mercredi 24 avril 2013

Projet Elena 3 – phrases 17-21

En el patio se hacinaban cientos de hombres.  Unos dormitaban mientras los otros tenían los ojos abiertos de espanto. Se oyeron pasos de botas caladas. A ver, ¡Que se incorporen! Dióscoro Galindo, Francisco Galadí y Joaquín Arcollas.

Traduction temporaire :
Des centaines d'hommes s'entassaient dans la cour. Les uns somnolaient, d'autres n'arrivaient pas à fermer l’œil à cause de l'horreur de la situation. On entendit des bruits de bottes. Dióscoro Galindo, Francisco Galadí et Joaquín Arcollas, allez, debout !

6 commentaires:

Elena a dit…

Dans la cour, des centaines d'hommes s'entassaient. Certains somnolaient, d'autres ne fermaient pas l’œil à cause de l'horreur. On entendit des bottes. Voyons, Dióscoro Galindo, Francisco Galadí et Joaquín Arcollas, levez-vous !

Tradabordo a dit…

Dans la cour, des centaines d'hommes s'entassaient [inverse la syntaxe]. Certains [« Les uns »] somnolaient, d'autres ne [ajoute « arriver »] fermaient pas l’œil à cause de l'horreur [cheville : « de la situation » ?]. On entendit des bottes [que fais-tu de « pasos » ?]. Voyons [« Allez » et déplace-le], Dióscoro Galindo, Francisco Galadí et Joaquín Arcollas, levez-vous !

Elena a dit…

Dans la cour, s'entassaient des centaines d'hommes. Les uns somnolaient, d'autres n'arrivaient pas à fermer l’œil à cause de l'horreur de la situation. On entendit des pas de bottes. Dióscoro Galindo, Francisco Galadí et Joaquín Arcollas, allez, levez-vous !

Tradabordo a dit…

Dans la cour, s'entassaient des centaines d'hommes [inverse… Mets une syntaxe classique en français]. Les uns somnolaient, d'autres n'arrivaient pas à fermer l’œil à cause de l'horreur de la situation. On entendit des pas [« bruits »] de bottes. Dióscoro Galindo, Francisco Galadí et Joaquín Arcollas, allez, levez-vous [« debout »] !

Elena a dit…

Des centaines d'hommes s'entassaient dans la cour. Les uns somnolaient, d'autres n'arrivaient pas à fermer l’œil à cause de l'horreur de la situation. On entendit des bruits de bottes. Dióscoro Galindo, Francisco Galadí et Joaquín Arcollas, allez, debout !

De ou des ?

Tradabordo a dit…

Des centaines d'hommes s'entassaient dans la cour. Les uns somnolaient, d'autres n'arrivaient pas à fermer l’œil à cause de l'horreur de la situation. On entendit des bruits de bottes. Dióscoro Galindo, Francisco Galadí et Joaquín Arcollas, allez, debout !

OK.