'entre eux ressentent une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée qu'on puisse entrer dans leur cuisine la nuit et nous trouver ici assis, silencieux dans le noir.
― Oui, c'est bien vrai. Nous autres les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de la maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un individu s'introduise à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. Incompréhensible.

Sébastien a dit…

― Tu sais quoi ? Tu es un l'un des rares humains de ma connaissance qui lui est égal que ses androïdes évoluent librement dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui parler même si je le fais aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait " ― La plupart d'entre eux ressentent une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée qu'on puisse entrer dans leur cuisine la nuit et nous trouver ici assis, silencieux dans le noir.
― Oui, c'est bien vrai. Nous autres les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de la maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un individu s'introduise à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. Incompréhensible.

Tradabordo a dit…

―¿Sabes? Eres uno de los pocos humanos que conozco al que le da igual que sus androides anden sueltos por casa de noche ―mi programación empática me induce a buscar el bienestar de Danny. Quiero darle conversación. Aunque también lo hago porque, de algún modo, me agradaba―. La mayoría de ellos sienten un temor primitivo hacia nosotros. Se mueren de miedo solo con pensar que puedan entrar en su cocina de noche y encontrarnos aquí sentados, a oscuras y en silencio.

― Tu sais quoi ? Tu es un l'un des rares humains de ma connaissance qui lui est [incorrect] égal que ses androïdes évoluent librement dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui parler [texte ?] [virgule] même si je le fais aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait " [ce guillemets ?] ― La plupart d'entre eux [nécessaire ?] ressentent [singulier] une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée qu'on puisse entrer dans leur cuisine la nuit et nous trouver ici [« là »] [virgule] assis, silencieux dans le noir.

Faisons déjà cela.

― Oui, c'est bien vrai. Nous autres les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de la maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un individu s'introduise à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. Incompréhensible.

Sébastien a dit…

―¿Sabes? Eres uno de los pocos humanos que conozco al que le da igual que sus androides anden sueltos por casa de noche ―mi programación empática me induce a buscar el bienestar de Danny. Quiero darle conversación. Aunque también lo hago porque, de algún modo, me agradaba―. La mayoría de ellos sienten un temor primitivo hacia nosotros. Se mueren de miedo solo con pensar que puedan entrar en su cocina de noche y encontrarnos aquí sentados, a oscuras y en silencio.

― Tu sais quoi ? Tu es l'un des rares humains de ma connaissance qui se moque que ses androïdes évoluent librement dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui faire la conversation même si je la fais aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait―. La plupart ressente une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée qu'on puisse entrer dans leur cuisine la nuit et nous trouver là, assis, silencieux dans le noir.

Je veux lui parler= je veux lui faire la conversation (pour économiser un "faire")?

Tradabordo a dit…

―¿Sabes? Eres uno de los pocos humanos que conozco al que le da igual que sus androides anden sueltos por casa de noche ―mi programación empática me induce a buscar el bienestar de Danny. Quiero darle conversación. Aunque también lo hago porque, de algún modo, me agradaba―. La mayoría de ellos sienten un temor primitivo hacia nosotros. Se mueren de miedo solo con pensar que puedan entrar en su cocina de noche y encontrarnos aquí sentados, a oscuras y en silencio.

― Tu sais quoi ? Tu es l'un des rares humains de ma connaissance qui se moque que ses androïdes évoluent librement dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui faire la conversation [OK pour contourner le « faire »] même si je la fais [mal dit] aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait―[sans le tiret]. La plupart ressente [?] une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée qu'on puisse entrer dans leur cuisine la nuit et nous trouver là, assis, silencieux dans le noir.

Sébastien a dit…

―¿Sabes? Eres uno de los pocos humanos que conozco al que le da igual que sus androides anden sueltos por casa de noche ―mi programación empática me induce a buscar el bienestar de Danny. Quiero darle conversación. Aunque también lo hago porque, de algún modo, me agradaba―. La mayoría de ellos sienten un temor primitivo hacia nosotros. Se mueren de miedo solo con pensar que puedan entrar en su cocina de noche y encontrarnos aquí sentados, a oscuras y en silencio.

― Tu sais quoi ? Tu es l'un des rares humains de ma connaissance qui se moque que ses androïdes évoluent librement dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui parler et je le fais aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait. La plupart ressent une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée qu'on puisse entrer dans leur cuisine la nuit et nous trouver là, assis, silencieux dans le noir.

Tradabordo a dit…

― Tu sais quoi ? Tu es l'un des rares humains de ma connaissance qui se moque que ses androïdes évoluent librement dans leur maison. Mon programme empathique m'induit à rechercher le bien-être de Danny. Je veux lui parler et je le fais aussi parce que, d'une certaine façon, cela me plaisait. La plupart ressent une terreur primitive envers nous. Ils meurent de peur à la seule idée qu'on puisse entrer dans leur cuisine la nuit et nous trouver là, assis, silencieux dans le noir.

OK ?

Rachel ?

Vous pouvez ajouter le petit morceau manquant.

Rachel a dit…

Ok

Tradabordo a dit…

J'enregistre donc la section terminée dans le post. Vous n'aurez pas besoin de la recopier pour traiter la suite du fragment.

Tradabordo a dit…

Pour rappe, il reste cela à traiter :

―Sí, es cierto. Los humanos a veces somos un poco absurdos. Conozco gente que incluso os desconecta por la noche. Totalmente. Les da igual la seguridad de la vivienda. Prefieren arriesgarse a que entre un malnacido en la casa, a tener un androide merodeando por su salón. Es incomprensible.

Sébastien a dit…

―Sí, es cierto. Los humanos a veces somos un poco absurdos. Conozco gente que incluso os desconecta por la noche. Totalmente. Les da igual la seguridad de la vivienda. Prefieren arriesgarse a que entre un malnacido en la casa, a tener un androide merodeando por su salón. Es incomprensible.

― Oui, c'est bien vrai. Nous autres les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de la maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un misérable s'introduise à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. Incompréhensible.

Tradabordo a dit…

―Sí, es cierto. Los humanos a veces somos un poco absurdos. Conozco gente que incluso os desconecta por la noche. Totalmente. Les da igual la seguridad de la vivienda. Prefieren arriesgarse a que entre un malnacido en la casa, a tener un androide merodeando por su salón. Es incomprensible.

― Oui, c'est bien [nécssaire ?] vrai. Nous autres [virgule] les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de la [possessif ? J'hésite…] maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un misérable s'introduise à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. Incompréhensible.

Sébastien a dit…

―Sí, es cierto. Los humanos a veces somos un poco absurdos. Conozco gente que incluso os desconecta por la noche. Totalmente. Les da igual la seguridad de la vivienda. Prefieren arriesgarse a que entre un malnacido en la casa, a tener un androide merodeando por su salón. Es incomprensible.

― Oui, c'est vrai. Nous autres, les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de leur maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un misérable s'introduise à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. Incompréhensible.

Tradabordo a dit…

― Oui, c'est vrai. Nous autres, les humains, nous sommes parfois un peu absurdes. Je connais mêmes des gens qui vous déconnectent la nuit. Totalement. Ils se moquent de la sécurité de leur maison. Ils préfèrent prendre le risque qu'un misérable s'introduise à l'intérieur plutôt que d'avoir un androïde en train de rôder dans leur salon. Incompréhensible.

OK.

Rachel ?

En attendant que Rachel valide, je vous mets la suite, Sébastien.

Rachel a dit…

Ok.