mercredi 24 avril 2013

Projet Justine / Céline – phrases 47-48

Mi hijo todavía sonríe y apunta. En la instantánea para la que estoy posando aterido de miedo y a la vez enternecido, se han quedado el otoño, el verano que había concluido antes, las primaveras de las que no me acuerdo.

Traduction temporaire :
Mon fils sourit toujours et me vise. Sur l'instantané pour lequel je suis en train de poser, à la fois paralysé par la peur et attendri, sont restés l'automne, l'été qui s’était terminé avant lui, les printemps dont je ne me souviens plus.

5 commentaires:

Justine a dit…

Mon fils sourit toujours et vise. Sur l'instantané pour lequel je suis en train de poser, paralysé par la peur et attendri à la fois, sont restés l'automne, l'été précédent, les printemps dont je ne me souviens plus.

Tradabordo a dit…

Mon fils sourit toujours et [« me » ?] vise. Sur l'instantané pour lequel je suis en train de poser, paralysé par la peur et attendri à la fois [avance « à la fois »], sont restés l'automne, l'été précédent [pas ce que dit la V.O.], les printemps dont je ne me souviens plus.

Unknown a dit…

Mon fils sourit toujours et me vise. Sur l'instantané pour lequel je suis en train de poser, à la fois paralysé par la peur et attendri, sont restés l'automne, l'été qui s’était terminé avant lui, les printemps dont je ne me souviens plus.

Tradabordo a dit…

Mon fils sourit toujours et me vise. Sur l'instantané pour lequel je suis en train de poser, à la fois paralysé par la peur et attendri, sont restés l'automne, l'été qui s’était terminé avant lui, les printemps dont je ne me souviens plus.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Mon fils sourit toujours et me vise. Sur l'instantané pour lequel je suis en train de poser, à la fois paralysé par la peur et attendri, sont restés l'automne, l'été qui s’était terminé avant lui, les printemps dont je ne me souviens plus.

OK.