samedi 27 avril 2013

Projet Céline 4 – phrases 58-59

No quise desairarla y me lo puse sintiendo que me subían los colores a la cara, además yo había dejado la camioneta mal estacionada frente a la casa y por eso nos apuramos en bajar los primeros paquetes, los más pesados. Lo que ocurrió después entra en ese interregno de locura y estupor inmóvil que vivo desde entonces.

Traduction temporaire :
Je n’ai pas voulu la vexer et l’ai mis, sentant le rouge me monter aux joues ; de plus, comme j’avais mal garé la camionnette devant son immeuble,  nous nous sommes dépêchés de descendre les premiers paquets, les plus lourds. Ce qui s'est produit ensuite appartient à cet interrègne de folie et de stupeur immobile dans lequel je vis depuis.

4 commentaires:

Unknown a dit…

Je n’ai pas voulu la vexer et l’ai mis, sentant le rouge me monter aux joues ; de plus, comme j’avais mal garé la camionnette devant la maison, nous nous sommes dépêchés de descendre les premiers paquets, les plus lourds. Ce qui est arrivé ensuite fait partie de cet interrègne de folie et de stupeur immobile dans lequel je vis depuis.

Tradabordo a dit…

Je n’ai pas voulu la vexer et l’ai mis [« enfilé » ; sauf si on l'a dans la phrase d'avant ; je ne me souviens plus], sentant le rouge me monter aux joues ; de plus, comme j’avais mal garé la camionnette devant la maison [« son immeuble » ?], nous nous sommes dépêchés de descendre les premiers paquets, les plus lourds. Ce qui est arrivé [ou « s'est produit » ?] ensuite fait partie de [ou « appartient à » ?] cet interrègne de folie et de stupeur immobile dans lequel je vis depuis.

Unknown a dit…

Je n’ai pas voulu la vexer et l’ai mis, sentant le rouge me monter aux joues ; de plus, comme j’avais mal garé la camionnette devant son immeuble, nous nous sommes dépêchés de descendre les premiers paquets, les plus lourds. Ce qui s'est produit ensuite appartient à cet interrègne de folie et de stupeur immobile dans lequel je vis depuis.

Nous avons déjà « enfiler » dans la phrase d’avant.

Tradabordo a dit…

Je n’ai pas voulu la vexer et l’ai mis, sentant le rouge me monter aux joues ; de plus, comme j’avais mal garé la camionnette devant son immeuble, nous nous sommes dépêchés de descendre les premiers paquets, les plus lourds. Ce qui s'est produit ensuite appartient à cet interrègne de folie et de stupeur immobile dans lequel je vis depuis.

OK.